Poème

Mow S

Il y a des tragédies.
Qui nous massacre la vie.
Il y a des étincelles.
Qui ont brûlé une vrai partie de notre éternelle...


Des étincelles de drames
Dont les décombres de nos flammes.
De cette longue nuit
Qui nous a détruites.
Pas nos vies, pas nos corps
Juste nos peines en désaccords.
Elles ont emporté nos souvenirs d'hier soir.
Que l'on gardera au fond de nos mémoires.


Parce qu'hier ont aurais pue se dire une dernière bonne nuit, un dernier baiser, un dernier, je t'aime et puis fermer les yeux pour TOUJOURS sans plus jamais ce revoir
Et passé à la mort derrière l'autre miroir.
De nos plus belles images
Et nos plus belles âmes.


On aura dormi pour la dernière fois.
Dont cette odeur que l'on ne retrouvera pas.
Avec une vraie symphonie sur les murs
Qui raisonné au fur et à mesure.
Maintenant, on sent la suit.
De notre malheur, qui nous a détruites.
Dont des décombres
Les plus profondes.
Cette nuit du 25 janvier
Là ou le monde s'est écroulé.
Devant nous, devant nos yeux
Qui sont devenues un peu plus malheureux.
On a perdu nos plus belles armes.
Il y ' a beaucoup trop de larmes.
C'était la plus grosse chaleur en moi.
Malgré dehors ce froid.


Maintenant le ciel est beaucoup trop pâle
D'une sueur froide des arbres.
Le soleil de la couleur du sang
Aux horizons pleurant.
Un peu trop nue
M'effrayes de plus en plus.
Je me sens tellement coupable.
De toutes ces choses, qui nous font tellement du mal.
Comme un coup de poignard dont la chaire
Avec une grande tristesse amère.
J'ai encore la force et le courage de vivre.
Mais j'ai vraiment la tête dans l'inconnue du vide.
Au même titre que la fièvre d'écume d'une longue grippe sans issue
Ce n'est plus de la fatigue, mais de l'épuisement moral.
Quand on a le cœur qui déraille
C'est une mauvaise mélodie.
Qui raisonnera à l'infini.
L'on a dû ce trompé de chemin.
De cette tempête de chagrin.


Il y ' a des tragédies.
Qui nous massacre la vie.
Il y ' a des étincelles qui ont brûler une vrai partie de notre éternel.


( ... )

Signaler ce texte