On people "sectarism"

On people « sectarism »

(observation des relations entre individus dans notre société moderne)

Par peur, par méfiance ou a priori, les gens mettent des barrières autour d’eux, dans leur relation avec l’autre.

Ces barrières sont imperceptibles par les sens habituels : on ne peut les toucher, ni les voir, ni les sentir, mais elles existent bel et bien car on peut les « percevoir ». Elles se matérialiseront parfois sous forme de mots, de gestes confus, de cris…

Ils ne tolèrent pas de proximité, ni même parfois un regard, et ne sont aimables qu’avec les personnes qu’ils connaissent ; dans ce cas, il y a une réalité commune qui apporte une sécurité, qui rassure.

C’est donc une sorte de blocage qui existe entre les individus. Cela empêche une certaine harmonie dans les relations de base entre les acteurs de notre société.

Il faut comprendre que ces « peurs » et ces « méfiances » sont en parties dues à un conditionnement répété de la part des médias, autorités (parents, professeurs, etc…). Elles peuvent être également une conséquence par rapport à un vécu désagréable.

Par comparaison avec des individus faisant partie d’une tribu plus primitive, on peut y observer un « non-état » de barrière entre chacun. Ils sont simplement en communion les uns avec les autres et plutôt en accord. Ils vivent en groupe et se connaissent bien. Ils ne portent pas de jugements hâtifs sur l’autre, ni ne mettent de barrières dans leur relation.

Ces peurs et blocages sont des réactions, des ressentis face à ce qu’ils perçoivent chez les autres (couleur de peau, langue parlée, tenue vestimentaire, coupe de cheveux, etc.).

Pour moi, cela rejoint l’idée qu’ils ont oublié (au fil des siècles) qu’ils ne sont qu’Amour et ne font qu’un.