Piano Jazz
Morgane Mulot
Ne te contentes pas des apparences,
On cache plus souvent la démence,
Ne regardes pas le bon profil,
Car j'ai des traces indélébiles
Un contentieux avec Vénus,
Qui me contraint au une pièce
Il y a des traits qui par nature,
Ne sont pas beaux sous toutes les coutures,
Sous la trame de tes dessins,
Je me sens belle, Je me sens bien,
Sous la courbe de tes yeux,
Je me sens belle, je me sens mieux.
Jours après jours viennent les creux,
Les expressions cachent les yeux,
Et sous tes doigts un peu moins lisse,
La peau se froisse, tes joues se plissent,
Quand vient la nuit c'est dans le noir,
Que tu veux cacher ces trop tard
Mais le temps, jamais je ne m'en lasse,
De voir sur toi ce temps qui passe.
Sous la trame de tes dessins,
Je me sens belle, Je me sens bien,
Sous la courbe de tes yeux,
Je me sens belle, je me sens mieux.