Observation d’une jeune femme en vrac... (Ne concerne que les initiés)

Embaumer des morts (quand on sait le faire), ou quand on y arrive pas : embrouiller les vivants (ou ses copines de lotissement)...

Ou comment essayer de se hisser au début d’un commencement de bourgeoisie, lorsque l’on est une paumée sans... aucun début de commencement de pensée.

Que faire dans ce cas précis ? 

D’abord trouver un mec qui assure le quotidien. Facile ?  Oui et non...

Très vite : péter plus haut que son cul. Un peu de chirurgie esthétique et ensuite coller 3 posters dans sa chambre : de vagues photos de casting dégotés lorsque l’on avait 16 ans.

Ensuite, quand le mec en question ferré, (dommage mais trop tard...) demande un minimum d’équité en terme de finances : choisir de faire des enfants, ou bosser...

Faire quelques «tentatives de carrière» (en prenant soin de se faire sauter pas ses boss). Cela dilue et temporise la demande.

Lorsque l’on se rend compte que cela ne marche pas, ou que l’on se fait avoir : proposer une vie de famille !

Effectivement quand le boulot ne marche pas au bout de 15 ans... autant tenter autre chose, non ?

Ensuite, après avoir tergiversé quelques mois, (quelques années pour les plus fortes), «accepter» de tomber enceinte. Et donc de ne pas travailler, bien entendu...

Attention : il ne s’agit pas de tomber enceinte de suite : il faut s’inventer quelques difficultés, quelques contraintes, quelques (???) pour faire croire à l’homme en question que cela se mérite !! L'homme ne doit jamais s'ennuyer et doit toujours avoir un problème à régler.

Après quelques rebondissements thérapeutiques, (dont l’homme en question se fout royalement, la preuve : il ne contrôle rien...),  tomber ENCEINTE.

Avec un peu de chance... cela marche !

L’homme étant totalement omnibulé par la perspective d’obtenir enfin quelque chose de cette association, et éventuellement de sa compagne :  il perd enfin tous ses repères réflexifs et logiques ! (Ceci étant la condition minimale).

La femme a atteint son objectif : ne pas bosser, monter une mayonnaise (limite en terme de date «limite»), qui lui permet de trouver une tonne d’excuses pour pallier sa bêtise et son manque de moyens, son manque d’envie, en plus de sa fainéantise intellectuelle.

Moralité : l’homme ne risquera jamais d’être dépassé par une femme «bête», et la femme est à l’abri du moindre effort. Lui restera tout de même à se focaliser sur sa progéniture jusqu’à l’abimer, à apprendre à parler couches-culottes avec les copines, mais cela sera très facile.

Dans le fond, et morale de l’histoire : service rendu pour service rendu !

Chacun sa merde, chacun sa béquille. 

Et tout le monde s’emmerde dans la «famille».
Surtout les enfants... Dommage.