Saint-John Perse

raturnidub

(extrait du discours d'allocution au banquet Nobel du 10 décembre 1960)

Ne crains pas, ni ne doute, car le doute est stérile et la crainte est servile. Écoute plutôt ce battement rythmique que ma main haute imprime, novatrice, à la grande phrase humaine en voie toujours de création. 

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