Mon ami Denis

[Nero] Black Word

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 Mon ami Denis et moi nous concessions depuis l'enfance.

Autrefois, nous allions ensemble à l'école et jouions ensemble aux jeux-vidéos. C'était notre quotidien du jeune âge.

C'est à l'adolescence, que nous nous somme mis à sortir, à connaître d'autres personnes que nous. Bien des soirées se sont écoulées, des vacances ont étés consacrés à simplement nous amuser.

Mais un jour, la famille de Denis déménagea et nous avions perdu tout contacte.

Il fallut attendre presque cinq ans pour que ma famille déménage à son tour.

Un mois après notre emménagement, Denis me recontacta. Il m'avait confié qu'il vivait à présent seul quelques rues à côté et qu'il m'avait vu au loin sans oser me rejoindre. Après avoir hésité quelque temps, il avait décidé de m'envoyer un message.

Quand Denis me demanda ce que je devenais, je lui avais simplement dit que j'avais quitté ma copine et ne savais pas quoi faire après le lycée. Quand je lui avais retourné la question, il m'avait répondu s'être disputé avec sa famille et être venue vivre dans le coin pour chercher un travail.

Quelques heures s'écoulèrent ensuite où nous parlions de tout et de rien avant que je lui propose d'aller dans un bar ensemble, comme à la bonne vieille époque, et je fus surpris par son hésitation.

Denis insista sur le fait qu'il avait beaucoup changé mais je lui disais que cela m'était égal, qu'il était toujours mon ami d'enfance. Il accepta finalement pour que l'on se voit en début de soirée.

Il m'indiqua l'adresse d'un bar, ajoutant qu'il m'attendrait dans le fond de la salle.

Je me sentais excité comme un enfant à l'idée de retrouver mon meilleur ami, après ce qui m'avait semblé une éternité. Arrivant au bar, je m'étais pris une bière et étais allé m'installer dans le fond de la salle. L'endroit n'étant pas très peuplé en milieu de semaine, les tables autour de moi étaient entièrement vides, à une exception près.

Pas loin de moi se trouvait une charmante demoiselle avec des cheveux décolorés en rouge, un corps plutôt athlétique, un chemisier blanc moulant une poitrine bien ferme, une jupe un peu courte, une paire de baskets et une veste rouge qui me semblait familière, tout comme son visage.

Je remarquais également qu'elle semblait me jeter des coups d'œils furtifs et qu'elle avait l'air gênée de me voir.

Les secondes s'égrainaient et Denis n'était toujours pas arrivé.

Soupirant d'ennui et étant intrigué par elle, je m'étais décidé à aborder cette fille, lui demandant si elle attendant quelqu'un. Surprise, elle bafouilla en me disant que oui. Quand je lui proposais d'attendre ensemble, elle me donna la même réponse maladroite.

Assit face-à-face, je tentais d'avoir une discussion avec elle, dont la gêne semblait tenace malgré les apparences qu'elle voulait se donner.

Elle s'appelait Denise, elle vivait ici depuis peu et ne connaissait pas énormément l'endroit.

Pendant notre échange, je finis par reconnaître la veste qu'elle portait. C'était celle que Denis s'était acheté à l'époque où il avait commencé à se laisser pousser les cheveux. Je lui avais dit que ça avait l'air efféminé mais que ça lui allait plutôt bien.

Je demandais alors à cette Denise si elle connaissait Denis, mon ami d'enfance qui avait la même veste qu'elle. Semblant gêné de répondre, je commençais à imaginer qu'elle était la petite amie de Denis et qu'il avait hésité à me la présenter, pensant que j'allais la draguer. Je lui dis alors qu'ils n'avaient pas à s'inquiéter, que jamais j'oserais tenter quoi que ce soit avec la petite amie de mon ami.

Prenant une grande inspiration, elle me proposa sur un ton las de sortir. Je la suivis sans plus réfléchir.

Quand elle paya sa consommation au bar, je ne put m'empêcher de remarquer la beauté de ses fesses.

A l'extérieur, elle m'emmena marcher en ville mais s'arrêta au bout de deux minutes.

Plongeant ses yeux dans mon regard d'incompréhension, elle m'annonça être Denis.

J'étais resté incrédule face à cette déclaration mais elle me montra une photo de moi et Denis quand nous étions à un concert, où il portait cette même veste, avant de me raconter qu'à l'époque déjà l'idée lui avait traversé l'esprit et que, après son déménagement, il avait décidé de sauter le pas. Malheureusement ses parents ne l'avaient pas acceptés et, depuis, il vivait seul.

Un entretien psychologique obligatoire plus tard, il avait fait une chirurgie pour avoir une poitrine mais hésitait encore concernant son changement de sexe.

Face à mon visage interloqué et incrédule, Denise commença à me raconter de nombreux souvenirs que nous nous étions créés durant notre enfance et notre adolescence. A tout moment je pensais encore que l'on allait m'annoncer que tout ceci était une blague, mais en constatant qu'une telle surprise ne venait toujours pas, je finis par croire à celle déjà présente sous mes yeux.

Je n'en revenais pas.

Denis, cet ami avait qui j'avais tant vécu se tenait devant moi sous l'apparence d'une femme.

Dans mon esprit, je me demandais comment concevoir ce changement et diverses pensées fusèrent.

Qu'est-ce qui avait bien pu le pousser à faire ça ? Pensait-il déjà de cette façon quand nous étions enfant ? Est-ce que cela a un rapport avec moi ? Il a changé pour moi ? Pourquoi lui ? Pourquoi mon ami Denis ? ...

Devinant probablement tout ce qui me passait par la tête, il m'invita à m'asseoir sur un banc, me disant qu'il était prêt à répondre à toutes mes questions en me demandant d'accepter ce qu'il est à présent.

J'avais trouvé la conversation embarrassante, mais je voyais que ce n'était pas évident pour lui non plus.

Après m'avoir apporté de plus amples explications, nous nous étions mis à parler de vieux souvenirs et, même si je lui demandais de temps en temps si l'un d'eux avait eu un rapport dans sa décision, la sensation d'avoir retrouvé mon vieil ami était bien là.

Le soir venue, j'étais rentré chez moi et j'avais pris quelques jours pour réfléchir à tout ça. Qu'est-ce que cela impliquait comme changements fondamentaux ?

Finalement, je l'avais recontacté pour lui proposer une soirée jeux-vidéos comme on en avait si souvent fait autrefois. Il avait accepté avec plaisir.

Dans ma chambre, avec un parc de bières et des gâteaux, nous enchaînions les jeux, jouant l'un après l'autre, en coopération ou bien l'un contre l'autre. Malgré la gêne du début, moi n'ayant pas l'habitude de le voir ainsi et lui ne revenant pas sur le fait que je l'appelais Denis et que je le désignais toujours au masculin, nous avions rapidement fini par nous amuser au point de ne pas voir les heures s'écouler.

D'autres moments se succédèrent ainsi durant les semaines qui suivirent et je fus surpris de remarquer que je m'étais habitué à ces changements au point d'appeler mon ami Denise.

Pendant une nouvelle soirée jeux, un orage gronda dans le ciel.

Elle me demanda si j'avais un parapluie mais je lui avais répondu que je n'allais pas la laisser affronter ce sale temps et nous avions convenu qu'elle resterait dormir, avant de simplement continuer à jouer.

Ce n'était pas la première fois que cela arrivait, mais sa féminité me troublait. D'habitude il me suffisait de penser à notre passer pour faire passer cette perturbation, mais l'idée qu'elle dormir dans avec moi enrichissait ce désordre.

Nous avions déjà dormi ensemble dans de grands lits mais je sentais que cela serait différent cette fois-ci.

Sa féminité, la beauté de ses fesses et ses seins si réalistes me troublait.

Quand le moment fut venue, je m'étais simplement couché avec mon plus large caleçon pendant qu'elle s'était déshabillée sous ma couverture, puis j'éteignis la lumière. Nous avions encore discuté dans la pénombre seulement troublée par l'éclairage de la ville à travers la fenêtre, mais la fatigue l'emporta sur elle.

Pour ma part, je ne trouvais toujours pas le sommeil. Les pensées embrouillées par la beauté de mon amie.

La pensant endormi, je pris le risque de soulever la couverture en découvrir son corps.

Dormant sur le dos, sa poitrine dansait au rythme de sa respiration dans un soutien-gorge simple. Plus bas, elle portait un string empaquetant son sexe masculin.

Cette réalité me revint d'un coup en tête.

C'était mon ami Denis que j'étais entrain de reluquer. Mon ami d'enfance. Lui avec qui j'avais partagé tant d'années de ma vie dans une franche camaraderie. Celui avec qui j'avais déjà abordé des filles et fait tant de connerie.

Il s'agita dans son sommeil à ce moment-là, me faisant sursauter, avant de me tourner le dos en se mettre sur le côté. Son cul mal caché par le fil de son string chamboula mon rythme cardiaque.

Ma main vint s'y poser, caressant sa peau si douce, alors que l'envie montait en moi.

En remontant mon regard sur lui, je vis qu'il me regardait aussi, avant de remarquer mon érection.

D'un geste hésitant, il vint y poser la main et commença à me branler à travers mon vêtement pendant que je continuais de palper sa fesse. Nous nous scrutions mutuellement, ne cherchant qu'à nous plaire l'un l'autre.

Il finit par se retourner vers moi, me faisant face et je vins l'embrasser tendrement. Ce baiser me fit l'effet d'un doux carambolage. D'un côté, l'impression de mélanger ma salive avec mon ami d'enfance me donnait envie de tressaillir, mais le plaisir que je ressentais me poussait à en réclamer davantage. Surtout au moment où il enleva son soutien-gorge et que je pris en main sa poitrine.

Avec la même attention de sa part, sa bouche glissa sur mon menton et couvrit mon torse de baiser, avant de descendre plus bas. Il baissa mon caleçon, empoigna mon sexe et commença à me sucer.

Un long soupir d'extase m'échappa quand il commença.

Il sembla vouloir me démontrer ses talents en donnant tout ce qu'il avait, me faisant me demander comment certaines filles que j'avais connues pouvaient prétendre être les meilleurs dans ce domaine. Il me demanda si j'aimais ça et je fûs surpris de lui répondre " Oh oui Denise. "

baissant son string, il me demanda si je voulais la baiser et je lui dis alors que ce serait avec plaisir.

Il se pencha alors dans son sac pour y chercher quelque chose, m'offrant une vue parfaite sur son cul mis à nu, ainsi que son sexe maladroitement caché. Un tube de lubrifiant à la main, il en fit allègrement couler dans sa fente et me demanda d'en faire de même sur ma verge.

Une fois les préparatifs faits, je m'introduire en lui.

Le prenant tout d'abord en douceur, je me mis à accélérer par la suite, lui arrachant des soupirs de plaisir. Il faisait si bon dans cet espace restreint que je l'accompagnais sans peine dans cette allégresse.

Notre frénésie dura pendant un temps infini jusqu'à ce que nous finissions par jouir. Moi en lui et lui sur mon drap.

Tous les deux épuisés, nous nous somme effondrés sur le lit. Alors que nous nous remettions de cette expérience, il s'excusa pour avoir souillé mon drap et je lui répondis avec euphorie que ce n'était pas grave, qu'il suffisait de l'enlever et de le laver.

Il m'avoua que ça lui avait fait bizarre de coucher avec moi, étant donné notre amitié, mais je lui avouais sans peine que ce sentiment était partagé.

Finalement, je l'aimais tel qu'il était, ou plutôt tel qu'elle était, mon amie Denise. 

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