PARTIE N°2

florentin

Ecrit par Florentin entre le 24/07/2012 et le 11/05/2019

Chapitre : la dernière année du collège, la fessée.

 

Je me souviens très bien de ce jour, une belle journée de printemps ensoleillée, nous étions la veille des vacances de pâques.

Nous rentrions du collège, il faisait beau, tout était bien dans le meilleur des mondes. Cette année-là Laurence s'était métamorphosée en belle jeune femme. Elle était joyeuse comme toutes les veilles de congés.

A cette époque, Laurence s'habillait avec des tenues beaucoup plus féminines pour aller en cours. Ce jour-là elle portait une petite jupe plissée avec des motifs écossais et une chemisette à manches courtes.

Cet événement allait peut-être un déclencheur pour la suite d'une histoire qui dura quelques années. Certainement qu'il nous rapprocha encore plus, pourquoi je ne saurai le dire, surtout de sa part. Je peux affirmer au moins une chose, si cet évènement n'a pas eu de réel d'influence sur la suite, il eut au moins une grande importance sur mes désirs.

Quand nous sommes rentrés chez Laurence.

« Bonjour maman. »

« A te voilà. »

Il y eut une discussion entre Laurence et sa mère, puis un éclat de voix. Je ne me souviens plus du motif de cette dispute. Elle avait répondu sèchement sa mère, sa mère le prit mal.

Quand je suis entrée dans la salle à manger, sa mère assise sur une chaise, l'avait allongé sur elle. Elle avait relevé ta jupe. Elle prit sa culotte par l'élastique de la taille pour la baisser jusqu'au milieu des cuisses. Laurence essayait de l'empêcher en se retournant. Elle avait le bassin horizontal, son tronc sur le côté, une main en appui sur le sol, l'autre en l'air qui essayait d'attraper la main de sa mère qui lui donnait la fessée, son chemisier laissait entrevoir un soutien-gorge rose pale et une bonne partie de son épaule, la pointe de ses cheveux touchait le sol.

Même si le moment n'était pas le plus opportun, le plus fantastique pour moi, fut de découvrir la partie la plus intime de Laurence entre ses deux jolies fesses qui commençaient à rougir et ses deux cuisses une partie charnue lisse et joufflue, séparée par une fente verticale, comme un bel abricot.

Laurence essayait de l'empêcher de continuer à lui donner la fessée, sa main ne pouvant atteindre le bras de sa mère, elle essaya de relever sa culotte en me jetant un regard désespéré.

Je ne savais pas trop quoi faire.

J'avoue avoir fait le voyeur et profiter de la situation. Sa croupe avait des formes sensuelles qu'il était difficile de ne pas admirer. Dans la position où je me trouvais, je vis un peu plus que son charmant fessier, j'avais une position privilégier pour tout voir et j'en profitais.

Cette ligne verticale séparait deux parties charnues et lisses. Troublante cette vision, elle avait un sexe ressemblant à un joli fruit que j'imaginais bien mûr et succulent.

La fessée finie, sa mère lui ordonna de monter dans sa chambre.

Quand Laurence monta les escaliers sa jupe n'était pas complètement redescendue, elle laissait apparaître une culotte mal remise qui me laissa encore voir quelques instants ses charmantes rondeurs.

Je m'esquivais discrètement.

Pour moi, la nuit suivante fut agitée par des rêves sensuels, je revoyais ses fesses et ce début de trésor intime. Cette nuit-là, j'ai dû bander tout le temps. Les nuits suivantes, je rêvais encore et encore d'elle, maintenant Laurence hantait presque toutes mes nuits.  

Le lendemain matin, le téléphone sonna. C'était Laurence.

« Je suis punie je n'ai pas le droit de sortir. Mais ma mère accepte que tu passes pour réviser les maths et l'anglais avec moi. »

Il y eu un temps mort.

« Les copains veulent que nous allions faire du sport au stade municipal. »

« Aller dit oui…Tu ne peux pas laisser ta meilleure amie seule. »

Il y eu pas mal de blablabla…. 

Elle avait le baratin et l'humour que les filles savent sortir quand elles veulent absolument quelque chose à tout pris.

Je finis par céder, je savais à l'avance que je dirais oui, mais écouter ses arguments étaient un vrai plaisir.

Choisir entre passer du temps avec sa meilleure amie ou ses copains déjà à l'époque mon choix était simple : l'amie.  

« Bon d'accord, je viens te voir. »

Quand je suis arrivé devant sa maison. Sa mère était dans le jardin à travailler.

« Entre…Avec ce qui c'est passer hier, tu dois penser que c'est une maison de malades. »

« Ça m'arrive aussi de temps en temps de recevoir une claque. »

« Elle le méritait…. De toute façon ce n'est pas une fille, c'est garçon manqué elle a le crâne dur comme du bois. Un quart d'heure après, elle écoutait de la musique et dansait comme si rien ne s'était passé. »

Je pensais : Oui, elle a été un garçon manqué, aujourd'hui ce n'est plus exactement ça.

« Aller monte la voir. Elle est dans sa chambre, elle révise sagement pour une fois. »

Je frappe à la porte.

« Entre. »

Quand j'ai ouvert la porte, elle était sur son lit, allongée sur le ventre, avec ses cahiers et livres ouverts. Je la voyais de dos. Elle avait fait un chignon avec ses cheveux plus près du pétard que de la coiffure de la petite fille modèle. Laurence tourna la tête, elle portait ses lunettes. Elle me fit un très joli sourire.

Un détail me surpris, elle avait une petite jupe courte relevée qui laissait voir la moitié de sa culotte bleu clair légèrement transparente.

Inattention de sa part, à l'époque mon manque d'expérience me faisait poser beaucoup de questions sur le comportement des femmes. Aujourd'hui, ce genre de question je me les pose plus, je connais la réponse.

Une femme ne laisse rien à l'improvisation dans son comportement et sa tenue, surtout s'il s'agit d'une relation amoureuse.

Elle tendit la joue, et me la montra avec son index, pour me faire signe qu'elle voulait un bisou.

En m'approchant d'elle, Laurence sentait le parfum.

C'était la première fois. Deviendrait-elle définitivement une jeune femme. Sa métamorphose serait-elle achevée.

Nous avons travaillé un peu.

Maintenant, nous entendions sa mère travailler dans le bas de la maison.

Je voyais bien que quelque chose la préoccupait. Elle finit enfin par me questionner. 

« Pour hier, t'as vu quoi ?»

Un peu hésitant.

« Une mère qui donne une fessée à sa fille. »

« Ce n'est pas exactement la réponse que j'attendais, plus précisément ? »

« Tes jolies fesses. »

« Oui, je m'en doute, autre chose ? »

D'un ton innocemment.

« Tu veux parler de quoi. »

Elle d'un ton inquisiteur.

« Devine …. Ce que les garçons rêvent de voir chez une fille. »

« A part leurs fesses et leurs seins je ne vois pas ?»

« Humm. »

En secouant la tête d'un ton douteux.

« Non rien vu, j'avais très mal pour toi. »

« Rassure-toi, elle ne tape pas trop fort ça fait même pas mal. »

J'étais un peu dubitatif.

« Tu es sûr que tu n'as rien vu ?»

Devant ses questions insistantes, ce qui me sauva, c'est sa mère qui monta l'escalier.

« Chut en posant un doigt en travers ma bouche. »

Elle se redressa, replaça sa jupe. Je compris qu'il n'y avait ni hasard et inattention dans cette jupe relevée.

« Alors, vous travaillez bien ? »

« Oui maman, j'ai compris quelques petits trucs. »

« C'est bien, dans un quart d'heure vous descendrez manger des crêpes. »

« Waouh. »

Quand sa mère ressortit de la chambre, Laurence me dit.

« Elle regrette d'hier…. Les crêpes c'est sa demande de pardon. Je t'interdis de parler de ce qui s'est passé hier. A personne, tu as compris ou entre nous, c'est fini. »

« Une tombe, je suis une tombe. »

« Humm, je ne te demande plus rien, de toute façon tu ne me diras pas ce que tu as vu. Tu as bien compris silence personne ne doit savoir. »

 

 

Chapitre : la chambre de Laurence.

 

Il y avait un lit double, un bureau avec deux étagères remplient de livres et de cahiers, une armoire de style anglais en pin, 2 chaises, un chevet, un grand tapis sur le parquet.

Elle était toujours bien rangée. La raison était simple, elle ne voulait pas que sa mère mette le nez dans ses affaires.

Sa chambre était aussi l'endroit des conversations sérieuses.

Elle me parlait de ses préoccupations du moment. Il y avait les problèmes d'actualités et ses secrets les plus intimes.

A ma connaissance, en public, elle ne parlait pas de ses problèmes personnels.

Je pense que sa confidente était Jeannette.

Jeannette savait garder des secrets, Laurence me l'avait dit.

Il y a un âge ou les femmes se posent des questions sur le sexe.

Le sujet était rarement abordé de façon directe, mais c'était un sujet qui la préoccupait beaucoup.

Les relations de ses copines avec les garçons.

Je ne pense pas qu'elle avait un problème avec le sexe. Mais elle l'abordait avec pudeur, de façon détournée.

Elle me faisait comprendre qu'elle voulait que nous fassions l'amour ensemble mais qu'elle n'était pas tout à fait prête.

Et surtout elle voulait faire l'amour et dormir avec son amant la première fois, elle ne voulait pas un coup à la va vite.

 

 

Chapitre : mes rêves.

 

Laurence avait une curiosité inépuisable comme toutes les femmes. Toujours à me poser des questions sur elle, sur moi, ce que je pensais de si de ça. Des questions que je ne comprenais même pas qu'une personne puisse se poser.  Si je rêvais d'elle.

« Oui, je rêve tout le temps de toi. »

Que pouvais je lui dire. Mes rêves les plus sensuels étaient toujours pour elle. La nuit, je pensais toujours à elle. Surtout après avoir passé beaucoup de temps avec elle dans la journée. Je la revoyais dans sa tenue de la journée.

Le pécher de chair me hantait.

Elle cherchait toujours à en savoir plus.

La ruse était pour elle de me dire : « Cette nuit j'ai rêvé que nous faisions l'amour, et tu rêves que nous faisons l'amour. »

« Je ne me rappelle plus mes rêves. »

« Je ne te crois pas ! »

Difficile de résister à des interrogatoires répétitifs.

 

 

Chapitre : Laurence la miss.

 

Laurence avec l'âge avait accepté son corps de femme, je crois qu'elle n'avait aucun complexe sur son physique. Même pour une jolie jeune femme c'est rare.

De temps en temps, elle aurait voulu un peu plus de poitrine, le lendemain s'était le contraire.

En revanche ses fesses et ses jambes, elles les trouvaient parfaites, son minois aussi.    

Ce qu'elle détestait le plus, sa peau blanche, elle rêvait d'avoir une peau mate, à l'époque le bronzage était de mise pour toutes les femmes, la grande mode.  

Elle adorait porter des jupes courtes et des vêtements moulants.

Elle profitait de ce que la nature l'avait dotée de quelques jolis arguments. A la fin de son adolescence, elle savait se mettre en valeur.

C'était un jeu pour elle de m'allumer à chacune de nos rencontres.

« Si je participais à un concours de miss, je gagnerais. Tu en penses quoi ? »

« Même si tu perdais, tu resteras toujours aussi belle. »

« Je suis ta miss ? »

« Tu es ma Déesse. »

 

 

Chapitre : le baiser.

 

Les vacances de Pâques finies. Nous avons repris les cours.

Quand je la regardais je la trouvais toujours plus sensuelle, le printemps et l'été sont les périodes des vêtements légers. Avec le soleil qui brille et la chaleur qui monte, les filles se dévoilent avec leur tenue légère.

Quand je venais réviser avec Laurence, je constatais maintenant qu'elle s'habillait en vraie jeune fille. Son comportement était bien différent avec ses petites attentions envers moi, le soin qu'elle prenait à son apparence quand nous étions tous les deux ou en public.

Elle me surveillait. Quand nous étions en groupe. Surtout quand il y avait ses copines à coté de moi. La peur que je dévoile un secret qu'elle m'avait dit de garder ou une jalousie naissante ?

Un après midi, que je sortais d'un examen blanc, je fus surpris de voir Laurence. Elle m'attendait à l'ombre, assise dans un des escaliers du bâtiment de l'école. Il était impossible de la rater, le dos en appui sur la rambarde, les jambes allongées et croisées avec sa jupe fleurie et un chemisier à manches courtes blanc.

Elle eut un sourire en me voyant.

« Bonjour mon chéri, tu vas bien ? »

« Bonjour joli cœur, oui, tu fais quoi ici ? »

« Je t'attendais à l'ombre du bâtiment. Dehors il fait trop chaud. »

Elle passa sa main dans ses cheveux pour les faire passer sur son épaule droite. Un bouton s'était dégrafé ou elle avait dû dégrafer un bouton de trop, son décolleté me laissa voir l'un de ses seins. Ce jour-là, elle ne portait pas de soutient gorge.

« Ta classe a fini les cours depuis 2 heures. »

« Oui, mais j'avais envie de te voir seul. Avec ces examens blancs nous ne nous voyons pas beaucoup. »

« C'est vrai. Mais je pense souvent à toi. Je t'aide par la pensée dans tes épreuves. »

Elle eut un sourire de satisfaction.

Elle se mit debout replaça sa robe qui n'était pas bien longue, reboutonna rapidement ce bouton qui n'aurait pas dû être dégrafé à moins que…

« Demain nous pourrions faire un tour dans les champs, dans les endroits où nous allions quand nous étions au collège. »

« Tu as parlé aux autres ? »

Je sentis un certain agacement de sa part.

« Je te parle de nous deux ! »

Pour rattraper le coup.

« Je blague, j'avais compris. »

Elle haussa les épaules. Nous sommes partis à pieds tranquillement prendre le train. Ce jour là, je me souviens de son charme radieux. Elle avait les yeux lumineux et un sourire malicieux.

Le lendemain.

Ce mercredi matin-là, nous étions partis dans les petits chemins que nous avions pris tellement fois que nous ne faisions pas beaucoup attention où nous allions. Jusqu'au moment où nous sommes passés devant ce bâtiment agricole au milieu des champs où nous avions fait les 400 coups, il y a quelques années.

Laurence me dit.

« Je suis sûr que tu n'es plus capable de monter sur les poutres. »

« Tu vas voir. »

Ce bâtiment avait 3 cotés fermés, la façade possédait que des poutres en bois qui devrait servir à la structure de l'édifice. La première poutre horizontale devait se trouver à un mètre du sol, la deuxième deux mètres cinquante. Je me suis retrouvé rapidement suspendu par les pieds à la deuxième poutre.

« Ne bouge pas. »

« Il y a un Problème ? »

« Non. »

Elle s'assit sur la poutre la plus basse. Elle me regarda.

« Je ne pensais que tu n'arriverais pas à le faire si rapidement. »

Elle se rapprocha de moi.

« Tu comprends, je ne peux pas faire comme toi, me suspendre la tête en bas. »

« Pourquoi ? »

« Je suis une jeune fille maintenant, et une demoiselle bien élevée ne peut pas montrer ma petite culotte à tout le monde. »

« Il y a que moi. »

« Peut-être, peut-être pas. Mon père dit que les murs ont des oreilles et les champs des yeux. Et je n'ai pas forcément envie que tu voix ma petite culotte en dentelle transparente. »

« C'est dommage, il y a des jours ou tu es moins pudique. »

« Hum. C'est quand, nous sommes vraiment que tous les deux. »

« Pourquoi tu n'as pas mis un short ou un pantalon. »

« Aujourd'hui, je voulais être belle. »

« Tu es toujours très jolie. »

Elle me fit un petit sourire.

« Le terme exact, je voulais être féminine. »

« Jolie et féminine depuis quelques temps tu l'es tous les jours. »

Il y eut un petit silence.

« Approche toi. »

D'une main, je saisie la poutre sur laquelle j'étais suspendu.

Je sentis sa main se poser sur mon dos.

Au moment où je tournais la tête pour la regarder, ses lèves se posèrent sur les miennes.

Nos langues se mélangèrent. Ses lèves avaient le goût de la fraise.

« Alors, jolie récompense ça t'as plus. »

« Humm… t'as le gout de la fraise. »

« Tu n'as que ça à me dire !»

« J'adore les fraises, je crois que je les adore encore plus maintenant. »

Laurence se mit à rigoler.

« Descend de là que je t'explique. »

A peine j'étais descendu que ses lèves étaient déjà sur les miennes.

Nous sommes restés un bon moment à nous embrasser. Ses lèves étaient voluptueuses et délicieuses, nos langues humides étaient nerveuses. Son corps était plaqué contre le mien, impossible de ne pas bander.

Elle portait un parfum aux senteurs suaves et légères. Ce moment était divin. 

Elle me serrait avec son bassin, il faisait quelques petits mouvements lents. Elle devait sentir mon sexe raide impossible qu'elle ne le sente pas.

« C'est quoi l'explication ? »

« Tu viens de l'avoir, il faut être dans le même sens pour s'embrasser correctement. »

« La fraise a disparu !»

Elle me regarda.

« Forcement tu as tout pris. »

Ses lèvres se posa à nouveau sur les miennes. Puis nos langues se mélangèrent.

Je l'embrassais dans le cou. J'entendais sa respiration et je sentais son cœur battre très fort.

« Tu m'aimes ? »

« Si je ne t'aimais pas je ne serais pas là avec toi. »

« Tu seras attendre ? »

« Quoi ? »

« M'attendre pour faire l'amour ? »

« Tu connais la réponse, oui. »

« J'ai envie mais je ne suis pas prête et je voudrais que la première fois ne soit pas un coup à la volé. »

Je l'embrasse sur le front.

« Tu me fais vraiment mouiller. »

Je souris.

« Tu dois penser que je suis une folle ? »

« Non, tu es très belle dans tes doutes. »

« Je sais que nous ferons l'amour ensemble, mais tu dois être un peu patient avec moi. »

Je l'embrassais à nouveau.

« On doit rentrer, il commence à être tard. »

Sur le chemin du retour.

Elle prit son mouchoir pour m'essuyer la bouche.

« C'est mieux ainsi, un garçon avec du rouge à lèves, ça peut laisser penser que tu es homo… c'est pour ta réputation que je t'enlève mon rouge à lèvres. »

« Bien sûr, il n'y a pas d'autre motif. »

« Pour quel autre motif, tu veux que ce soit ? »

Elle était pliée de rire.

« Tu connais ma mère. C'est le KGB et la CIA réunis. »

A une centaine de mètre de sa maison, elle me donna un dernier baiser et remit du rouge à lèvres.

« Je suis parti avec du rouge, je dois rentrer avec du rouge. »

Elle ouvrit le portail.

« A demain, mon chéri. »

« A demain jolie môme. »

J'entendis un je t'aime tout bas. Je lui fis un signe de la main. J'aperçus sa mère à la fenêtre de la cuisine qui nous regardais.

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