Il y a des tragédies. Qui nous massacre la vie. Il y a des étincelles. Qui ont brûlé une vrai partie de notre éternelle...
Des étincelles de drames Dont les décombres de nos flammes. De cette longue nuit Qui nous a détruites. Pas nos vies, pas nos corps Juste nos peines en désaccords. Elles ont emporté nos souvenirs d'hier soir. Qu'on gardera au fond de nos mémoires.
Parce qu'hier ont aurais pue se dire une dernière fois bonne nuit, on aurait pue se faire un dernier baiser, un dernier, je t'aime et puis fermer les yeux pour TOUJOURS sans plus jamais ce revoir Et passé à la mort derrière l'autre miroir. De nos plus belles images Et nos plus belles âmes.
On aura dormi pour la dernière fois. Dont cette odeur qu'on ne retrouvera pas. Avec une vraie symphonie sur les murs Qui raisonné au fur et à mesure. Maintenant, on sent la suit. De notre malheur, qui nous a détruits. Dont des décombres Les plus profondes. Cette nuit du 25 janvier Là ou le monde s'est écroulé. Devant nous, devant nos yeux Qui sont devenues un peu plus malheureux. On a perdu nos plus belles armes. Il y ' a beaucoup trop de larmes. C'était la plus grosse chaleur en moi. Malgré dehors ce froid.
Maintenant le ciel est beaucoup trop pâle D'une sueur froide des arbres. Le soleil de la couleur du sang Aux horizons pleurant. Un peu trop nue M'effrayes de plus en plus. Je me sens tellement coupable. De toutes ces choses, qui nous font tellement du mal. Comme un coup de poignard dont la chaire Avec une grande tristesse amère. Je ne sais pas si j'ai encore la force et le courage de vivre. Mais j'ai vraiment la tête dans l'inconnue du vide. Au même titre que la fièvre d'écume d'une longue grippe sans issue Ce n'est plus de la fatigue, mais de l'épuisement moral. Quand on a le cœur qui déraille C'est une mauvaise mélodie. Qui raisonnera à l'infini. On a dû ce trompé de chemin. De cette tempête de chagrin.
Il y ' a des tragédies. Qui nous massacre la vie. Il y ' a des étincelles qui ont brûler une vrai partie de notre éternel.