Louise, j'adore

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 " Une belle femme possède quoi, dans sa vie ? Trente ans de pouvoir absolu ? Moins ? Après les belles meurent de leur vivant. Et avant, il leur faut double ration de tout ; mensonge, bonheur, plaisir, vengeance, ingratitude, humour. " écrit Jean-Paul Enthoven dans " La dernière femme " Là, il évoque Louise de Vilmorin une femme - comme nombre d'autres du siècle dernier - Belle, damnée, épicurienne, lettrée, et malheureuse dans un monde de luxe...

   J'aime.

    Louise de Vilmorin aussi femme d'André Malraux qui écrivait en 1932 :

   " Il y a toujours quelqu'un dans quelque chose. Et c'est pourquoi je trouverai naturel que l'on portât le deuil d'une pendule, d'un vase ou d'une photographie. " Louise dont la mère disait : " Je n'ai jamais trompé mon mari . " avant de préciser ; " Les Rois ça ne compte pas. "

   J'adore.

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