pace e salute

Antonio Ortelli

ses De ruelles qui sillonnent les âmes

De ses villages ou chantent les larmes

                   Je veux m’envahir.

   Pour ces femmes que la mort a teinté de noir

Pour ces hommes qui polyphonies l’espoir

                   Je veux m’investir

Sur cette île ou la beauté prône

Ou l’honneur y siège sur un trône

                   Je veux y mourir.

O Corse tant chantée , tant aimée

Ou les corbeaux ne peuvent point voler

Où les brebis galeuses n’attendent que la mort

Sur tes terres sauvages j’y grave mes trésors

                   Garde ta culture , et avec force protège là

L’honneur en bandoulière je te suis pas a pas .

                                                                 

Tony

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