lui
Isabelle Morin
LUI
Je ne comprends pas ce qui m'arrive, lorsqu'il passe près de moi, mon cœur tremble. Je sais que rien ne nous unis, mais pourquoi mon corps réagit autant à sa présence. Je le vois la, assis en avant de moi. Il parle avec d'autre et moi je m'imagine dans ces bras. Comme cela me semble bon, une sécurité, un bien être. Je me vois lui caresser, la joue, unir ma bouche à la sienne. Je dois me reprendre, il me pose une question qui me sort de ma rêverie. Je bafouille, il a un léger sourire, je fonds. J'ose espérer qu'il ne voit pas mon inconfort en sa présence. Vivement qui la journée ce termine.
Dans mon bain, mes pensés vagabonde, je repense à lui à ces mains massive, à sont visage, je me demande ce qu'il m'arrive. Je ferme les yeux et j'ai l'impression qu'il s'approche de moi m'embrasse tout en effleurant le bout de mon siens. J'ouvre les yeux immédiatement. Mais qu'est ce qu'il m'arrive, je dois le sortir de ma tête.
A mon arriver au travaille, il m'ouvre la porte je sens son odeur et mon cœur s'emballe, il vient prêt de moi. Je dois reculer, il ne doit pas venir aussi près de moi. Pourquoi je me sens aussi bien en sa présence. J'arrive à blaguer, il me taquine. Il veut tout faire pour m'aider. Lors de l'annoncer du travaille de la journée je le regarde, et je me remet a réveiller. Ces mains le long de mon cœur, la douceur de ces caresses. On me sort de ma rêverie encore, je me sens rougir. Je réponds à la question et me remet à rêve. Je dois me reprendre ce n'est pas la place.
Enfin le dîner, je me retrouve seul avec lui. Des images passe devant mes yeux. Il s'approche de moi, me colle contre le mur, ces mains sur hanche sa bouche qui couvre la mienne, je sens qu'il a envie de moi, tout comme j'ai envie de lui. Il me sourit, il ne se doute pas de se qui se passe dans ma tête. Une autre personne entre de la roulotte je me sens rougir comme si elle venait de nous surprendre. Pourtant tout est dans ma tête, personne ne sait rien. Nous sommes finalement 4 pour le repas. Je suis déçu de cet arrêt mais je vais me reprendre.
Le soir à la maison, je laisse aller mon imagination. Je reprends ou j'avais laissé ce midi. Ou sa bouche recouvrait la mienne sa main qui se faufilait entre nos corps pour défaire ma ceinture. On cogne à la porte est-ce que je vais pouvoir finir, mon fantasme, mon rêve, mon besoin. Après cette visite impromptu. Je me demande si j'ai le droit de compléter, il est marier, des enfants. Je me sens mal, vilaine de défaire cette vie. Pourtant rien nous empêche de rêver fantasmer.
De retour un travaille, je tente de l'éviter, de ne pas penser à lui, mais lors d'un essai je sens sa présence, il se penche sur moi et s'appuie sur mon dos. Je savais que c'était lui car j'avais reconnu sont odeur. Je ne dis rien, durant quelque seconde ensuite je le regard, il me dit qu'il se demandait combien de temps j'allais accepter son incursion dans ma bulle. Ma tête disait pour toujours ma bouche disait qu'il avait réussi a faire 10 secondes il devrait se compter chanceux. Il rit et parle d'autre chose. Je me demande s'il est comme cela avec tout le monde ou simplement avec moi. Mais plus que la journée avance je me rend compte que ces dans ça nature. Il est attentionné avec tout le monde, il est prêt de ses employer. Moi qui pensait avoir un lien avec. Je me trouve niaiseuse d'avoir penser à cela. Je suis en couple, il est en couple pourquoi il aurait quel compte intérêt pour moi.
Alors rien ne m'empêche de rêvasser, ce moment ou je me permet cela, il s'appuie sur le mur prêt de moi, mon cœur fait trois tours, je ne comprend pas pourquoi il me fait autant d'effet, ma tête veux que je me reproche de lui mais mon cœur refuse. Je ne me reconnais plus. Je ne connais pas ce sentiment. Ce besoin d'être près de lui de sentir sont corps contre le mien. Reprend tes esprits tu es au travaille. Mais je ne peux m'empêcher de nous revoir dans la roulotte, sa main se clissant entre nos corps, il réussit à défaire ma ceinture, mon bouton, il descend ma fermeture éclaire juste ce geste fait monter en moi mon envie, je sens ces doigt ce glisser dans mon pantalon. Pendant qu'il effectuait ces gestes rapides et doux, je sentis sont autre main sur mes seins, comment il avait fait, ça mains douce effleurant le bout de mon mamelon me fit frémir. Il le senti et me regarda quelque seconde, je ne pouvais parler, je passais ma main a l'arrière de sa tête tout en l'attirant vers moi, j'en voulais encore plus. On me sortit encore de ma rêverie par une question. Je suis déçu, mais je dois répondre, je me promets de reprendre ce soir.
Le soir je travaille, je dois finir ce travaille avant le lendemain matin. Pas de rêverie ce soir, j'ai besoin de toute ma concentration. Il est tard je suis fatiguer, il revient nous revoir et met sa main sur mon épaule, il la retire aussitôt, il me dit que c'était une tape d'encouragement. Intérieurement je pense à ma rêverie du midi, à sa main sur le bout de mes seins. Un frisson me parcours à y penser, il le remarque, il me demande si j'ai froid. Bien non idiot, j'ai envie de toi la. Je lui réponds que oui la journée a été longue et la température descend dans le bâtiment. Il me dit qu'il me passerait bien son manteau mais il doit partir. Déjà, le mot sorti de ma tête arrive à ma bouche s'en que j'ai pu l'empêcher de sortir. Il reste surprit, je me reprend vite en lui disant une blague sur le fait qu'il n'est pas un gars d'équipe. Mais je comprend il a une femme est des enfants.
En route, je ne peux m'empêcher d'imaginer, je dois arrêter, mais les images sont plus forte, je suis dans la roulotte, sa main poursuit sa route dans mes pantalons, effleure mes lèvres, je resserre mon étreinte, je me reconnais plus, je suis pris de panique, remarque t'il ma peur, ma réponse arrive aussitôt, il s'excuse, passe le dos de sa mains dans mon visage et voit ma gène, il comprend aussitôt que je ne connais rien. C'est alors que tout doucement il prend mes mains. Il les passe sur son visage les arrêts à sa bouche et embrasse chaque des mes doigts en me regardant dans les yeux, ensuite il les pose sur son torse, tout est fait en douceur, sens qu'aucun mot ne soit échanger, je baise les yeux, tout en gardant mes mains dans l'une de ses mains, il remonte mon menton de sa main libre, me regarde d'un regard qui semblait dire, je ne sais pas moi non plus ce qu'il m'arrive. Tout en gardant mes mains contre son torse il se penche pour me donnée un baiser. Un klaxon me sort de ma rêverie, je dois avancer.
Dans mon bain, même si me refuse d'y penser je retourne dans mes pensées, sauf que cette fois il était la avec moi, la mousse recouvrait le bas de son corps il se penchait sur moi embrassa le bout de mes seins je sentais ces hanches ce créer un chemin entre mes jambes, le tout en douceur, les yeux fermer je ne pouvais m'empêcher de promener mes mains sur mes seins, l'autre plus bas, dans ma tête les images était claire je le senti me pénétrer, mon corps réagit à mes doigts fessant la même actions, les yeux toujours fermer parce que je ne voulais pas perdre se moment, j'avais l'impression que le mouvement de mes doigts était le mouvement de ces hanches que ma mains sur mes seins étaient les siens. Je ne pouvais pas créer la douceur de ces baiser, il me manque quelque chose, je fermais les yeux plus fortement pour tenter de trouver cette douceur, je ne pouvais rien faire. Je me concentrais sur le mouvement de ces hanches que mes doigts suivaient à la lettre. Je ressentais la douceur de ces mouvements, je me caressais les seins en imaginant ces mains, j'aurais aimer avoir ces lèvres contre yeux mais encore la je devais mis soustraire. Plus l'image des ces hanches accélérait plus mes doigt suivait le rythme. Jusqu'au moment ultime que je ressenti un grand plaisir, mon corps ce raidit quelque peut, puis il en redemandait encore j'avais toujours de lui sur moi, entre mes jambes. J'attendis marcher dans le corridor. L'image s'efface aussitôt, de retour à la réalité, déçu qu'il soit parti.
Un autre jour au travaille toujours les même désire, le même désespoir de ne pas comprendre ce qui m'arrive. Il parle avec d'autre personne et je ne comprends pas cette jalousie qui monte en moi. Je dois quitter cet endroit. Je me sens malheureuse et de ne plus me comprendre comme cela de ne plus être dans ma zone de confort, dans ma bulle me perturbe. Il passe près de moi et me sort de mon songe et me tapant sur l'épaule pour m'encourager. Avec son sourire habituel, il me demande si ça va. Je ne sais quoi répondre, je fini par lui dire que tout vas bien, il me regarde plus attentivement me demande si je suis sur. Je retourne dans l'affirmative que tout va bien. Je ne peux lui dire mon désarroi, comment va-t-il réagir à cela. Non je vais garder le tout pour moi. Je dois seulement le sortir de mon esprit.
Un samedi de travaille nous parlons ensemble, il me parle de lui et il me dit un phrase. Parfois il est dur de différencier le coup de foudre à une personne placer sur ton chemin pour d'aider. Je me suis déjà fait prendre à cela. A ce moment j'ai compris, il a été placé sur mon chemin pour m'aider à avancer, à évoluer et rien d'autre.