Plaisir inavouable ... Version finale ...

Mc De Rivas

version romancée ...

La vie réserve parfois des instants délicieux.Pour preuve, je n'avais pas revu Jéssica depuis le lycée et ce qu'elle me confia tantôt autour d'un café, suffit à enchanter ma journée.Jamais je n'aurais subodoré tel récit venant d'elle. Décidément, c'est toujours quand on cherche le moins les choses qu'elles se produisent. Je vous invite donc à découvrir son histoire.

" Ca s'est passé il y a deux ans à peine.
Je venais de finir mon stage de fin d'études.
Je bossais à l'époque dans une petite boutique pour payer le loyer et faire bouillir la marmite en attendant mieux.
C'était en septembre, il faisait bon, les feuilles mortes commençaient à s'amonceler sur les allées.
Je traversais par le parc, pour échapper au nauséabond des pots d'échappements, aux gens pressés qui se bousculent, aux cris des gamins tirés par leurs mères le long des trottoirs, bref je m'écartais de l'Humanité bruyante.
Accrochée à mon portable, comme d'hab, tu me connais. A ce niveau, je n'ai pas trop changé.

Soudain, alors que j'étais en train de mettre mes écouteurs pour une session zik, des hurlements...
Grosse engueulade en vérité.
Je stoppe net et tend l'oreille.
Peu motivée pour me jeter dans une bagarre et encore moins pour appeler de l'aide alors qu'il ne s'agit que d'une querelle toute simple...
Ne parvenant pas à distinguer d'ou ça vient, j'avance doucement, pour isoler l'origine de ce tumulte.
Je suis les vociférations et au bout de quelques dizaines de mètres, je parviens à une sorte de square un peu en retrait des allées.
Toujours aussi peu téméraire, je me dissimule derrière un buisson haut et met mon portable en silencieux.
Il faut que je comprenne ce dont il retourne.
Donc observer...
Et là The surprise.
Un mec d'une quarantaine d'années, petit mais vraiment tout petit. Un nabot planté sur ses pattes, fier comme un coq en face d'une nana de nos âges, physiquement inversement proportionnelle au gringalet.
Un bon mètre quatre vingt, les cent kilos passés amplement, une armoire à glace, mais elle par contre très sereine, les mains plongées dans les poches de son pantalon trop moulant. Pas vraiment féminine, pas vraiment belle non plus.
Un peu négligée même. Souriant devant l'énergumène qui déversait un flot d'insultes.
Le gars était accompagné de quatre personnes.
Deux femmes de son âge et deux autres plus jeunes que nous.
La fille quant à elle, était avec deux amis, qui fumaient une cigarette en retrait de la scène.
Comme s'il leur avait paru évident qu'elle serait largement capable de gérer ce conflit toute seule.

C'était étrange, car plus il hurlait sur elle, et plus il semblait la craindre.
Et je crois qu'elle l'avait compris.
Elle s'en amusait d'ailleurs.
Ne me demande pas l'objet de leur querelle, je ne l'ai jamais su et l'ignorerai toujours.
Je décidai donc de rester pour voir comment cela se terminait. Toujours planquée derrière mon buisson.

Il la vouvoyait, donc il ne la connaissait pas.
Ou peu.
Et puis, il se passa quelque chose de terrible.
Remonté à bloc, il la gifla.
Là je me dis, "Il va se ramasser une de ces beignes qui va le mettre sur le cul".
Mais non, pas du tout.
Elle fit un pas vers lui et dans un sourire machiavélique, elle lui fit "Je pense que vous devriez partir si vous ne voulez pas essuyer la plus grande déconvenue de votre vie devant vos proches".
On sentait la colère froide.
Et on sentait aussi qu'elle n'avait qu'une envie et que c'était qu'il reste et qu'il aille plus loin.
On sentait son désir d'anéantir son Ego.
Et il lui donna ce qu'elle attendait par un " Grosse gamine, va jouer plus loin ! "


Une petite blonde bien habillée, sa femme surement, tenta bien de mettre fin à la situation en le tirant par le bras, mais il la rabroua sèchement.
Il était en mode " mâle couillu", bien décidé à en découdre.
Les deux plus jeunes pouffaient, indiquant par ce fait le peu d'estime qu'elles avaient de ce fanfaron.
Quant à l'autre femme, elle soufflait d'ennui, et consultait sa montre, désireuse de passer à autre chose.
Au comble de la provocation, il approcha de la nana et lui tendit sa joue.
" Allez vas y si tu oses".
Un rictus un peu gras passa sur son visage lorsqu'elle lui lança : " Ce n'est pas sur votre joue que celle que vous venez de traiter de gamine va finir par vous punir devant votre épouse..."

Ce qui me sidérait, c'était non seulement le calme de cette fille mais la non réaction de ses deux amis, qui même après que le nabot l'ait frappée, n'avaient pas levé le petit doigt.
Elle saisit au col de la chemise et tira le gars vers elle.
On sentait qu'elle pouvait le soulever d'une main, ce qui lui arriva en outre, mais certainement pas comme il l'imaginait.
Elle l'empoigna et en deux temps trois mouvements, le bascula, le souleva et le coinça sous son aisselle, tête en bas et fesses en l'air.
Pour la première fois, les deux hommes approchèrent et se placèrent entre les témoins et les protagonistes du conflit, comme pour leur intimer l'ordre de ne pas bouger.
Ma respiration s'accélérait et je n'osais imaginer ce qui allait suivre, bien que quelque part le désirant.
Elle le maintenait fermement sous son bras, à un mètre du sol et le retourna en direction des filles qui l'accompagnaient.
Elle lui demanda des excuses, s'il ne voulait pas subir le pire et ce con n'eut en réponse à la menace qu'un pitoyable " Ta gueule grosse vache", auquel elle répondit aussi sec par un " Je devrais te laver la bouche avec du savon pour autant d'impertinence vilain gnome, mais n'ayant pas cela à disposition, tu vas donc recevoir une bonne correction devant ta femme par ta gamine préférée ! »…

Mon sang affluait de partout.
Mon coeur battait la chamade.
Sa femme était comme figée, elle baissait les yeux par instants mais les relevait aussitôt par réflexe d'une curiosité malsaine.
Lui protestait tout son saoul dans l'infamante position, continuant dans l'insulte, ruant et donnant des coups de poings ridicules sur les hanches de la fille, battant des jambes comme un enfant.
En somme participant à sa propre humiliation, et amplifiant l'outrage qu'il allait subir.

La main de la fille passée sous le ventre du gars, la ceinture est dégrafée, malgré ses efforts pour empêcher le pire, le pantalon tombe sous les fesses.
Elle ne dit pas ce qu'elle va faire mais tout le monde a compris. Une pluie de claques tombe sur le slip.
Sans un mot elle le corrige fort, vite, en rafales.
La peau rougit sous son dernier rempart de pudeur. Méthodiquement, la main s'écrase et s'écrase encore.
On dirait qu'elle ne cessera jamais de s'abattre.

Sa femme est mortifiée.
Son amie cesse de lorgner sa montre et les deux plus jeunes ont bien du mal à ne pas éclater de rire devant cette scène totalement démentielle.
Dans un sérieux déstabilisant, elle poursuit sa besogne.
Il crie, n'insulte plus à présent.
Il supplie.
Il a honte.
Il a mal.
Il a perdu la face.
Il est le "gamin".
Corrigé devant tous et de la plus cuisante manière. 

Elle s'interrompt.
Le silence règne.
Personne ne proteste.
Même plus lui.
Je ne peux plus détacher mon regard, mon entre jambe ruisselle, je suis subjuguée et ma lingerie est en ruines.
Elle ne dira que quelques mots.
Quelques mots dont elle veut qu'il se souvienne toute sa vie.
" Je vais te traiter comme tu le mérites. Devant tous. Pour qu'ils te rappellent ce que tu as subi, quand tu seras aussi con avec eux qu'avec moi tu l'as été. Tu vas la prendre le cul à l'air ta fessée! "

Le slip tombe, les fesses sont déjà écarlates et alors que la main s'abat et dévaste les chairs meurtries.
" Fessée cul nu devant tout le monde, c'est cela dont tu as besoin, et surement depuis des années..." , ajoute-t-elle froidement.
La main s'élève et retombe lourdement, sans intermittence, elle ne laissera répit à aucune parcelle de peau.
Ce sont des larmes qui coulent à présent.
Des larmes de mortification.
L'homme supplie.
Sa femme ne bronche pas.
Son amie pouffe de rire et l'une des deux jeunes filme la scène en cachette!
Je suis à la limite de me masturber.
Je n'arrive plus à distinguer qui m'excite le plus.
Cet homme?
Cette fille?
Les témoins?
Je suis inondée de plaisir, de plaisir de voir...
De conjecturer ce que les deux filles vont faire de cette vidéo...

Elle cesse.
Les deux hommes s'écartent.
Lui est reculotté comme un enfant, et reposé au sol.
Il se cache le visage entre ses mains.
Incapable de fuir, de bouger d'un poil.
Elle se plante devant lui, se baisse à sa hauteur et le gronde longuement comme un gosse.
Lui disant qu'il avait besoin d'une bonne leçon et devant ses proches.
Qu'au fond de lui, il le sait bien.
Et que ses proches le savent aussi.
Et elle part.
Sans un mot de plus.
Les deux hommes lui emboitent le pas et l'un lui propose d'aller boire un café.
Comme si rien d'important ne s'était passé.
Sa femme se retourne et part à la hate, sans aucune empathie pour son époux, son amie la suit silencieusement mais le sourire aux lèvres, et demande à ses filles de venir à leur tour.

L'homme reste là.
Pleurant.
Elles ont quitté le parc depuis cinq minutes.
Mon plaisir étant plus fort que la honte supplétive que je vais infliger à cet homme, je sors de mon buisson.
Il me voit et s'enfuit à toutes jambes.
Je voulais qu'il me voit.
Je voulais voir son visage incendié de honte.
Je voulais jouir.
Encore une fois.
Jouir!

Je n'ai jamais revu ces gens.
J'ai beaucoup culpabilisé.
Je me suis même dit que je méritais au moins la même chose. Seulement voilà, à chaque fois que le plaisir m'emporte, c'est son visage mortifié et ses fesses claquées au vent, qui donnent une dimension supérieure à ma jouissance.
Et j'ai renoncé à lutter...


Voilà en gros comment je travaille.
Je voulais partager ça avec vous.

Mon premier roman (Aux yeux de tous ... Disponible sur Amazon), traite de la fessée publique sur adultes et dans ce dernier, je livre ce dont j'ai été témoin, donc les récits sont bien réels. 

Dans quelques temps, je vais m'atteler à la suite de cet opus, et pour ce faire je suis en recherche de récits réels eux aussi.
Je vous invite donc dans un premier temps à lire mon premier roman, et ensuite à échanger avec moi pour d'une part me donner vos impressions et vos sensations concernant votre lecture et ensuite, éventuellement pour me confier anonymement bien sur, des hsitoires équivalentes dont vous avez été témoin, ou simplement au fait. 

Je souhaite une proximité avec mes lecteurs et au delà, avec ceux et celles qui partagent mon gout.


A bientôt donc ... 

Signaler ce texte