Minute Waltz
ozrah
Je marche une fois, deux fois, puis je cours.
Et tout s’accélère, mon souffle devient court.
Dans cette campagne a l’air dense de nature austère.
Les lampions de la fête surplombent nos attitudes précaires.
Un château éclairé par la nuit de nos sombres folies.
Où l’on se noie dans l’ivresse et l’on donne de la paresse.
Mais voici dans la nuit un son emplie d’ivresse.
Et l’ombre d’un homme attendant sa maitresse.
Quelle est donc cette mélodie, cette entrainante valse.
Oh voici mon cavalier au sourire carnacier.
Dont la réputation de coureur donne à se pâmer.
Mais suis-je suffisamment sotte pour tomber dans vos filets ?
Peut-être que oui, après tout il n’existe pas de bienséance ici de nuit.
La musique m’envole et votre bouche me supplie.
Vous-même le savez mon cher, quel attitude ai-je à donner ?
Voici un poignet, un bras, un cou qui entrainent une cheville.
Jalousie forcenée poussant tous les membres à se montrer.
Avide de douceur, de chaleur et de touché.
Oh mais l’alcool me tient, que dis-je tout ceci est incertain.
Je dois tenir mon contrôle et ma vertu de mes deux mains.
Et surtout ne pas m’abaisser à l’attitude de fille de joie.
Mais pourtant tout ceci est si amusant, on se sentirait roi.
Alors dansons, chantons, aimons, baisons.
Oui monsieur je n’ai plus peur de la nuit.
Je suis ne suis plus Alice effrayé par l’obscurité.
Désormais je possède les merveilles des plaisirs aux autres yeux cachés.