PARTIE N°4

florentin

Ecrit par Florentin entre le 24/07/2012 et le 11/05/2019

 

Chapitre : les vacances, le trajet.

 

Retour à la suite de notre histoire.

Maintenant, nous étions en vacances pour de bon. Nous sommes partis tôt le matin, le jour n'était pas encore levé.

Avant le départ, Laurence était excitée comme une puce. Même son frère fut surpris.

« Je n'ai pas le souvenir de l'avoir vu si turbulente pour un départ en vacances ».

Il me glissa à l'oreille.

« Je pense que tu n'es pas étranger à ce comportement ».

Une fois tous dans la voiture, rapidement, Laurence s'était assoupie.

Sa tête se balançait un coup à droite un coup a gauche, jusqu'au moment où son frère en eu marre. Il la poussa sur moi.

« Tu n'es pas ma meuf, dégages. »

Il reçu un coup de poing dans l'estomac.

Laurence se laissa tombée sur moi, sa tête posée sur mes cuisses.

Sa mère : « Il se passe quoi entre vous ? »

« Rien comme d'habitude Laurence à besoin de toute la banquette arrière pour dormir, elle emmerde tout le monde. »

Le calme est vite revenu, Laurence s'était assoupie.

Je voyais sa mère observer les choses dans son rétroviseur. Elle avait glissé une main entre mes cuisses et la banquette.

Je ne sais pas à quoi elle rêvait. Mais l'érotisme était surement au rendez vous. Car vers la fin du trajet, quand Laurence se réveilla et se releva. Ses tétons pointaient à travers son tee-shirt. Elle me regarda avec un petit sourire qui en disait long sur ses envies.

 

 

Chapitre : les vacances, la découverte de la maison familiale.

 

A peine nous étions arrivés que Laurence alla dire bonjour à un chat qui dormait là devant la maison. C'était le chat d'un voisin qu'elle connaissait bien. Elle adorait les animaux.

Nous nous sommes installés dans nos chambres que sa mère nous désigna.

« Florentin n'est pas dans la chambre prévue, maman tu ne l'as pas mis dans la chambre bleue. »

« Non, car ta cousine risque de venir. »

Laurence fit la moue. Quand nous sommes sortis de table et que nous étions seuls tous les deux.

« Je suis sûre qu'elle l'a fait exprès. »

Je secouais la tête.

« Tu te fais des nœuds au cerveau. »

« Elle, à mon âge elle se faisait déjà sauter par mon père. »

« Tu parles de ta mère. »

« Peut-être, mais les mères ne sont pas que des mères, elles aiment aussi baiser. »

« Garde ton calme. »

« Elle baise toujours, je l'entends avec mon père et elle aime ça. »

« Elle a droit. »

« Oui, mais pas d'empêcher sa fille de baiser, on baisera quand même, elle doit rentrer pour son travail la semaine prochaine. »

Cette chambre bleue était un peu particulière. Elle était à côté de celle de Laurence. Une salle de bain commune. Une porte qui permettait de communiquer directement entre les deux chambres.

Ce que j'observais sa mère l'avait aussi surement remarqué. Cette transformation physique, ce comportement, le soin qu'elle apportait maintenant à son apparence. Elle devait penser, un peu d'éloignement éviterait peut-être…

 

 

Chapitre : les vacances, le premier soir.

 

Le soleil commençait à descendre à l'horizon.

Laurence avait pris rapidement ses aises. Elle s'était allongée sur le canapé pour lire.

Sa mère était partie dans le jardin chercher quelques légumes.

Quand sa mère entra dans la maison.

« Tu pourrais te tenir correctement, tu n'as plus 6 ans. »

Laurence rigola un bon coup. 

« Ben si !»

« Tu montres tes fesses à ton invité cela ne se fait pas. »

« Elles sont jolies mes fesses…. Ce serait dommage de ne pas les montrer !»

Laurence compris le message subliminal, tu as invité ton copain donc tu dois m'aider au lieu de te prélasser. Laurence se leva pour aider sa mère à préparer le repas.

A tous les repas que nous prenions avec sa mère, Éric et Laurence se chamaillaient.

Rapidement, je compris l'astuce, le principe était de parler un maximum de temps pour que leur mère ne puisse pas leur poser la moindre question.

Il y avait toujours un moment ou un silence arrivait.

Il faut dire que leur mère était gentille mais légèrement casse burette.

Il y eut cette première réflexion envers Eric

« Cette année, j'espère que tu iras moins trainer. » (Sous entendu les filles).

« Je ne traine pas, je me balade. »

« Prend exemple sur ta sœur. »

« Et bien moi je me méfierais de l'eau qui dort comme tu me l'as toujours expliqué, quand nous allons à la rivière nous baigner. »

J'ai bien senti un coup de pieds passer sous la table entre la sœur et le frère. Je n'avais pas encore compris pourquoi mais j'avais tout de suite soupçonné un petit secret entre eux deux.

« Vous comptez faire quoi demain ? »

« Il faut aller à la ferme chercher du lait et du fromage blanc, l'après-midi on peut aller se baigner et monter à la croix pour voir le paysage. »

« Ma petite chérie si tu vas te baigner, tu n'auras pas le temps d'aller à la croix. »

« Nous verrons en fonction du temps. »

« Et toi Eric, tu vas vérifier le cheptel de filles. »

« Euh, non pourquoi cette question ? »

« Oubli pas les préservatifs, ce n'est pas parce que nous sommes à la campagne, qu'il n'y a pas de maladie. »

« Comment tu veux qu'il y ait des maladies, ils baisent entre eux. »

« Fait ce que je te dis. »

« Oui, maman. »

 

 

Chapitre : les vacances, le premier jour.

 

Le premier jour de vacances.

Ce premier jour pour Laurence fut une journée de délire.

Elle retrouva ses instincts de gamine et de garçon manqué en grimpant aux arbres.

Elle me fit visiter son « domaine » tous les lieux qu'elle adorait où elle jouait quand elle était plus petite.

Nous sommes montés à la grande croix, la colline la plus haute des alentours, le ciel était légèrement brumeux, mais le panorama splendide.

Nous fîmes une pause casse-croute avec baisers et re-baisers. 

Elle était heureuse et souriante.

Sauf à un moment ou elle eut cet instant de cafard. Je la connaissais bien. Il fallait tout de suite trouver un sujet pour occuper son esprit ou lui raconter des histoires drôles ou salaces, comme toutes les filles elle faisait semblant d'être outrer mais cela ne lui déplaisait pas. Il ne fallut pas longtemps pour changer d'humeur.

Laurence se leva et enleva son tee-shirt.

« Et les blaireaux qui nous matez avec vos jumelles, regardez ses nibards vous en avez rarement vu des comme ça. »

« Tu ne t'arranges pas. »

 Elle rigola.

« Par moment, tu ne te sens pas observé ? »

« Je n'ai pas l'impression. »

« Mon père dit toujours : les murs ont des oreilles et les champs des yeux. »

« Il n'y a personne. »

« C'est ce que tu penses. La prochaine fois je leur montre mon cul. »

Je fis un signe de la tête lui montrant mon désaccord. 

« Tu dois m'accepter comme je suis avec mes folies. »

« Je sais, tes délires font partie de ton charme. »

 


Chapitre : les vacances, les premiers jours.

 

Les deux ou trois premiers jours, nous étions tous dans un round d'observation, Laurence, moi, son frère et sa mère. Son frère on ne le voyait pas ou peu, juste pour les repas.

Les premiers jours, juste après déjeuner nous passions une petite heure à travailler.

Nous nous installions dans la cour intérieure protégée du vent par les bâtiments.

J'avais toujours l'impression que nous étions observés.

Je fis la remarque à Laurence.

« J'ai l'impression d'être observé ».

Elle me répondit :

« Ce n'est pas une impression. Elle est toujours en train de jeter un œil par la fenêtre. Tu vois je te l'avais dit j'avais raison pour la chambre bleue. »

« Tu as surement raison pour la chambre. Celle que j'ai est bien aussi. »

Laurence eut un sourire et haussa les épaules.

Il ne se passait pas une séance de travail sans qu'elle parte faire un truc, pipi, chercher un gâteau, etc.

Moi je la regardais partir les yeux fixer sur ses fesses.

Elle se retournait et me faisait un petit signe.

J'avais du mal à me concentrer entre ses maillots de bains ou ses vêtements légers qui laissaient voir son anatomie et sa mère qui devait se poser beaucoup de questions et qui cherchait surement à nous surprendre en flagrant de délit de pêcher.

La fenêtre de la cuisine lui permettait surement d'entendre quelques briques de nos conversations.

Laurence écrivait les choses que sa mère ne devait absolument pas entendre.

Les rendez-vous avec Éric, sa copine et nous, étaient top secret pour sa mère.

Oui un détail que j'ai omis. Laurence ne voulait toujours pas montrer à sa mère notre relation amoureuse, pas de baiser sur la bouche devant elle juste sur la joue soi-disant pour ne pas avoir à répondre à certaines questions.

 

 

Chapitre : les vacances, les matins de Laurence.

 

Laurence avait des réveils très différents d'un jour à l'autre.

Les matins difficiles, impossible de lui parler avant qu'elle ait pris son petit déjeuné.

Ou l'inverse, levé matinal, elle passait son temps à lire et à attendre que tout le monde se lève.

Je me souviens d'un levé matinal qu'elle avait eu.

Quand je suis arrivé dans la cuisine. Laurence était assise tranquillement en nuisette un livre à la main une tasse de café posé sur la table.

Dans une indifférence apparente comme si je n'étais pas là, elle eut un jeu de jambes qui laissa apparaître son petit joyau. Le geste n'était pas innocent, elle écartait suffisamment les jambes pour me faire comprendre que c'était volontaire.  

Lorsque le matin, la première chose vue est une jolie petite chatte. Je peux vous dire que la journée commence bien.

Après être allé chercher le café dans la cuisine. Je suis revenu m'asseoir devant Laurence pour déjeuner, elle avait croisé les jambes.

Elle eut un petit sourire innocent.

« Bonjour, tu vas bien Florentin ? »

« Oui et toi jolie demoiselle ? »

« Très bien, je trouve qu'il fait très chaud ici ! »

« Oui en effet, il n'y a pas que la température qui est chaude. »

« Tu as fait trop chauffer ton café ? »

« On peut dire ça ! »

« Mets du lait froid. »

« Il parait qu'il faut agiter le café pour qu'il refroidisse plus vite. »

« Agitation, lait. Moi je pense que je tenterais l'expérience un de ces jours. »

Je lisais une certaine satisfaction sur son visage.

« Patience… 4 jours à attendre. »

Il y eu ce matin ou elle n'était pas dans la maison.

Son frère me dit d'aller voir derrière la maison : « il y a une petite clairière où elle aime aller. »

Je me dirigeais dans cette direction.

Je l'aperçus en limite de cette clairière. Elle était assise immobile sur un tronc d'arbre, les jambes légèrement pliées. Les deux avant-bras entre ses cuisses les mains posées sur le tronc.

Elle portait un tee-shirt blanc et un short noir, cheveux les en bataille mais tous passaient sur son épaule droite.

Ses yeux regardaient dans le vide, sa bouche légèrement entre verte.

Je m'arrêtais pour l'observer. Difficile de savoir à quoi elle pensait. Elle semblait être dans un autre monde et de fusionner avec la nature.

Je m'approche doucement.

A deux ou trois mètres de Laurence.

« C'est toi ? »

« Bien sûr. »

Je ne voyais plus son visage mais la joue que je pouvais voir partiellement je pouvais deviner qu'elle souriait.

« Sers moi fort. »

Je m'assis derrière elle et je l'enlaçais.

 « ça ne va pas, tu as mal quelque part ? »

« Dis-moi des mots d'amour sans t'arrêter. »

Je commençais à lui dire tous les mots d'amour et les phrases qu'elle aimait entendre.

D'un seul coup, elle se leva

« J'ai faim tu viens déjeuner avec moi mon amour. »

« Bien sûr joli petit coeur adoré. »

Elle se retourna, m'embrassa.

« Merci. »

« Je n'ai rien fait. » 

« Plus que tu ne le penses, quand nous dormirons ensemble, le soir tu pourras me redire tous ces mots d'amour que tu m'as dit avant que je m'endorme avec toi. »

« Evidemment joli cœur. »

« Mais avant tu me fera l'amour. »

Arrivé à la cuisine, elle prit 2 grandes tasses, elle versa du café à ras bol.

« Prends les gâteaux sur la table et la confiture, qui sont sur la table de la cuisine. »

Je la regardais manger. Elle était passé d'un état étrange difficile à comprendre, elle ne voulait jamais en parler et nous donner des explications à un état joyeux, elle dévorait tout ce qu'elle voyait et racontait des blagues.

Eric passa.

« A te voilà sœurette, visiblement ça va bien. »

« Quelques mots d'amour et un bon patin sont les meilleurs médicaments. »

« Tu devrais rajouter une chatte humide avec une bite bien dur. »

« ça c'est quand maman sera partie, il ne faut pas prendre tous les médicaments ensemble, elle est où ? »

« Partie au marché avant les fortes chaleurs, la météo annonce de fortes températures aujourd'hui, tu veux que je reste. »

« Non Florentin doit me réciter à nouveau des mots d'amour, ton amoureuse t'attend je suppose. »

« Aller à plus tard, quand maman sera partie, je vous la présenterai, je crois que c'est la bonne. »  

« Tous les ans tu me dis c'est la bonne. »

« Là c'est différent. »

         

 

Chapitre : les vacances, le 4e jour.

 

Quand je me suis levé et que je suis entré dans la cuisine, sa mère semblait bien triste.

Laurence arriva juste après moi. Elle ressemblait plus à un zombie qu'à une charmante jeune fille.

Habituellement, dans ce cas, il était impossible de lui dire un mot avant qu'elle ait avalé 2 ou 3 gorgés de café.

Mais ce matin là, elle avait remarqué comme moi l'attitude de sa mère.

« Il a un problème ? ».

« Un collègue de travail qui est mort d'une crise cardiaque, je vais à l'enterrement demain. Je partirais de bonne heure, je rentrerais dans la nuit ou le lendemain matin de bonne heure ou peut-être dans 2 ou 3 jours, je vous tiendrais au courant. »

Moi j'écoutais et observais. Laurence fit la moue.

Ce soir-là, sa mère nous expliqua à tous les trois ce que nous devions manger le midi et le soir pour les 5 jours à venir si elle ne revenait pas. Elle fit toutes les recommandations possibles qu'une mère pouvait faire. Elle espérait ne pas avoir de mauvaise surprise à son retour.

« Il va faire très chaud demain, je vous conseille la rivière ou le vélo dans les bois. »

« Prépare-nous les serviettes, on va surement aller se baigner. »

« Elles sont dans la grande armoire en chêne. »

Au moment de nous coucher, Laurence me dit.

« Tu me réveilles à 9H00, si tu veux que nous allions nous baigner. »

 

 

Chapitre : les vacances, orage, …

 

Le matin très tôt, j'entendis la voiture partir.

A 9H00, je frappe à la porte de sa chambre.

« Il est l'heure. »

« Descend préparer le déjeuner, j'arrive. »

Sa mère avait raison, ce jour là il faisait très chaud l'atmosphère était très humide.

En début d'après-midi, nous sommes allés vers la rivière pour nous baigner.

A mi-parcours le ciel commençait à changer.

Moi : « On dirait qu'il va pleuvoir, l'orage arrive ».

Laurence : « Mais non, il faut être optimiste ».

Il y eut les premiers coups de vent. L'orage arriva très rapidement. La pluie se mit à tomber alors que nous avions la rivière en vu. Nous sommes rentrés en courant.

La pluie cessa à l'approche de la maison.

Laurence regarda le ciel, les bras en l'air.

« Regarde maintenant il fait soleil. Ce n'est pas possible. »

Moi je l'observais, je repensais à cette fois ou nous étions rentrés chez elle trempés.

Comme cette fois là ses vêtements humides ne cachaient pas grand-chose.

Laurence me regarda, elle baissa la tête pour se regarder.

« Elle s'approcha de moi…. Tu crois au destin … Tu te rappelles cette fois ou nous étions mouillés comme aujourd'hui ? »

« Oui. »

« Si ma mère n'était pas arrivée qu'est ce qui se serait passé ? »

« Va savoir. Difficile de refaire l'histoire. »

« Le destin nous offre une deuxième chance. Vient on va attraper froid. »

Elle me prit par la main m'emmena dans sa chambre.

Elle prit une serviette.

« Enlève ton tee-shirt ».

Elle commença à m'essuyer le torse. Ses mouvements étaient délicats et sensuels.

Je commençais à bander, elle était terriblement sexy dans ses vêtements mouillés.

Elle passa derrière moi.

« Tu devrais t'occuper de toi. Tu vas attraper froid. »

Cette remarque resta sans réponse.

« Tu te rappelles la fois ou nous sommes rentrés chez moi tout mouillé, je pense que j'aurais fait une bêtise si ma mère n'était pas rentrée. »

« Elle est rentrée et ce n'est peut-être pas plus mal. »

« Peut-être mais aujourd'hui elle n'entera pas et la bêtise j'ai très envie de la faire et toi ? »

« Tu n'es sûre de toi ? »

« Tu n'as pas compris mon message hier matin au petit déjeuner ! »

« Avec toi. J'ai appris à lire entre les lignes. Mais je… »

Pendant que je lui répondais elle avait saisi mon short et le baissa.

« Chut maintenant … »

Elle me susurra à l'oreille.

« Ce qui va se passer maintenant, cela aurait pu se passer la première fois. »

Je me retournais pour la regarder. Elle enleva le haut de ses vêtements.

Elle me poussa sur son lit.

Elle enleva sa culotte.

Elle était là devant moi nue.

Elle s'avança pausa ses mains de chaque coté de mes épaules.

« Laisse-toi faire je vais te faire jouir. »

Elle se pencha vers son chevet et sorti de son tiroir un préservatif.

Elle ouvrit le sachet avec les dents.

Elle me saisit la verge, je sentais ses mains sur mon sexe. J'étais très excité je ne savais pas quand j'allais exploser. A chacun fois que ses doigts se déplaçaient sur ma verge l'excitation montait.   

Elle se pencha à nouveau vers moi. Pour me dire.

« Laisses toi aller, ne te retiens pas. »

Elle se redressa, d'une main elle empoigna ma verge pour la redresser elle souleva ses fesses, puis elle reposa très lentement son corps sur mon sexe, elle grimaça.

Je glissais lentement à l'intérieur d'elle. Je sentais la chaleur de son corps entourer ma verge.

Quand elle fut complètement assise sur moi. Elle commença des mouvements très lents.

Malgré la lenteur de ses mouvements se premier rapport ne dura pas très longtemps.

Rapidement j'explosais en elle.

Quand elle s'aperçut que j'étais en train de jouir, elle accéléra ses mouvements.

J'avais l'impression de me vider à chaque fois que ma verge était complètement enfoncée en elle.

Elle continua ses mouvements jusqu'à ce que je me ramollisse.

Elle s'arrêta. Je voulu lui dire quelque chose. Elle pose sa main sur ma bouche.

« Chut tu vas dire des bêtises. On descend manger. Tu dois reprendre des forces et on remontera dans la chambre. Et ce sera à toi de jouer. »

Elle enleva le préservatif. Le regarda.

« Ça en fait des bébés. On devrait les garder pour Sylvie. »

Elle se mit à rigoler.

Nous sommes descendus dans la cuisine, elle ne portait qu'une petite culotte. Je ne sais pas pourquoi elle avait mis ses lunettes.

Je l'observais, elle semblait heureuse et excitée.

Pour m'amener ses petites confiseries et pâtisseries, elle passait derrière moi elle se penchait sa tête sur mon épaule.

« Mange. »

Je sentais la pointe de ses seins caresser mon dos. Elle les faisait glisser lentement sur ma peau.

Quand, nous avions presque fini ce petit encas, elle repassa derrière moi se pencha à nouveau.

« Tu es prêt pour la suite. »

« Je pense. »

Pendant que nous parlions sa main avait glissé dans mon short et saisi ma verge.

« Oui tu es prêt…Aller on y va. »

Nous sommes retournés dans sa chambre. Arrivé devant son lit, elle se retourna vers moi.

Nous nous sommes embrassés, mes mains étaient posées sur ses fessées.

« A toi de me faire jouir maintenant. »

Elle se laissa tomber sur le lit. Elle me fit signe de prendre un préservatif.

Je me mis à genoux à ses pieds. Ses jambes pendaient sur le bord du lit.

Je regardais ses jambes et cette petite culotte qui cachait un trésor merveilleux que j'allais enfin pouvoir découvrir complètement.

Je tendis mes mains pour prendre le seul sous-vêtement qu'elle portait. Cette petite culotte avait une dentelle rouge devant et un tissu fin pour le derrière.

« Je connais ce petit morceau de tissus. »

« Tu te rappelles tu me dois un cuni. »

« Je me souviens. »

« J'espère, je veux sentir ta langue et tes lèves sur mon sexe, je veux que tu me fasses mouiller. »

Juste sous la dentelle une tache d'humidité assombrissait sa culotte entre ses cuisses.

Mes mains la tenaient par l'élastique de chaque cotés. Je commençais à la faire glisser doucement. Elle souleva légèrement ses fesses pour me faciliter la tâche. Petit à petit je commençais à dévoiler une petite toison puis son intimité qui ressemblant à un abricot charnu

Une fois ce petit bout de tissu enlevé.

Je posais mes mains sur ses genoux, ma bouche commença à lui baiser le dessus des cuisses puis l'intérieur en remontant doucement.

Je la sentais fébrile. Ses cuisses devenaient nerveuses au fur et à mesure que je m'approchais de son joli fruit juteux.

Plus je remontais plus elle écartait les cuisses pour me laisser atteindre son Graal.

Lorsque ma bouche arriva enfin à sa vulve. Je m'arrêtai un petit instant pour admirer son sexe.

Il avait une beauté parfaite… une forme lisse et charnue.

Sa chatte poilue était une merveille, sa toison n'était pas très dense.

Je posais mon nez sur cette chevelure légèrement bouclée. Pour la première fois, je sentis enfin cette odeur inoubliable de l'intimité d'une femme. Cette odeur de sexe de femme est et restera une merveilleuse.

Ma bouche déposa un baiser sur ce duvet soyeux.

En relevant les yeux un joli panorama s'offrait à moi.

Un ventre lisse avec ce petit trou au milieu.

Un peu plus loin ses cotes.

Puis sa poitrine avec ses mamelons dressés ronds comme des billes, son menton. Je pouvais voir qu'elle se pinçait les lèves. Son corps était devenu fébrile au fur et à mesure que je m'approchais de son trésor intime.

Mon regard revint sur cette fente verticale.

De cette fente sortait légèrement ses petites lèves, elles étaient déjà très humides.

Je posai ma bouche pour les embrasser puis j'écartais les grandes lèves pour découvrir l'intérieur de son sexe. Ce rose nacré que je découvrais. Son humidité intime rendait la chaire luisante.

Je ne savais pas trop où commencer à l'embrasser.

Je suivais mon instinct Je posai ma bouche à la jonction supérieure des petites lèves d'abord pour l'embrasser avec mes lèves puis ma langue lécha ce bijou.

J'aspirais dans ma bouche ses chaires roses pour les coincer entre mes lèves et les titiller avec ma langue.

Je sentais son sexe se durcir légèrement. En reprenant ma respiration je remarquais que ses lèves avaient rougies et gonflées.

Je repris mes caresses et baisers.

Je n'avais plus besoin des mains pour écarter les grandes lèves. Son sexe commençait à s'entrouvrir, il ne faudra plus beaucoup de temps pour qu'il soit prêt à m'accueillir.

Mes lèves et ma langue avaient trouvé un terrain de jeux merveilleux, doux humide au goût d'un bonbon acidulé.

Mes mains la tenaient par la taille. Je sentis ses mains me caresser les avant-bras, elle posa ses mains de chaque côté de ma tête elles serraient de plus en plus fort tout en la dirigeant à l'endroit qu'elle voulait.

J'entendis un petit.

« Là. » puis quelques secondes plus tard.

« Ne bouge plus, lèche-moi doucement. »

Son corps vibrait de partout, sa respiration était intense.

Elle ne semblait plus maîtriser son corps. J'avais l'impression qu'elle ne savait pas comment se placer. Qu'elle ne trouvait pas la position idéale.

Elle bougeait continuellement. Jusqu'au moment où des spasmes envahir complètement son corps.    

Quand son corps reprit son calme.

Je repris ma respiration. Son sexe n'était plus le même. Les grandes lèves restaient bien écartées. L'entrée de son vagin bien visible. Elle était prête à m'accueillir en elle.

Je lui fis quelques derniers petits baisers et suçons avant de poursuivre mon vagabondage sur son délicieux corps.      

Son ventre était plat et lisse seul son nombril cassait l'uniformité et la douceur de cette partie de son corps.

Puis, j'arrivais à ces deux charmants fruits charnus souples et bien gonflés.

Adorables succulents, merveilles de la nature, chacun avec leur petite corolle contractée. A leur centre une petite griotte se dressait, elles me disaient vient me goutter me sucer me lécher.

Quel délice, j'en oubliais presque que son corps sous moi vibrait et se tortillait.

Moi je dégustais ces jolis fruits mes mains caressaient son corps.

Jusqu'au moment ou nos bouches s'effleurèrent. Nos yeux se fixèrent.

Il y eu un moment d'immobiliste comme si le temps s'était arrêté.  

Cette accalmie fut de courte durée sa main se glissa entre nos deux corps, elle saisie ma verge pour la guider dans sa grotte du plaisir.

Je me glissais lentement en elle le plus profondément possible.

Il y eu un plaisir intense partagé, ses yeux étaient brillants

Nos bouches se mélangèrent, je commençais mes mouvements de va et vient. Nos baisers étaient sauvages

J'accélérais, son corps fébrile était à nouveau de plus en plus agité.

Ses mains avaient empoigné mes fesses et accompagnaient mes mouvements, je devrais dire les amplifiaient. Jusqu'au moment je sentis ses ongles entrer dans ma chaire.

Sa respiration était forte comme un sportif après un effort important, son corps tremblait…Je sentais son sexe de plus en plus humide.

Notre accouplement commença en douceur lentement elle appréciait cette douceur.

Puis mes coups de reins sont devenus de plus en plus rapide.

Je la regardais, elle avait la tête penchée sur le coté la bouche entre ouverte.

Sa respiration était saccadée, elle suivait le rythme de mais coup de reins,

De sa bouche sortait un son qui ressemblait plus à une petite fille qui retenait ses larmes.

Moi je commençais à maîtriser de plus en plus difficilement la situation.

Je m'arrêtais, je sentais que j'allais exploser.

« Elle me dit qu'est ce qui se passe. »

« Devine. »

« T'arrêtes pas va jusqu'au bout, je vais jouir. »

Je repris notre coït, il ne dura pas bien longtemps après cette remarque.

Une jouissance immense m'envie à chaque coup de rein, j'avais l'impression à nouveau de me vider en elle.

Elle me disait à l'oreille.

« Oui, oui… Continue. »

Elle jouissait aussi ses ongles étaient plantées dans mon dos.

Je continuais le plus longtemps possible mes coups de reins.

Elle avait tournée la tête refusant mes baisers pour profiter un maximum de cette jouissance.   

Nos corps restèrent immobiles encore emboités l'un dans l'autre quelques instants.

Nous reprîmes nos baisers.

Elle me dit :

« Pourquoi nous n'avons pas baisé plus tôt, je ne pourrais plus m'en passer. »

Nous sommes restés dans sa chambre jusqu'au petit matin à expérimenter quelques nouvelles figures.

 

 

Chapitre : les vacances, le petit secret.

 

La journée suivante, son frère rentra à la maison il était avec sa copine Nathalie. Comme on dit quand le chat n'est pas là, les souris dansent. Il y avait un vent de liberté dans la maison.

La copine à Eric était jolie et semblait pas très farouche. Elle avait une salopette qui ne cachait pas grand-chose de sa poitrine. Laurence s'entendait déjà bien avec elle.

J'observais aussi qu'il y avait une grande complicité entre Laurence et Éric, ils faisaient bloc fasse à leur mère. Je n'ai pas vu de grand secret être dévoilés par l'un ou l'autre. Ils se chambraient en permanence.

La journée suivante nous sommes allés nous baigner tous ensemble Éric, Nathalie, Laurence et moi.

Les filles n'hésitèrent à se baigner nues. Quand nous leur avons dit : « S'il y a du monde qui vient. »

Elles se mirent à rigoler et elles répondirent en cœur.

« Ils auront qu'à tourner la tête ou à admirer les plus belles filles du monde. »

Les filles étaient très excitées au point de vouloir se baigner nue.

Éric.

« Si quelqu'un vient vous aller pas faire ça.  Garder au moins vos slips. »

Ces paroles ne servirent à rien. Le midi nous avions piqueniqué et bu deux ou trois verres de rosé frais.

Puis, nous les regardions se baigner. Avant de sortir de l'eau, elles se lavèrent mutuellement de véritables déesses.

Puis je suis allé me baigner avec son frère.

Quand nous sommes remontés sur la rive.

Elles avaient remis leur slip.

Eric eu cette réflexion.

« Comment tu peux résister à des culs pareils, c'est impossible. »

Elles avaient toutes les deux de jolies paires fesses bien rondes et lisses. Elles semblaient nous appeler.

‘Venez-nous sommes là pour vous'.      

Dans la soirée au cours d'un de nos ébats amoureux, je finis par lui demander les préservatifs tu les as eu comment.

« C'est mon frère qui me les a donnés. »

« Toi, qui ne veux rien dire à ta mère tu n'as pas peur qui lui dise. »

« Non, c'est en échange de mon silence. »

« Il y a un secret là-dessous. »

« Oui au départ, il ne voulait pas il me prend toujours pour une gamine. Je lui ai dit soit je baise avec un préservatif ou sans ?  Il a essayé de marchander son silence. Finalement, il avait bien plus de chose à cacher que moi. Les femmes sont bien plus malines que les hommes…Je te l'ai déjà dit les hommes sont tous des incrédules avec les femmes. »

 


Chapitre : les vacances, la blessure.


Après 2 semaines d'absence sa mère était revenue. Elle était partie au marché.

Eric entra en hurlant. Il s'était blessé à la main avec un fil de fer barbelé.

Les doigts ont bien souvent la fâcheuse idée de saigner beaucoup.

Quand elle vit la blessure.

« Tu gueules pour ça. Moi je croyais qu'il te manquait un doigt. Passe ta main sous l'eau pour la nettoyer. »

Laurence m'emmena avec elle chercher un désinfectant.

« Tu viens avec moi chercher ce qu'il faut. »

Elle portait qu'un tee-shirt et un slip.

Je me souviens de ses fesses de sa taille fine, ses galbes harmonieux.

Ce n'était pas forcement le moment, mais impossible de ne pas les admirer.

Elle me donna tout un tas de désinfectants et pansements. Avant de revenir le soigner.

« Heureusement que Nathalie n'est pas là, elle serait pliée de rire, la honte pour toi. »

« Bon ça va, on ne va pas en faire un plat. »

Cette blessure était des plus bénignes.

Au repas suivant l'événement fut commenté sans ménagement par Laurence.

Tout le monde finit par rigoler.

 

 

Chapitre : les vacances, l'amour dans la nature.

 

Sa mère fit plusieurs aller et retours pour des raisons professionnelles. Ce qui nous arrangea beaucoup.

Il y eu cette fois, qui dut définitivement enlever, le doute à sa mère.  

Cette fois-là nous sommes partis dans les bois chercher de la fraîcheur. Arrivé sur le bord d'une clairière, elle voulut faire du yoga. Il parait que son yoga ne pouvait fonctionner que si nous étions nus.

Elle avait étalé une grande serviette dans l'herbe.

Nous nous sommes assis en tailleur l'un en face de l'autre.

Il y eut quelques exercices de concentration et de spiritualité (façon de parler).                                                

J'avais les yeux à moitié fermés.

« Ça ne va pas. »

« Quoi ? Il y a un problème. »

« Oui, tu bandes. »

« Oui et alors. »

« Quand on fait du spirituel on ne bande pas. »

« Difficile de ne pas bander avec toi nue devant moi. »

Comme à chaque fois, il était toujours difficile de savoir si elle prenait ses délires aux sérieux ou si elle plaisantait. Elle se leva. Avec son pied, elle me poussa. Je me suis reprouvé allonger sur le dos.

Elle avança. Maintenant, elle était au dessus de moi. Ses pieds étaient de chaque coté de mes hanches.

Je la trouvais de plus en plus belle. Sous cet angle la vision idéale je pouvais admirer de toutes ses courbes parfaites, avec ses jambes légèrement écartées, je pouvais admirer sa jolie petite chatte, ses seins jeunes et charnus. Elle avait un corps de déesse.

Elle me regardait immobile.

« Tu fais quoi. »

« Je réfléchis... Bon, je vais arranger ce petit problème. »

Elle me chevaucha sans se faire pénétrer.

Je sentais son sexe effleurer le mien. Il me caressait par de légers mouvements de va et vient.

Une petite brise nous caressa, elle me fit ressentir une sensation d'humidité sur non bas ventre.

« Tu peux me critiquer, toi tu mouilles, tu coules sur moi. »

Elle se souleva légèrement. Elle passa sa main entre ses cuisses.

« Je n'aurai pas cru que je mouillais tant. »

Elle se recula ses mains jouaient avec ma verge je l'entendais marmonnée.

« Qu'est ce que tu dis ? »

« Je réfléchis encore, si cela peut attendre ce soir ou si je te purge maintenant. »

« Et la réponse ? »

« Si je te purge maintenant je pense que je pourrai recommencer ce soir ! En arrivant à la maison je te donnerai 2 cuillères de miel et hop tu auras absorbé assez d'énergie pour recharger ton fusil. »

Elle s'avança pour positionner son sexe juste au-dessus du mien. Elle commença des rotations avec son bassin.

Elle se pencha sur moi.

« Tu les as mis où les préservatifs ?»

« Je n'en ai pas, on n'était pas parti pour baiser. »

« Merde… »

Il y eu un silence, elle commença à marmonner à nouveau et à compter avec ses doigts.

« Tu fais quoi ? »

« Shut, Je compte. »

« ???? »

« Je pense qu'on peut le faire sans risque…dans 1 ou 2 jours maxi, j'ai mes ragnagnas, je commence à avoir mal au ventre donc on peut baiser sans risque, ça peut venir quand on baise. »

Elle se souleva légèrement pour s'empaler sur ma verge.

Elle posa ses mains sur ma poitrine et commença ses mouvements du bassin d'abord très lent puis elle accéléra lentement pour s'emmener jusqu'à la jouissance.

Elle se redressa et regarda en l'air. J'entendais sa respiration.

Ma verge directement en contact avec l'intérieur de son sexe me donnait des sensations plus intenses.

Je sentais sa grotte du plaisir se transformer, se gonfler. Son sexe était une véritable fontaine ses sécrétions coulaient sur moi.

Son corps se contracta.

Elle continua quelques mouvements avant de se coucher sur moi.

Elle était immobile sur moi, sa joue plaquée contre la mienne.

Son corps était parcouru par des spasmes.   

Je pris le relais je donnais des coups de reins pour continuer à la faire jouir.

Elle retrouva ses esprits.

« Pas mal. »

Elle se releva.

« Et moi, ce n'est pas fini, je n'ai pas joui ! »

« La rivière n'est pas loin, on finit là-bas et on pourra se laver, d'accord. »

« Ok, on y va. »

« Nous finirons là-bas ce que nous avons commencé ici. »

La rivière n'était pas très loin. Nous avons couru à travers les camps entièrement nus.

En s'approchant de la rivière. Elle regarda autour de nous.

« Personne, on y va. »

A peine, étions-nous dans l'eau qu'elle m'enlaça et s'empala à nouveau sur moi.

Sensation nouvelle et étrange l'amour dans l'eau. Elle était très excitée.

Avec l'eau je ne sentais la moindre aspérité de son sexe. J'aurais pensé le contraire.

Elle se mit à jouir à nouveau, ses bras et mains m'agrippaient, ses cuisses me serraient.

Les femmes sont très sensibles aux changements. Si elles découvrent un nouveau lieu ou une nouvelle façon de faire l'amour, leur plaisir est souvent intense, elles prennent un pied d'enfer.

Il faut reconnaître que cette clairière et cette rivière avait fait leurs œuvres. Laurence avait pris du plaisir.  

J'explosai en elle. Nos bouches et nos langues s'emmêlaient.

Nous sommes restés allongés, serrés l'un contre l'autre, au soleil quelques instants sur la rive pour nous sécher.

Laurence rompit le silence.

« Si je tombais enceinte, qu'est-ce tu dirais. »

« Que tu t'ais trompé dans tes calculs. »

« Tu le fais exprès à chaque fois, si je tombais vraiment enceinte tu en penserais quoi. »

« Ce serait l'enfant de l'amour. »

« Oui et l'enfant de l'amour on le garde. »

Elle me regarda droit dans les yeux.

« Tu voudras vraiment le garder ? »

« Oui. »

« Tu me promets de finir tes études de pas t'arrêter si c'est le cas. »

« Et toi ? »

« Moi, ma mère m'obligera à les finir. »

Elle se mis sur moi pour m'embrasser à nouveau.

Entre deux baisers, elle me dit.

« C'est pas mal sans préservatif, sentir ta semence couler en moi, j'adore. Il va falloir le refaire. »

Puis, nous sommes rentrés à la maison.

Sa mère.

« Qu'est ce que vous avez fait ? ».

« Nous sommes allés dans les bois puis nous baigner, il faisait trop chaud. »

« Vous n'aviez pas pris vos maillots de bain, ils sont à sécher sur le fil dehors si je ne me trompe pas. »

« Et alors. »

« Vous vous êtes baignés comment. »

« A poile, comme quand on était des gamins. »

« S'il y a du monde qui vous a vu, au village ça va encore faire du commérage. »

« Il n'y avait personne et dans l'eau on ne voit pas si on est à poile. »

Pendant que Laurence disait cela, elle quitta la cuisine en marchant rapidement. C'était son comportement habituel pour éviter les questions de sa mère qui l'embarrassaient pour ne pas dire autre chose.

Le soir en mangeant sa mère nous observait, comme tous les jours Laurence faisait mine de ne pas le voir et discutait avec moi et son frère.

 

 

Chapitre : les vacances, l'abreuvoir.

 

La maison n'avait pas tout le confort moderne. Il y avait bien deux salles de bain mais sans douche ni baignoire.

Heureusement pour Laurence, dans la cour trônait un ancien abreuvoir en pierre.

Nous pouvions facilement nous baigner à deux ou trois en même temps. Il était orienté plein sud proche de deux murs qui le protégeait du vent.

Laurence adorait passer de longs moments dans cet abreuvoir au plein soleil.

Seul le soleil chauffait l'eau, d'abord dans un gros tonneau en plastique bleu, puis dans ce bloc de pierre taillé.    

Régulièrement, elle m'appelait.

« Florentin amène moi ma serviette de bain qui est sur la table de la cuisine, je l'ai oublié. »

La première fois, je pensais la voir en train de préparer son bain, que s'était un oubli de tête en l'air.

Non, elle était installée cette la baignoire d'autrefois, souriante.

Le soleil, la rendait encore plus gracieuse.

Quand je m'approchais.

« Tu peux l'ouvrir et approches toi. N'en profites pour me mater les seins et le reste. »

« Pourquoi ? La nature m'a doté de yeux c'est bien pour regarder. »

Elle se relevait devant moi avec son corps humide, le poile de sa chatte mouillée, ses mamelons se contractaient sous l'effet du dans air. Elle commençait à avoir la chaire de poule.

 Elle prenait la serviette pour en entourer son corps et se collait à moi en nous entourant avec sa serviette.

Elle avait quelques frissons, nous ne duraient pas bien longtemps.

Elle me chuchotait à l'oreille.

« Dommage, qu'il y ait du monde autour de nous. Autrement tu pourrais me réchauffer. »

« Tu me sembles bien chaude pour une femme qui a la chair de poule. »

« J'ai le sexe en chaleur. Mais le reste du corps est gelé. »

« Il n'y a personne à la maison. »

« Rappel toi bien dans une maison les murs ont de oreilles, dans la nature les champs ont des yeux. »

« L'autre côté de la colline, Il y a peut-être un vieux chasseur qui nous observe avec ses jumelles ! »

« Tu nous images moi penché en avant agrippée à l'abreuvoir, toi en train de mastiquer… le mec arrive … vous avec des problèmes mademoiselle vous semblez avoir mal. Je ne te dis pas la gueule des parents quand en faisant les courses au village, ils entendent parler de ça… ».

« La réputation de la petite fille modèle en prendrait un coup. »

« Ce soir, nous commençons par une levrette comme on à pas pu la faire ici. »

« Allez rentre à la maison, tu vas attraper un rhum. »   

« Pas si vite, tient la serviette. »

 Elle passa ses bras autour de mon cou et m'embrassa.

« Le chasseur nous voit. »

« Pour le chasseur. »

Elle fit un doigt d'honneur avec le bras en l'air.

« Maintenant, nous pouvons entrer mon chéri, j'ai faim. »  

 

 

Chapitre : les vacances, les amours charnels.

 

Ses seins avaient une sensibilité énorme. Il ne fallait que quelques secondes pour les excités.

Après, un ou deux passages de mes doigts, elle me disait :

« Qu'est ce tu fais, tu m'excites mes seins sont en liaison direct avec ma foufougnette. »

« J'ai juste passé le bout de mes doigts sur ton mamelon. »

« Je t'explique tu passes ton doigt sur mon mamelon, lui il donne l'alerte à ma foufougnette qui se réveille tout de suite. » 

Le tout agrémenté des gestes qui vont avec les explications.

Un peu rapide tout ça.

« C'est du matériel neuf, c'est normal ça démarre au quart de tour. »

       

Mais ce que Laurence appréciait particulièrement c'était le cuni. Ça la faisait jouir très rapidement et elle avait des orgasmes à répétitions.

Nous avons dû essayer toutes les positions possibles le 69, assise sur moi, en levrette, debout, assise sur une chaise, allongée, la cuillère…tous les lieux possibles à notre disposition grange, prairie, rivière, lit, …

Par moment je ne savais pas si elle rigolait ou si elle jouissait. La seule chose qui me rassurait était que lorsque j'arrêtais et que je remontais l'embrasser, elle me disait.

« Ouf, pour moi c'est bon, tu fais ce que tu veux moi j'ai ma dose, Very good. »

Sa dose ne durait pas bien longtemps. Quelques aller retours dans sa grotte du plaisir et elle redécollait très rapidement.   

    

 

Chapitre : les vacances, gamine pour toujours.

 

Son esprit disjonctait au désespoir de sa mère. Par moment elle avait un comportement de petite fille. Il lui arrivait de délirer complètement. Je me souviens de cette fois. Nous étions le matin. Je finissais de déjeuner. Laurence l'avait fini depuis un petit moment. Elle est sortie voir le temps dehors.

Elle se mit à chanter « soleil, soleil » et à danser sur le perron. Elle tortillait des fesses, soulevait sa robe légère. Le soleil jouait avec les transparences de son corps et du tissu.

Sa culotte ne cachait pas grand-chose. Elle était heureuse.

Quand sa mère arriva dans la cuisine.

« Qu'est ce que tu fais encore. »

« Je suis heureuse. Une belle journée s'annonce. »

Sa mère fit un soupir de désespoir.

« Je suis contente pour toi. Si quelqu'un entre dans la cour, il va voir une grande nunuche en train de faire le clown. Il va te prendre pour une débile ».

« Florentin tu me prends pour une débile ? »

« Non pour une fille qui disjoncte par moment. »

Elle fronça les sourcils.

« Si personne n'apprécie ma danse du soleil. Je me casse. »

Elle passa derrière moi. Se pencha.

« La fille qui disjoncte à la chatte en chaleur alors dépêche. Rendez-vous dans la grange du père boiteux. »

(Le père boiteux était un vieux paysan qui boitait comme son nom l'indique. Il avait quelques vaches pour faire du lait. Nous allions tous les deux jours chercher du lait à sa ferme.

Au départ, il nous appelait les jeunes, puis les amoureux. A chaque fois que nous le croisions nous étions toujours ensemble alors l'analogie a été rapide pour lui, puis il est fort possible qu'il ait vu nos ébats dans sa grange.

Sa grange était fermée sur deux cotés pas très loin de la maison mais au milieu des champs.

Un endroit idéal pour faire l'amour, discret et du haut du foin bénéficiant d'un point de vu idéal pour voir venir un intru mais surement idéal pour se faire observer pour celui qui connait bien les lieux.

Laurence appréciait ce lieu, pour la sieste et maintenant pour des corps à corps torrides.

 


Chapitre : les vacances, une nuit.

 

Ce soir-là, Laurence ne semblait pas très bien. A la fin de repas, elle partit se coucher avant tout le monde. Il n'était pas très tard 22H30 ou 23H00.

Avec son frère nous sommes restés un peu discuter avec sa mère de choses et d'autres, puis nous sommes allés nous coucher.

Quand, je suis entré dans ma chambre comme à l'habitude je n'ai pas allumé la lumière.

La lumière de la lune et des étoiles était suffisante et cela évitait que les moustiques rentrent.

Quand je me suis retourné vers mon lit, je vis Laurence couchée en petite nuisette.

« Qu'est que tu fais là. »

« Chut… j'avais une envie, ça fait deux jours que ma mère est revenue et la nuit je dors seule, j'ai froid. »

« Si ta mère nous entant ? »

« Chut à nouveau, c'est toi qui ne devras pas faire de bruit. J'ai mes ragnagnas. »

Elle prit ma main, la posa sur son sexe.

« Tu sens mon clip blindé avec la serviette, ce n'est pas la petite culotte habituelle. »

« Le problème est résolu. On va juste dormir. »

« Non. »

Lorsqu'elle avait ses ragnagnas, son besoin de sexe était important, hormones ou le fait de ne pas pouvoir le faire ?

Avec le temps, nous avions des rapports de plus en plus prêts de ses ragnagnas voire en début et fin de ragnagnas. J'avais vraiment l'impression qu'elle en tirait un très grand plaisir. Dans ses périodes nous faisons l'amour sans préservatif, elle aimait sentir mon sperme remplir sa petite chatte, elle restait allongée et attendait qu'il coule dans la raie de ses fesses.

Elle se glissa sur mon corps recula.

Maintenant, je sentais ses lèves se poser sur ma verge, puis sa langue me lécher.

Ses doigts me serraient délicatement.

En faisant des petits mouvements de va et vient pour me décalotter le gland.

Sa langue en profitait pour le sucer.

Son autre main me massait la bourse.

Sa langue glissait le long de ma verge. Ses lèves effleuraient et caressaient mon gland, Ses dents, qui part moment, me serraient et que je sentais glisser sur la peau. Elle suçait, léchait, aspirait…. Divin.   

Il faut dire qu'elle apprenait très vite, elle trouvait les bons gestes une surdouée du sexe, c'est moment sont toujours trop courts.

Je lui dis.

« Arrête. »

« Pourquoi ? »

« Devine. »

je sortis un préservatif. Elle le regarda, puis le jeta en me faisant signe que j'étais malade.

Elle reprit ses caresses buccales quand elle sentit que j'allais exploser elle retira sa bouche.  

Une de ses mains m'empoigna la verge et se mit à faire des mouvements rapides pour finir de me faire jouir.

Elle continuait jusqu'à ce que je ramollisse. Je voyais son sourire.

Elle approcha sa bouche avala ma verge. Je sentis sa langue passer sur son gland.

Puis, elle prit une serviette pour s'essuyer la bouche et bu un peu l'eau de la petite bouteille qui était sur la table de nuit.

« Alors tu en pense quoi ? »

« Pas mal. »

« C'est tout. »

« Non parfait comme d'habitude. »

Elle regarda le sperme sur mon ventre.

« Tu penses qu'en un rapport je peux tomber enceinte, si on baise au bon moment. »

« Peut-être. »

Elle se pencha à nouveau sur moi je sentis sa langue une fois puis deux fois.

« Humm… ».

Puis elle avala ma verge à moitié ramollie, pour la sucer à nouveau.

Elle se releva.

« Je pense que la prochaine fois j'avalerai tout directement. »

« Tu n'es pas obligé. »

 Elle me regarda, d'un air étonné.

« Je t'aime très fort, je veux te sentir en moi et prendre ton énergie pour me rendre plus forte. Et toi quand tu me suce tu avales bien mon jus. »

 

 

Chapitre : les vacances, la tante de Laurence.

 

La mère à Laurence continuait ses aller et retours entre la maison de vacances et son travail.

Les premières fois nous sommes restés seuls, les suivantes sa tante Odile est venue dans la maison pour pas que nous surveiller…

Cette tante, Laurence n'en avait parlé plusieurs fois. Elle était un disciple du peace and love ancienne soixante huitarde.

Inutile de vous faire un dessin, elle avait des meures un peu libertines. Elle ne s'en cachait pas. Elle aimait le sexe avec les hommes mais aussi avec les femmes.

La mère de Laurence n'aimait pas la laisser seule avec ses enfants, mais les circonstances en avaient voulu autrement.   

Dés que sa mère repartit le dimanche soir pour son travail. Odile déposa sur la table un tas de préservatifs.

« Les enfants pour votre sécurité surtout toi Eric ».

« Pourquoi moi, je ne risque pas de tomber enceinte comme la petite bombasse. »

« Non mes de ramener des maladies. »

« Je suis avec la même fille depuis mon arrivée. »

« Là gamin tu commences à vieillir, si tu t'arrêtes à la première fille. »

« Peut-être mais elle est différente celle-là. »

« Rassure toi Tata tous les ans il dit la même chose, cette année le gibier est plus rare, il commence à être connu. »

« Ça c'est pour la p'tite bombasse. »

« C'est quoi ? »

« Du lubrifiant, essaie tu verras. »

« Pas besoin, je mouille beaucoup quand je baise. »

« Essaie, tu verras c'est super bien. »

     

Un matin, j'entends des éclats de rire et l'eau qui coulait d'un robinet dans le jardin. Quand je me suis approché.

Je vis Laurence et sa tante Odile nues se laver.

Mon approche ne passa pas inaperçue.

Sa tante : « Approche mon petit, nous pourrions te laver et je pourrais montrer deux ou trois petites choses à Laurence ».

Laurence rigolait : « Non pas la peine, je l'ai purgé cette nuit ? Il faut qu'il reprenne des forces pour ce soir. »

« Je pourrais te perfectionner dans les gâteries. Alors voilà comment il faut faire… »

Je suis reparti rapidement deux femmes ensembles, c'est un cauchemar surtout si elles se mettent à parler de sexe, il vaut mieux évacuer les lieux.

Les repas avec Odile, était un peu particulier.

Elle cuisinait très bien.

Les sujets majeurs de conversation, les aventures de ses voyages à travers le monde et la rencontre de tous ses amant(e)s et les amours de ses neveux et nièces.

Pour elle nous étions sur terre pour manger, boire et baiser le reste était secondaire.

 

Visiblement, elle s'emmerdait dans cette campagne, elle préférait les lieux agités avec des beaux males.

Le sujet finit par arriver sur le tapis au cours d'un repas.

« Ça manque le male dans cette région, je vais finir par avoir des toiles d'araignées. »

« Tata, tu devrais aller acheter un poulet à la ferme de la tour brisée. »

« Je te parle de male et toi tu me parle de poulet. »

« Oui, le fermier est veuf depuis plus d'un an, ça doit commencer à le démanger. »

 « C'est un coup foireux à tous les coups, il y a que les très vieux ici. »

« Mais non tu le connais, tu l'as croisé avec maman au marché l'année dernière, tu m'as même dit : j'en ferais bien mon 4H00. »

Odile réfléchissait

« A oui, il est pas mal comme mec. Sa femme est morte de quoi ? »

« Cancer. »

« Elle était jeune pourtant. »

« Oui. Ce n'est pas le sujet moi je mangerais bien du poulet de la ferme. »

« Là, tu me montes un coup. »

« Il faut bien, tu sembles t'emmerder avec nous. »

« Un peu mais pour vous je suis prête à rester vierge tout le mois. »

« En parlant de ça ton lubrifiant c'est pas mal, mais sans le préservatif. »

« Fait  la conne un coup est vite parti, pas toujours évident pour un mec de sauter du train en cours de route. »

« T'inquiète, on fait attention. »

« Tu devrais prendre la pilule. »

« Je ne te dis pas la gueule de maman si je lui demande. »

« Elle va s'habituer, elle a commencé de bonne heure avec ton père. »

« Elle me prend pour un bébé. »

« C'est normal, tu es jolie elle veut te protéger. »

« Oui peut-être, mais moi j'ai la chatte qui me démange. »

…..

« Comment je dois m'habiller pour aller au poulet. »

« Pas en salope, une tenue sexy, ta petite robe jaune est pas mal. »

« C'est presque une robe de none on ne voit rien. »

« Tu rigoles ou quoi, quand tu te penches en avant on voit ta culotte et le décolleté descend jusqu'au milieu des seins. »

« Oui, on ne voit pas grand-chose, il faut faire si ou ça pour voir. »

« Dans le coin, tu dois être prudente avec le gibier, il est sauvage. »

« Tu sais les hommes, quand faut taper dans la butte c'est tous les mêmes. »

Odile parti dans l'après-midi acheter le poulet. Laurence lui avait expliqué :  l'été, les paysans faisait le plus souvent une petite sieste l'après-midi.

Nous revîmes Odile quatre heures plus tard.

« Alors ».

Odile sortit radieuse de sa voiture.

 « Alors, bang-bang. »

« Raconte. »

Au repas nous eûmes les détails croustillants de l'histoire.

L'achat du poulet.

Puis elle voulut savoir, s'il vendait autre chose.

La niôle, pommes de terre, …

Elle lui expliqua que cela lui donnait des bouffés de chaleurs, voire plus.

Pour lui ce n'était pas grave, elle devait rester au frais quelques instant et cela passerait.

Après avoir goutter plusieurs nioles, elle fit semblant de ne pas aller très bien.

Il l'allongea sur le canapé.

Elle le prit par le coup et l'embrassa.

Pour lui dire, je vous l'avais laissé sous-entendre la niole me rend amoureuse.

Et là elle nous raconta tous ses exploits, comment il l'avait prise devant, derrière.

Elle avait un nouveau rendez demain à 14H00.

Laurence rajouta.

« Tu vois tu n'auras pas encore de toile d'araignée dans ta petite grotte. »

 

 

Chapitre : les vacances, la fin du mois de juillet.

 

Les vacances d'été à l'époque duraient beaucoup plus longtemps. Elles commençaient mi-juin, officiellement fin juin, de ce point de vu rien n'a changé aujourd'hui. Nous reprenions les cours vers le milieu de la deuxième quinzaine de septembre.

Fin juillet arriva, cette première partie de vacances prenait fin, elle avait été bien trop courte surtout quand on découvre les plaisirs charnels.

Durant ces derniers jours.

Il y eut ce fameux repas, nous étions là tous les cinq à manger. Eric dit on pourrait revenir début septembre. Ce n'était pas habituel chez lui mais je pense qu'il était vraiment amoureux de sa nouvelle copine. Durant les vacances je n'ai vu que cette Nathalie. Alors que Laurence me l'avait décrit comme un véritable Don Juan, une fille nouvelle toutes les semaines. 

Sa mère fit la moue…

« Oui ce serait bien. »

« Oui cela t'évitera de faire le cabri sur les toits pour retrouver Florentin la nuit… »

Sa mère aura repris le travail donc elle sera absente.

Au finale, sa mère finit par accepter.

Il y eut une conversion sérieuse entre la mère et la fille.

J'étais assis dans la pièce d'à côté avec son frère.

Nous entendions des briques de conversation.

« Grand-mère disait les chevaux avant de les acheter, il faut les essayer, les hommes et les femmes c'est pareil. »

« Ta grand-mère racontait pas mal de bêtises. »

Éric me donnait des coups de pieds en rigolant.

« Toi avec papa vous avez bien commencé plus tôt que moi. »

« Mélange pas tout. »

« Je suis majeure depuis 2 mois donc je fais ce que je veux. Si je dois me casser de cette maison je pars. »

Tout s'arrangea entre elles surtout quand elle sut que nous mettions des préservatifs à l'époque le SIDA faisait son apparition maladie mystérieuse et si elle tombait enceinte, ses études pourraient être compromises.

Sa mère lui dit qu'elle irait avec elle au médecin pour prendre la pilule, c'était aussi une révolution à l'époque.

Elle préférait voir Laurence avec une personne qu'elle connaissait.

Nous sommes revenus fin août, jusqu'au dernier week-end avant la reprise des cours.

Laurence avait pris de l'assurance, elle maitrisait parfaitement les désirs et les plaisirs de son corps.

Éric a retrouvé sa copine Nathalie, qu'il avait finalement présenté à sa mère.

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