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Ni Marie, ni Chantal
Marielle Charpin
court, très court
J’avais un air de Kojac au féminin, il faut de tout pour faire une mode…
J’avais décidé de faire un pied de nez à feu l’élu de mon cœur. Il aimait mes cheveux, je ne l’aimais plus. Il est permis d’être lâche non ?
La tâche fut difficile : raser presque 5 ans d’une vie capillaire mondaine, convenue et sage.
Dorénavant, je ne serai plus Marie, ni Chantal. Je serai moi : Saint Graal d’un autre à découvrir.