Dans la série rencontre ... Moment d'égarement.

florentin

Ecrit le 29/12/2010, corrigé le 09/06/2020. Souvenirs d'une soirée un peu particulière. L’histoire avait commencée quelques mois auparavant.

Nous étions collègues de travail.

Professionnellement, nous nous entendions très bien, mais pas seulement, souvent les mêmes opinions sur tous les sujets d'actualités.

Sauf un jour ta meilleure amie mariée t'avoua avoir un amant.

Un peu provocateur, je t'avais expliqué que tout devait se faire et qu'il n'y avait pas de mal à se faire du bien et que cela n'était qu'une affaire des plus banales à notre époque.

Malgré ces explications légèrement scabreuses, tu n'avais expliqué que tu connaissais bien son mari et que cela te faisait bizarre et que tu avais du mal à l'admettre.

De toute façon, tu avais résolu le problème, tu ne lui parlais plus.

Nous étions partis en déplacement professionnel plusieurs jours.

Un soir à l'hôtel tu voulais faire un bilan de la journée, tu trouvais que nous prenions beaucoup de retard.

Je me souviens quand tu es descendu de cet escalier qui menait aux chambres.

Tu t'étais changée pour manger, ta tenue était toujours aussi sobre que d'habitude mais il y avait une petit quelque chose de plus qui te rendais glamour.

Bien que mère de deux enfants, tu étais une sportive accomplie, natation et randonnées sportives ne te faisaient pas peur.Ton tailleur mettait en valeur tes formes d'athlète.

A la fin du dîner, tu me demandes de te suivre dans un des petits salons privés de l'hôtel.Tu choisis le plus petit et le plus discret.

Nous nous asseyons chacun dans un fauteuil l'un en face de l'autre,nous discutons dur de nos affaires…

Un de tes stylos tombe sur le sol à tes pieds, incident bénin au demeurant, coïncidence fortuite, je ne le su jamais.

Tu me demandes de le ramasser, car tu es encombrée par des dossiers posés sur les cuisses.

Je me penche pour le récupérer, Je découvre alors un spectacle particulièrement intéressant, de jolies cuisses croisées, de magnifiques jambières, mais aussi, un filet de peau nue, ta jupe était trop relevée pour recouvrir le haut de tes bas.

Que s'est-il passé à ce moment fatidique.

Tu soulèves les dossiers et tu décroises et recroises très lentement tes jambes, de telle sorte que je vois nettement la dentelle de couleur de ta petite culotte qui par transparence laisse deviner ton anatomie.

Je reste ainsi contemplant tes jambes quelques secondes de plus que nécessaire au simple ramassage de ton stylo.

En me relevant, je vois que tu souris d'un regard coquin, parfaitement complice.

« Alors, ça t'a plu ? » d'un ton faussement ingénu.

« Euh… je dois dire, que c'était tout à fait… intéressant. » Bredouillais-je.

« Tu veux revoir ?» déjà ton comportement m'avais surpris mais là cette question me laisse sans voix.

Je me penche à nouveau pour admirer tes cuisses. Tu poses les dossiers sur le côté droit, tu relèves une de tes jambes pour la décroiser très très lentement, de telle sorte que je puisse bien observer ton entre cuisses, la lisière à large motif de tes bas.

Ta main se pose sur l'une de tes cuisses et de tes ongles jouèrent avec cette soie délicate.

Je me laisse alors glisser à terre et, à quatre pattes, j'avance audacieusement vers la fourche de tes jambes maintenant largement ouvertes.

Je pose la main sur ton genou, faisant crisser le bas de ma caresse et remonte lentement le long de ta cuisse.

Ta main remonte jusqu'à ce petit morceau de dentelle, tu la gratte du bout des ongles, spectacle au combien érotique.

Progressant encore, je pose mes lèvres sur ta cuisse, l'embrassant par-dessus ton bas, puis je fais la même chose avec l'autre jambe. Je ne me pose plus de question, tu me laisses faire. Je continue à remonter, léchant tes bas, caressant tes mollets, tes genoux.

Moi : « Et si une personne entre ? »

« Trop tard ! »

Tu avances ton bassin vers moi, en te laissant glisser dans le fauteuil et soudain ma bouche atteint ta petite lingerie, elle se pose sur la dentelle.

Je hume ton délicieux parfum et sens ton désir. Je tourne la tête pour embrasser et lécher la peau nue de tes cuisses au dessus des bas. C'est toi qui écartes de ton doigt ta culotte pour me faire découvrir une jolie petite bouche aux lèvres charnues, magnifiques, craquantes et humides.

Je plaque ma bouche avec mes lèves gourmandes. J'ouvre ton fruit juteux avec ma langue je cherche ton petit bouton on/off, il est là tout gonflé excité, émergeant. Je commence à le lécher à le sucer. J'avale délicieusement ton nectar qui s'écoule.

Ta main sur ma tête me guide dans cette exploration

J'entends ta respiration de plus en plus forte, tes cuisses sont maintenant grande ouverte, la jupe de ton tailleur relevée jusqu'à la taille. Tu poses un pied sur un accoudoir pour être encore plus disponible, impudique, offrant ton intimité trempée de désir.

Toi : « Il faudrait peut-être arrêter là ? »

« Dommage … »

« Quand je dis arrêter là, c'est dans ce lieu, nous avons deux chambres avec deux grands lits qui nous attendent. »

Je repris mon exploration, puis me repris

« Tu as sûrement raison, ça devient très impudique pour ce lieu. »

Tu me prends le visage à deux mains et m'embrasse.

« Je trouve que tu manques singulièrement de savoir vivre. »

« quid ? »

« Tu commences à embrasser par le mauvais bout, ce n'est pas par là que l'on commence pour faire connaissance avec une jeune femme, cher collègue, je t'emmène dans ma chambre, je vais faire ton éducation et t'expliquer comment on fait connaissance avec une jeune femme. »

Signaler ce texte