Merci

jone-kenzo

Un bout de chemin qui s'éteins, comme la lumière après l'histoire du soir quand on est môme. Un morceau de vie qui me rappel ce thème au lycée, rupture et continuité. Ma vie et ses rencontres, ces moments teints de bonheurs, ces larmes parfois qui vous emporte un bout du cœur. Celle là même qui m'a faite forte de conviction, je la changerait pas. Je ne l'échangerait pas. Les mains ont plusieurs doigts, comme une corde tressée qui s'agrippent un par un, qui se détachent un de ces quatre matins. Il reste ces souvenirs que personne ne me prendra, ni l'âge, ni les " et si " ni les "pourquoi". Et les réponses qu'auraient-elle à donner. Des raisons, je n'ai pas besoin de m'en faire. Je connais le film et tout est dedans. Je sais que le fil fait de nous des funambule. Garder la perche, les yeux bandés quand on a peur de demain. Ne parlons pas du futur, laissons le pour plus tard.On franchi des montagne, puis on se rend compte qu'on a grimpé dans le mauvais sens. Quand on tombe à terre on rampe avec l'illusion d'escalader dans les plaines.Maintenant je regarde autour de moi. Perplexe et vide. Ce qui signifie qu'il ya de la place en moi. Je ne veux pas combler, ramasser, je ne mendie pas, je ne quémande rien. Le monde n'est pas absurde il est fait de ces poussières dont je fais partie, ou nous vivons les uns avec les autres, pas toujours les uns contre les autres. Les noces funèbres nous accrochent à ces aurevoirs, à ces adieux, pour les meilleurs et pour les pires. Je veux une âme qui se remplis de bienveillance jour après jours. Que les chagrins nourrissent ma plume, que les regrets restent chez ceux qui se disent " c'est dommage ". Que mes douleurs soient des hommages, que mes larmes nourrissent des peintures, mais jamais ces tâches absurdes au bout des dictées, les points finals. Le vinaigre et le vin sont issues des mêmes vergers. Je préfère le champagne. Et si le passé me rattrape je lui dirais ces mots: " attrapes moi si tu peux ".Depuis tout ce temps je n'avais pas compris. Et malgré les à plus tard ,les à dieux, je ne garderait que cette envie : dire "Merci". 

Un bout de chemin qui s'éteins, comme la lumière après l'histoire du soir quand on est môme. Un morceau de vie qui me rappel ce thème au lycée, rupture et continuité. Ma vie et ses rencontres, ces moments teints de bonheurs, ces larmes parfois qui vous emporte un bout du cœur. Celle là même qui m'a faite forte de conviction, je la changerait pas. Je ne l'échangerait pas. 


Les mains ont plusieurs doigts, comme une corde tressée qui s'agrippent un par un, qui se détachent un de ces quatre matins. Il reste ces souvenirs que personne ne me prendra, ni l'âge, ni les " et si " ni les "pourquoi". Et les réponses qu'auraient-elle à donner. Des raisons, je n'ai pas besoin de m'en faire. Je connais le film et tout est dedans. Je sais que le fil fait de nous des funambule. Garder la perche, les yeux bandés quand on a peur de demain. Ne parlons pas du futur, laissons le pour plus tard.


On franchi des montagne, puis on se rend compte qu'on a grimpé dans le mauvais sens. Quand on tombe à terre on rampe avec l'illusion d'escalader dans les plaines.


Maintenant je regarde autour de moi. Perplexe et vide. Ce qui signifie qu'il ya de la place en moi. Je ne veux pas combler, ramasser, je ne mendie pas, je ne quémande rien. Le monde n'est pas absurde il est fait de ces poussières dont je fais partie, ou nous vivons les uns avec les autres, pas toujours les uns contre les autres. 


Les noces funèbres nous accrochent à ces aurevoirs, à ces adieux, pour les meilleurs et pour les pires. Je veux une âme qui se remplis de bienveillance jour après jours. Que les chagrins nourrissent ma plume, que les regrets restent chez ceux qui se disent " c'est dommage ". Que mes douleurs soient des hommages, que mes larmes nourrissent des peintures, mais jamais ces tâches absurdes au bout des dictées, les points finals. 


Le vinaigre et le vin sont issues des mêmes vergers. Je préfère le champagne. Et si le passé me rattrape je lui dirais ces mots: " attrapes moi si tu peux ".
Depuis tout ce temps je n'avais pas compris. Et malgré les à plus tard ,les à dieux, je ne garderait que cette envie : dire "Merci". 

Merci.

A.L

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