L'hotel maudit

ouiza

L’hôtel maudit : C’est un hôtel qui porte le nom de la rue où il est situé. Nul n’ose s’en approcher. Il daterait de l’air colonial, il fut sûrement l’un des meilleurs d’Alger. Après l’indépendance il fut laisser à l’abandon, plusieurs personne ont asseyait de le squatter mais il repartait plus vite qu’il n’y mettait les pieds. Lorsque les autorités décidèrent de le rénover, un vieil homme est allé les avertir qu’ « on » l’habitait, ils lui ont rit au nez. L’entrepreneur chargé du chantier ainsi que ses ouvriers connurent des destins tragiques : le premier a vu les membres de sa famille mourir un à un avant de mourir dévaster par le chagrin et la misère totale. Les autre, pour certain mort prématuré, folie, et certain, cinq d’entre eux, ne sont jamais ressorti, les gens qui passer par là pouvait les voir, la peau sur les os, aux fenêtres de l’hôtel implorer leurs aides, mais une main invisible les tirer à l’intérieur et fermer les volés. Voici l’hôtel qui avait attiré Max, il est arrivé avec son ami, Luc, au mois d’octobre, le mois où l’on pouvait entendre des cris effroyable sortir du bâtiment.- Alors tu viens !- Tu as vu comment ils nous regardent ?- Les gens d’ici ont la superstition dans le sang, aller viens ! Ils entrèrent dans la bâtisse, elle était triste, poussiéreuse et les murs était plein de trou qui semblait avoir était fait par une massue. Max arriva au dernier étage, le quatrième, il resta stupéfait, contrairement aux autres ce palier là était propre, les portes en bonne état, il posa la main sur l’une d’entre elle, et tourna la poignée…- Quelle chambre ! Il faudrait juste changer la peinture.Elle était peinte en rouge, meublé avec deux lits, une armoire et un bureau. Max s’assit et posa sa valise. Soudain il entend Luc crier. Il se dépêche pour voir, il le trouva blanc comme un linge, son corps semblait vidé de toute vie.- Tu es mort !- Je les ai vu, ils m’ont fait signe de partir.- Qui sont-ils ?- Ils étaient cinq…avec du sang sur tout leurs corps…se sont eux, ils veulent nous prévenir…- Les ouvriers n’es pas ? C’est que tu crois vraiment aux stupidités de nos voisins. J’ai trouvé une super chambre là haut. Ils montèrent, le quatrième était devenu comme les trois autres et sur la porte de la super chambre « accès interdit ».- Ma valise !Quelqu’un ouvra la porte lança la malle, et cria d’une voix roque : « Voici ta merde, maintenant dégage ! ». - Il va voir ce qu’il va voir ! Max allait enfonçait la porte, mais Luc l’empêcha.- Nous allons redescendre.Dans les escaliers il ne cessait pas de lançait des injures et des blasphèmes à tout bout de champs. Ils entrèrent dans une chambre où il y avait deux fauteuils Luc se jeta sur l’un d’entre eux, mais lorsque Max allait s’assoir sur l’autre quelque chose tira le fauteuil et le jeune homme se trouva par terre. - Tout va bien !- celui qui a fait ça est un imbécile ! Vous vous croyiez malins car vous êtes invisibles !Une voix calme lui chuchota à l’oreille « Ne nous provoque pas ».- C’est vous qui me provoquer ! Qu’es que je vous ai fait pour que vous m’empêchiez de poser mes fesses sur cette camelote qui ne trouvera même pas sa place chez un stupide brocanteur !Il eu comme réponse le silence, durant quelque minute Luc crue que l’orage était passé, mes Max revient à la charge, quand il remarqua un corps décharné qui le regarder de l’un des coins de la pièce.- Sale chien c’est toi qui m’avait fait tombé, hein ?Le malheureux ouvrier continué à le regarder.- Arrête de me regarder.- Ça suffit ! Il ne t’a rien fait. D’ailleurs je vais suivre son conseil je vais partir.Il se leva, l’ouvrier le suivi. Luc était bien décidé à prendre le premier avion pour Paris.Max se trouvais seul avec les gens du quatrième, tout les matins il trouvait de la nourriture devant la porte de sa chambre, il était sûr que sa venait de la part de l’ouvrier bien qu’il faisait tout pour l’éviter. Durant une semaine il n’arrêter pas de se disputer avec les gens du quatrième. Il insultait, les couvrait d’injures, faisait tout pour les provoquer pour voir à quoi ils ressemblaient, bien qu’au fond de lui-même il avait peur de les voir. Eux ils préféraient l’action, tandis qu’il prenait sa douche ils s’amusaient à lui coupait l’eau, ils le poussaient dans les escaliers, mais le pire c’était quand il dormait, quelqu’un le gifler et de cette personne on ne voyait strictement rien. A la fin de la semaine « on »s’était réunit et « on » avait décidé d’en finir avec le parisienne. Max se réveilla, il eu à peine le temps de s’étirer que deux hommes lui crièrent : « Lève-toi et suis nous ! », il ne voyait pas leurs visages dans la pénombre, il se lève arrivait devant eux, il se précipite dans les escaliers pour fuir. Un troisième l’arrêta à la porte d’entrée et le tira sans efforts, vers l’étage maudis, il le fit assoir, bientôt les deux autre les rejoignirent.- Nous t’avons dit de ne pas nous provoquer, oui ou non ? dit l’un d’entre eux dans un parfait accent français.- Je vais partir ! Je vais partir ! Ne me tuai pas s’il vous plait ! Implora Max dans un flot de sanglots.- Désolais mais nous t’avons laissé le temps de te repentir.Celui qui l’avait attrapé avait disparu un certain moment à son retour il avait une mallette dans sa main il l’ouvre, elle était pleine de poignard en tout genre, le plus grand des deux autres en prit un…- Nous allons d’abord couper tes joues, j’en raffole et ça fait assai longtemps que je n’en ai pas mangeait.L’homme lui coupa les deux joues, puis les mit dans une bassine.- Et maintenant…Il tend la main à ses compagnons, on lui donne une bouteille dont il déverse le contenu sur la tête de Max. Son visage commença à se déformer, le seul signe qui indiquer qu’il était vivant les gémissements qu’il lançait pour implorer la pitié.- Ce là monsieur ça s’appelle de l’acide. Tenez je vous le laisse…Ils commencèrent par enfonçait les poignards dans les os, ils s’amusèrent à les enfonçaient dans son ventre après qu’il soit mort.- Ça rentre comme dont du beurre.Le lendemain ils l’ont balançait par la fenêtre, pendu à une chaîne en métal quelque temps après ils allumèrent le feu, le macchabé avait brulé durant cinq heurs puis le corps est tombé dans la rue, tandis que la tête, une main l’a fait rentrais et on a pus entendre : « J’aime aussi le cerveau grillé », et rire sortit des entrailles de l’enfer se balança en échos dans tout le cartier.
  • très très sympa, perfectible mais original et exotique.

    Par contre il faut trouver une solution pour l'orthographe par ce que ça pique les yeux, et ça nuit du coup au plaisir de lire le texte. Aussi, un petit effort de mise en page ne serait pas de trop. Quelque retours à la ligne pour alléger le texte et pour identifier les dialogue par exemple.

    Mais très bien !

    · Il y a plus de 11 ans ·
    M elf3 orig

    menestrel

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