Pour les oreilles, les yeux, le plaisir

(ndla: par respect le prénom de l'autre auteur a été changé; suivre les liens pour une ambiance complète)

Uzul: « J'ai le droit à faire du favoritisme? Car soyez assurée que c'est bien vous ma favorite ».

Marlène rie: « Vil flatteur! Pardon, talentueux et vil flatteur »

Uzul lui baise la main: « Et combien de temps je passe avec vous alors que toutes les autres réunies n'en on pas autant?....Point là de flatteries, juste une vérité ».

Marlène sourie: « Mais toutes ces autres ne sont peut être pas femmes à rester devant leur écran après minuit... »
Elle lui offre un baiser.
« Quand je vous disais que vous êtes talentueux... »
Lui offre un autre baiser dans la nuque.

Uzul: « Certaines si, d'autres moins.... Mais surtout aucune n'égale votre frivolité et de toutes vous êtes la seule que je nomme ma Belle.... »

Marlène sourie encore: « Frivolité, ma Belle: il n'y a pas a en douter, vous savez trouver les mots... Je vous maudit monsieur, et ce avec mon plus grand sourire... »

Uzul une pointe d'amusement dans le regard: « Si c'est en maudissant que vous clamez votre flamme, soit. Maudissez moi encore »
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Marlène se laisse envahir par la musique: « La beauté de votre jeu et de votre personne suffit à vous maudire pour les 8 prochaines générations...

Uzul: « Pour les prochaines générations? C'est pas gagné, faut il encore que je me reproduise.... »
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Marlène sourie: « De lointains cousins feront amplement l'affaire. Ne serait-ce que le début de ce morceau, c'est un délice... »

Uzul sourie aussi.
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Il lui prend la main, la sert contre lui et la mène sur un pas de valse au rythme de cette dernière musique.

Marlène se laisse tenter par l'invitation et prend plaisir à sentir ce corps contre le sien, l'odeur de cet homme qu'elle devine sous quelques caresses.

Uzul tente de lui caresser l'ouïe avant que ce ne soit sa peau.
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Marlène ferme les yeux en savourant ce plaisir de tous les sens.

Uzul pris de pulsions canines, sous cette gorge offerte, ne peux s'empêcher d'y planter les crocs.
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La bête a mordu la Belle, abimant cet écrin de chair qu'est son corps.

Marlène laisse échapper un petit cri en sentant les crocs dans sa chair... Elle ne peux s'empêcher de glisser une main dans la chevelure d'Uzul sous l'effet du plaisir... La bête ne lui parut jamais aussi belle qu'en cet instant.

Uzul: « P...Pardon ma Belle... » trésaillant en un demi sanglot.
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Marlène le fixe, le regard brulant, une respiration légèrement haletante et lui lance un sourire.
« Pardon? Allons bon, voila que vous demandez le pardon, alors que votre faute fut celle d'attiser le brasier que je suis! »
Elle l'embrasse, sensuellement, mordant la lèvre inférieure de la bête.

Uzul la prend par la taille, la serrant fermement afin de la plaquer contre lui: « oui je demande pardon, car mon sang est maudit... cette marque je vous fit me partira jamais, comme le souvenir de moi qui est en votre cœur. »
Il la fixe du regard, l'œil pétillant.

Marlène lui rend ce regarde intense avant de lui susurrer: « Sachez Monsieur que jamais je n'ai honte de mes marques... Elles sont le témoin de nos batailles et nos ardeurs... Je la porterai fièrement, soyez en sur... »

Uzul, sans lâcher sa prise sur ses hanches, force la Belle à reculer et la plaque au mur non loin derrière elle. Il lui souffle alors à l'oreille: « Si c'est des marques que vous voulez.... »
Il lui déchire, soudainement, violemment le corsage.
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Le souffle de Marlène s'accélère, levant et abaissant sa poitrine libérée à la vue de la bête... Elle ne peut s'empêcher de dévorer des yeux le visage de son bourreau.
« Votre regard... »
Une sensation de délicieux abandon griffe peu à peu son corps.

Uzul de ses mains devenues griffues lui presse les seins alors que sa bouche plaquée à celle de la Belle partage la danse frénétique des langues.

Marlène fébrile, sous les assauts de cet homme, ne peut que se laisser envahir par les furies du désir. Ce corps serré contre le sien, elle parcourt le dos d'Uzul, jouant de ses griffes sur la peau du démon.

De peau il ne reste guère dorénavant. Un poil épais et rugueux couvre le corps de l'homme devenu animal. L'excitation, les phéromones et les caresses de la Belle ont fait perdre le contrôle qu'avait son esprit sur la malédiction.
Uzul: « savez vous que si nous allons plus avant vous ne serez plus jamais la même?... vous aussi subirez ces affres qui sont miens. »
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Marlène donne comme seule réponse, un regard flamboyant et un sourire carnassier dessinés sur son visage, dévorant des yeux la beauté maudite.

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Uzul ne voyant plus de raison à sa retenue, laisse sa folie bestiale couvrir la Belle, écrivant sur sa douce peau à l'encre de ses baisers, lui arrachant parfois un soupir.
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Marlène totalement abandonnée aux baisers sur sa peau frissonnante, se fait tour à tour gémissante, frémissante et parfois sauvage... Elle désire ardemment cet homme, la pointe de ses seins en est une preuve... Son entrejambe teintée d'un nectar nacré en est une autre...

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Alors que le bal des caresses bas son plein, l'homme-bête écarte les cuisses d'albâtre de la Belle et y hume le nectar brillant qui s'échappe de leur commissure. Il le lape s'approchant peu à peu de la toison humide finissant par succomber à ce breuvage si divin.
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Marlène les yeux clos, la bouche entrouverte ponctue ses respirations haletantes de quelques soupirs. Ses mains caressent la crinière de l'homme bête, sentant partir de son antre mille frissons et plaisirs...
Les mains tremblantes, elle remonte à elle le visage de ce superbe démon et l'embrasse à pleine bouche. Ses caresses se perdent sur le corps de son sublime tortionnaire... Un regard plus brillant que jamais, un sourire, suivi de quelques mots entre deux souffles.
« Goutez donc à ma si douce vengeance... »
Ce sur quoi elle commence à embrasser avec passion chaque centimètre de la peau de cet homme, cette bête... Elle ne saurait le dire... Tout ce dont elle est sure, c'est qu'elle le veut... sa bouche descendant doucement vers sa virilité.

Uzul laisse la Belle glisser vers cette verge gonflée qui est la sienne. La bête retient ses gestes proches des contorsions tant la caresse de la bouches est suave, mais ne peux s'empêcher d'afficher un rictus de plaisir.
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Marlène dans une fougue appliquée, se veut joueuse, garce, et prend plaisir à s'attarder à quelques millimètres du festin tant convoité... Des baisers sur son bas ventre, ponctués par quelques morsures disséminées au gré de ses envies, fulgurantes, brèves, intenses...
Du bout de la langue, elle effleure la virilité tendue à son bon vouloir, s'amuse à explorer chaque centimètre de cette allégorie du masculin, à l'embrasser, le toucher, le caresser, puis soudain, le gouter avec passion...

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Uzul se laisse aspirer cette colonne de chair pleine de ce maudit venin qui le ronge; tandis qu'il plonge un doigt dans la fente intime et humide de la Belle, allant d'un va et vient au rythme qu'elle donne sur sa verge.
« Je n'en puis plus la Belle. Viens, viens sur moi.... »
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Une délicieuse intrusion entre les cuisses de Marlène vient la tourmenter davantage... Sa bouche continuant avec délice de parcourir la virilité offerte. A l'entente des mots d'Uzul, elle relève le regard vers lui, un sourire affichant une espièglerie sans pudeur...
Sans un mot, elle se redresse et vient embrasser l'homme animal ou la bête humain; une jambe de chaque côte de ses flans, sentant à l'entrée de son antre ce sceptre du désir qui ne demande qu'à entrer...
Joueuse, et sans quitter Uzul du regard, un sourire à demi mordu sous des pensées coquines, elle se déhanche doucement; jouant avec lui, laissant sa virilité à l'entrée...
Son regard soudain s'embrase lorsque d'un coup de rein elle s'empale sur la bête, un gémissement marquant le début de ces superbes hostilités...

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« Raaaah... » laisse-t-il s'échapper lorsque la Belle se pénètre de son membre. Plantant d'abord ses griffes dans le sol, puis reprenant quelque peu ses facultés, il empoigne ces hanches qui ondulent devant lui accompagnant leur mouvement lancinant.
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« C'est bon la Belle, j'aime te voir comme ça »
Et d'un coup renverse la situation la faisant rouler sur le coté et passant au dessus.
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Il continue sur ce même rythme, l'appuyant plus profond.
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Marlène pousse un petit cri ravi en sentant le renversement de la situation et des corps... En elle les derniers bastions de contrôle tombent. La voici totalement offerte, ses soupirs devenant gémissements, presque des cris parfois... Ses mains plantant leurs griffes dans la cambrure de son bestial amant, l'encouragent à continuer sa fougueuse danse du plaisir...
« Et moi j'aime te sentir... Montre moi ce que tu es... Montre moi ce dont tu as envie... »

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Uzul: « Doucement, la Belle, nous avons la nuit devant nous. Laissons durer le plaisir »
Il monte ses jambes devant lui et sans arrêter se qu'il faisait entame de lui lécher les pieds.
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« On nomme ceci: le petit salé, le savais tu? »
Tandis que sa langue fouille les orteils, ses mains parcourent le flan de ses cuisses parfois à la limite de la griffer.
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Une sensation nouvelle, les jambes de Marlène se crispent sous l'effet du plaisir et de la découverte...
« Non je ... n'en savais... rien... » dit elle, entre deux souffles.
Sentant les griffes du démon sur sa peau, elle ne peut que gémir davantage, aimant provoquer en lui ces élans de bestialité.

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Libérant d'un coup sec sa verge de cette prison de plaisir, Uzul retourne tout aussi sèchement la Belle; la mettant face contre terre. Il lui remonte le bassin pour la positionner à quatre pattes et la pénètre de nouveau sans vergogne aucune.
« Ahhhh, tu aimes quand je suis violent.... »

Un cri étouffé s'échappe d'elle lorsque Marlène sent son ventre et sa poitrine griffer le sol avant d'être positionnée à quatre pattes. C'est avec un gémissement sans aucune pudeur qu'elle accueille sa virilité avec violence... Elle sent son désir ardent la pénétrer avec force, elle soupire, elle gémit, elle tremble sous les attaques.
« Aimer ? » tente-t-elle de dire d'une voix presque assurée, avant de tourner la tête pour lui adresser un sourire des plus espiègles.
« Succomber serait un mot plus... jouissif en l'occurrence... »
Jouant de sa cambrure, elle creuse son dos, remontant sa croupe, donnant encore plus d'élan aux pénétrations, jouant d'un déhanchement pour offrir à sa bête un plaisir aussi fort que le sien.

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« La...La Belle, je... je vais pas tenir.... doucement. »
Mais ce ne sont que des mots les actes sont tous autres. D'une main il enserre la taille, plantant un pouce dans le creux des reins offerts, de l'autre il lui tire les cheveux en arrière tel un cowboys domptant un bronco sauvage.
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Marlène se sent possédée par cet homme. Elle ne contrôle plus rien. Elle laisse son corps en furie agir pour elle. Ses cheveux fermement tenus, elle sent les à-coups de la bête contre elle... En elle...
« Doucement... » souffle-t-elle
« Je ne...connais pas... ce mot... »

Uzul: « Ah ah ah, demain certain diront que tu as du plomb dans l'aile mais d'autres moins cavaliers t'accuseront d'avoir séché sur un tonneau.... tu vas boiter petite.... »
Il se retire doucement, crache sur ce petit orifice rond avant d'y forcer le passage d'un mouvement lent mais ferme.
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Marlène sent son amant entrer en elle par son autre coté. Elle étouffe un cri, en se reculant doucement vers lui.

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La suite n'a pas été écrite. Je la laisse donc à votre imagination dont je ne doute point de sa fertilité.