Menottes, cravache, préservatif: qu'en feriez vous?

uzul

D'un œil lubrique:
-"Ma douce, as tu confiance en moi?"
  L'air interrogateur et un peu méfiant:
-"Je ne sais pas si je devrais, que veux tu me demander?"
-"Laisses toi faire" sur un ton assuré et dominant.

  Alors avec douceur je lui applique les menottes, la regardant fixement dans les yeux, ne perdant pas une miette de sa peur de ce qu'il peut lui arriver.
  Je sors un foulard de soie et applique un doigt sur sa bouche avant que le moindre mot n'en sorte.

-"Chuuuut, tu ne le regretteras pas, je te le jure."

  J'appose, délicatement, avec soin, le foulard sur ses yeux, ainsi qu'un baisé sur ses lèvres tremblantes pour la rassurer.

-"Viens, suis moi" lui dis-je en tirant un petit coup sec sur la chaine qui relie ses poignets.

  Je la guide avec prudence vers une pièce sombre et silencieuse, restée secrète jusqu'à lors.
-"Nous y sommes, tu peux encore dire non."
-"Promet moi que tu ne me fera pas mal" d'une voix tremblante.

  Sans s'en rendre compte, fronce les sourcils
-"Je n'ai rien à promettre tu es à moi, je ferai de toi ce que bon me semble"
-"O...ou...oui." d'une voix chevrotante
-"C'est bien, c'est ce que je voulais entendre."

  Je pris donc ses mains et les fit monter au dessus de sa tête, les fixes à la chaine qui pend du plafond, l'embrasse goulument sur la bouche et commence à l'effeuiller.
  Une fois qu'elle se trouve en sous-vêtements, je me pose à ses pieds et l'aide à chausser une paire de talon de 10cm afin de rajouter une touche d'inconfort à sa position.
  La tourmente va pouvoir commencer.

  Je me relève doucement, caressant sa jambe avec lenteur cherchant un tressaillement qui ne s'est pas fait attendre.
 Debout, face à elle, je l'empoigne fermement par les fesses et l'embrasse encore sur cette bouche avide.
 Brusquement je lâche prise et me fait fantôme, rôdant autour d'elle, il soufflant parfois dessus pour alimenter son angoisse...
  Je la sens tremblante de désir, le duvet sur son corps hérissé dans l'attente d'une caresse plus appuyée. Son souffle est court, l'entre-jambe est humide; ma main vient d'y passer pour vérifier. Je m'éloigne un peu, le temps de d'aller chercher ma cravache...

  Une tape sur ses fesses lui tire un petit cri :
-"Hannnn..." à mi-chemin entre la surprise et le plaisir...
-"Ça te plait, hein ?"
-"Hummm, ouiiiii " répond-t-elle en un miaulement lascif.

  Je lui arrache alors sa culotte et libère sa poitrine, sans mesure aucune, sous l'effet de mon excitation grandissante.
Le bout de ses seins, dressé comme mon sexe, m'appelle à les dévorer...
Je les lèches, les embrasse, les palpe, les pince même, parfois avec violence.
La demoiselle se tord sous l'assaut de mes mains.

-"Il faut de je me tempère" me dis-je à moi même.
-"CONTINUES" me crie-t-elle.

 Comme pour lui montrer qui commande, je me stop et tire une chaise afin de m'assoir face à elle.
Je laisse la belle seule dans sa détresse et son émoi, me délectant du spectacle... Stressée, au bord des larmes, je sens qu'elle va défaillir...

  La cavache toujours en main, je fini par me décider à jouer encore avec elle. Je tend alors le bout de cuir sur sa vulve gonflée de désir et commence un va et vient lancinant. Elle n'en peut plus, le sang refuse de montrer jusqu'à ses doigts malgré son cœur qui bat la chamade...
  Soudain, elle s'écroule. Dans sa chute, sous l'effet de son poids l'anneau du plafond c'est ouvert; lâchant la badine qui me servait à la caresser et me jetant vers elle, je l'attrape de justesse avant qu'elle ne se blesse.

-"Prends moi, prends moi" me dit-elle encore sous le choc de l'expérience.

  Je la couche tendrement sur la fourrure qui est au sol et lui détache ses mains endolories. Pendant qu'elle reprend doucement conscience, j'enfile la gaine de latex sur mon sexe et ce que nous fîmes après se passe de détails ou fera parti d'une autre histoire...

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