Petit jeu érotique... Miam miam.

florentin

Ecrit le 23/12/2010, modifié le 09/06/2020. Nos parents, nous ont toujours dit qu’il ne fallait pas jouer avec la nourriture, de temps en temps il faut savoir ne pas les écouter…

Je me souviens parfaitement de cette journée d'été très chaude.

Malgré tous nos efforts pour rafraîchir l'appartement, l'atmosphère reste insupportable.
En ce milieu d'après-midi, tu me demandes :

« Tu n'as pas envie d'un petit désert bien frais ? »
« Pourquoi pas ma chérie. »

Toute la journée, tu as porté une tenue très légère. Mais quand tu reviens de la cuisine, tu ne portes plus qu'une petite culotte en dentelle transparente, le juste nécessaire pour cacher ton petit trésor, chaleur torride oblige, dans chaque main un pack de crème bien fraîche.
Tu t'allonges sur le canapé, calée avec des oreillers sous le dos.
Tu me tends un pot. Je ne sais pas ce qui s'est passé dans ma tête. Je me mets à verser le contenu entre tes deux seins, au contact de ta peau deux réactions chimiques de produisent :
-
Ton corps se contracte, une charmante petite chair de poule fait son apparition, adorable.
-
La crème se réchauffe et devient de plus en plus liquide au fur et à mesure que le temps passe, elle coule de plus en plus vite sur ton ventre. Tu as le réflexe d'enlever ton petit bout d'étoffe en dentelle.
Elle rempli ton nombril, une fois celui-ci rempli elle poursuit son chemin jusqu'à ta charmante petite toison brune. Suivant la loi de la gravité cette crème poursuit son chemin, je devrais dire ses chemins en glissant sur l'aine de ta cuisse, pour finir par disparaitre dans ton entre cuisses, l'autre traverse directement ton herbage.
« Qu'est-ce tu attends, que la crème soit tournée. »
je me dépêche de pour récupérer un maximum cette crème vanillé sucrée avec un mélange de saveur féminine, un mélange étonnement subtile entre sucre et acidulé proche des crèmes glacées à la vanille noire.


Arriver à la pointe de tes seins.
« C'est bon ? »
« Pas mauvais, un joli contraste entre le noir sur ton petit minou et le jaune de la crème. »
« Tu pourrais aller chercher des glaçons, car j'ai vraiment très chaud. »
« Des glaçons ça va être vraiment la fête, ce n'est pas un jour férié ? »
« Peut-être, mais quelle chaleur. »
Revenant de la cuisine avec un tas de glaçons. Le petit jeu reprend.
Petit glaçon glissant sur ton corps laissant sur son passage une bande humide sur son chemin.
Visiblement la pointe de tes seins n'étant pas insensible à ce chaud et froid, leur petite corole s'est contracté le mamelon au milieu dressé est gonflé, j'alterne caresses de glaçon, bisous ou petites léchouilles de ma langue.
Ce petit glaçon coquin glissa malencontreusement entre tes cuisses…. (pour le malencontreusement je n'en suis pas sûr).
Sans hésitation tu écartes les cuisses, message sans quiproquo, un laisser passer autorisant toutes les explorations possibles.
Le glaçon m'ouvre le chemin de cette région de tous les interdits et de tous les plaisirs.
Entre le glaçon, mes lèves, ma langue que préfères-tu ? va savoir !
La concurrence est déloyale, les nouveaux ont toujours la préférence. Bon, dans quelques minutes, il sera fondu.


« j'ai de la crème chantilly dans le frigo, tu peux aller la chercher. »


Revenant auprès de toi.
« Tu veux que je commence par où ? »
« Alors là t'as rien compris mon petit, à mon tour, enlève-moi tous ces vêtements qui te restent et allonges-toi. »
Tu saisis sans hésitation comment dirais-je : la partie complémentaire à ta grotte du plaisir pour la recouvrir de cette crème blanche.
La suite, je me souviens plus très bien entre la chaleur, le salé sucré, le chaud et le froid.
De toute façon, comme d'habitude la fin est toujours la même, … Un simulacre d'accouplement animal.
A si je me souviens la douche, chaude ou froide,… finalement je sais plus……

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