PARTIE N°3

florentin

Ecrit par Florentin entre le 24/07/2012 et le 11/05/2019

Chapitre : la danse.

 

Dans un chapitre, je vous ai parler de danse avant de continuer l'histoire faisons une petite parenthèse sport.

En écrivant cette histoire, quelques nouveaux souvenirs me sont revenus. Avant de raconter les vacances, je vais vous parler de ces nouveaux souvenirs.  

Nous faisions tous les deux du sport. Tous les sports de la commune se pratiquaient dans le même bâtiment, une ancienne école réaménagée.

Le hasard avait voulu que nous pratiquions nos activités sportives les mêmes jours. Pour le retour, elle m'avait demandé de l'attendre, pour la raccompagner chez elle. Nous finissions entre 22H00 et 22H30.

Elle m'avait dit :

« C'est tard, je ne veux pas faire le parcours seule. »

Elle pratiquait la danse. C'était une volonté de sa mère. Au départ Laurence n'appréciait pas ce sport imposé par sa mère. Elle voulait la rendre plus féminine. Petit à petit, Laurence avait appris à aimer ce sport. Cela lui permettait de se détendre et à apprendre à maitriser son corps, gestuelle et grâce. Avec le temps, elle avait parfaitement compris que c'était aussi un bon moyen de séduction.

Durant ses dernières années de danse, j'appréciais particulièrement ses petites répétitions très privées qu'elle me faisait. Celles-ci précédaient les 2 ou 3 représentations que son professeur organisait durant l'année. Elle trouvait toujours des tenues très sexy. La transparence de ses tenues m'affolait. Pour elle à l'évidence, c'était son petit jeu de séduction.

Lors de la représentation officielle, sa tenue était toujours moins affriolante. Je lui faisais régulièrement la remarque.

« Tu as changé de tenue pour la représentation ?»

Elle secouait la tête.

« Gros bêta. »

A la fin de chaque répétition, elle me demandait toujours ce que je pensais et ce qu'elle pouvait améliorer et si j'avais aimé. Moi, je répondais.

« C'est toujours très bien ce que tu fais. »

Ses questions finissaient toujours autour de son apparence, son physique.

Moi je faisais semblant de ne pas comprendre. Je répondais que sur sa prestation. Je savais ce qu'elle voulait entendre que c'était un ange, qu'elle était super sexy. Le jeu pour moi était de contourner ses questions. Je finissais toujours par l'énerver. A la fin, elle me demandait toujours un baiser pour me faire pardonner.

Comme elle disait :

« Tu me donnes les nerfs, pourquoi tu ne veux pas dire que je suis canon. »

« Tu le sais déjà, pourquoi je te le dirais. »

« Une femme a toujours besoin d'être rassurer. »

« Si je te trouve moche, je ne vais pas te le dire tout de même. »

Elle me regarda, son regard était sombre avec son pouce, elle me fit signe qu'elle me trancherait la gorge si j'osais dire ça un jour.

 

 

Chapitre : la personnalité de Laurence.

 

Depuis son plus jeune âge. Laurence avait une personnalité très complexe. Le plus souvent souriante et incontrôlable mais ses moments de folies étaient entre coupés d'instants de cafards. 

Elle était à la fois un garçon manqué et une fille sexy et sensuelle.

La femme aux deux visages.

Le coté mélancolique, elle l'a toujours eu depuis son plus jeune âge jusqu'à ce que nous nous perdions de vu. Le coté garçon manqué s'est estompé en vieillissant. Elle l'avait remplacé par des instants de délires.

Bien sur le côté garçon manqué refaisait son apparition de temps en temps cascades et autres pitreries.

Un autre souvenir m'est revenu, la période de l'école primaire durant laquelle je n'ai aucun souvenir.

Elle avait été gravement malade. Il me semble qu'elle avait passé plusieurs mois à l'hôpital.

Qu'avait-elle eu comme maladie ? Elle n'en parlait jamais et refusait d'en parler.

Régulièrement, elle devait faire un contrôle, qui devenaient de plus en plus espacés. Les jours précédents ces contrôles, ses relations avec ses ami(e)s étaient ombrageuses.

Tout le monde prenait soins d'elle.

Les examens finis, nous retrouvions la Laurence joyeuse.

Il m'est arrivé de la surprendre dans ses moments de mélancolie. J'en garde quelques images dans ma tête.

Je la comparais à un ange ou une fée. Elle semblait communiquer avec un autre monde. Des ondes magnétiques semblaient l'entourer. Dans sa tristesse elle était divine. Heureusement, il ne fallait pas grand-chose pour la faire revenir dans notre monde.

Ses moments de folie et cette rage de vivre parsemées de moments de mélancolie venaient surement de cette période où elle avait été malade, quelles épreuves à t'elle subit ?  Dans les rares moments où elle effleurait le sujet, elle disait. 

« Je dois profiter de la vie je ne vivrai pas longtemps. »

Sa mère était toujours folle de rage d'entendre ses paroles.

 

 

Chapitre : les filles de la bande.

 

Je vais commencer par :

Jeannette : on peut la considérer comme l'animatrice du groupe de filles. Une leader sans être une chef. Une blonde bien en chair mais jusque ce qu'il faut pour être avenante, une comique de son état. Plus qu'amoureuse de Patrick. Ils n'ont pas attendu très longtemps pour se marier.

La confidente de Laurence, une tombe pour garder les secrets. Elle avait toujours une analyse factuelle et précise des situations pour donner des conseils pertinents.

Angèle : l'espagnole, une grande filiforme aux cheveux noirs mi-longs légèrement bouclés. Une basketteuse. Douée en langues étrangères et littérature, les mathématiques n'étaient pas son point fort. La fille sérieuse et conviviale. Elle était l'aînée d'une famille de 4 enfants. Une de ses sœurs venait régulièrement participer aux activités de la bande. Elle était amoureuse de Renaud, un garçon qui a fait partie de la bande très longtemps.

Sylvie : est un cas à part pour l'époque. Elle préférait les filles. Discrète jeune fille aux cheveux châtains, jolie un peu précieuse. Beaucoup de garçons ont essayé de lui faire changer son penchant pour les filles sans résultat. Cela ne l'empêchait pas de vouloir un enfant. Pour l'époque cela voulait forcement dire faire l'amour avec un garçon. Elle disait chercher le meilleur géniteur possible pour son enfant.

Véronique : petite brune sérieuse aux cheveux courts bouclés. Pas une grande personnalité une suiveuse.

Katia : elle a fait partie de la bande jusqu'à la fin du lycée. Je n'ai pas de souvenir bien précis à son sujet.

Myriam : fille d'un mariage mixe franco-algérien. Fille douée en études, un caractère fort, une jolie métisse avec un frère difficile. Très convoitée par la gente masculine.  

Virginie : une vraie blonde la peau très claire, les cheveux et les cils d'une blondeur extrême, on peut penser que sa foufoune était surement vraiment blonde. Mais c'était la suce boule, la jalouse, toujours à se comparer aux autres dans tous les domaines.

Dominique : une jolie rouquine avec des taches de rousseur plein le visage, taille moyenne, un peu maigre, joyeuse qui a abandonné le groupe à la suite d'un déménagement. C'est la première fille qui m'a donné les premières envies. Une fille convoitée par un autre garçon de la bande un certain Olivier.

Le noyau dur de la bande était ces filles. Suivant les années d'autres filles étaient inclues dans le groupe puis disparaissaient en fonction des études et des déménagements des parents.

 

 

Chapitre : Danse et le sport.

 

Revenons au sport. Qui dit sport dit vestiaire.

Comme je devais attendre le plus souvent Laurence. Son cours avait une tendance à se prolonger surtout à la proche des spectacles.

J'ai eu le privilège d'être invité dans ce lieu interdit aux garçons.

Ce soir-là ses copines étaient très excitées.

J'attendais assis quand Jeannette vint me chercher.

« Vient Laurence veut te voir. » 

« Ça ressemble à un coup fourré, je vous connais bien ».

« Tu vois les embrouilles partout. ».

« Je te connais depuis assez longtemps. »

Elle me prit par le bras. Une fois entrée dans ce lieu plein de secrets féminins. Je vis les filles faisant face aux casiers des vestiaires, toutes plus ou moins habillées.

Entre les garçons et les filles de notre bande, il n'y avait pas forcement beaucoup de pudeur. Nous nous connaissons depuis très longtemps et nous allions depuis le plus jeune âge nous baigner l'été dans la petite rivière qui passait à côté du village, le plus souvent nous nous baignons nus et nous changions de vêtements devant tout le monde.

« Mais qu'est-ce que tu trouves de plus à Laurence. Regarde Sylvie a un beau cul aussi. Regarde ça c'est du premier choix. »

Jeannette lui tapa sur les fesses.

« En plus elle n'a qu'une envie trouver une jolie bite pour se faire ramoner pour lui faire un môme. »

Puis en tirant le pantalon de survêtement jusqu'en bas des cuisses de Sylvie pour me montrer son petit cul.

« Regarde de la belle femelle OPEN. Laurence tu n'es pas près de la sauter. »

En entendant le tintamarre, Laurence arriva rapidement, elle venait de finir de prendre sa douche, elle portait une serviette autour du corps.

« On ne peut pas vous laisser seules 5mm, à la première occasion vous faites des conneries. »

Sylvie : « On s'ennuyait. »

« Je suis sûr que vous avez picolé. »

« Nous ! Non. Pas encore mais si tu as une bouteille nous sommes partantes. »

Laurence : « Aller. Partez maintenant. Le frais du dehors vous fera du bien et va vous calmer. »

« On emmène Florentin avec nous, ton plan on le connait, tu es à poile sous ta serviette, tu as l'intention de te faire troncher ici, il n'est pas question que tu fasses tes cochonneries ici. »

Nous avons attendu Laurence à la sortie du bâtiment. Ce soir-là, les filles étaient très excitées, elles interpelaient tous les garçons qui passaient.

Quand Laurence arriva.

« Mais qu'est-ce qu'elle a de plus que nous. »

« C'est un ange céleste, elle vient qu'un autre monde. »

Jeannette : « l'ange ensorceleuse, malheur à nous, elle va nous ensorcelés comme elle l'a fait pour toi. Elle va nous empêcher de baiser. »

Sylvie : « Nous allons conjurer le sort, te libérer de cette sorcière. »

 J'avais l'habitude les délires de ce clan de filles farfelues. Tous les sujets étaient une source d'inspiration pour délirer et rigoler

 


Chapitre : La dernière chorégraphie privée.

 

En terminale, le spectacle de danse de fin d'année tombait le vendredi du weekend de son anniversaire.

Laurence m'appela pour que je vienne voir sa chorégraphie.

Comme d'habitude, tous étaient millimétrés les horaires la danse et le reste. Je devais arriver à l'heure précise si non j'avais droit à un scandale.

Elle m'avait installé sur un tabouret pour la regarder danser. Sa danse frisait la perfection, sa tenue un chemisier blanc transparent avec une petite culotte guère moins transparente.

Une fois qu'elle eut fini sa représentation, le jeu des questions réponses commença.

« Qu'est-ce que tu en penses ? Je peux améliorer quoi ? » Une pluie de questions d'abord très orientées danses puis petit à petit les questions s'orientaient sur elle, stratégie habituelle après ses démonstrations.

« Comment tu me trouves ? »

« Jolie. »

« A mon âge toutes les femmes sont jolies. »

« Tu es plus que jolie. »

« C'est quoi plus que jolie. »

« Magnifique. »

« A enfin. »

« Je n'ai pas beaucoup de repère pour juger le physique d'une femme. »

« Tu rigoles ou quoi, depuis le temps que nous allons tous nous baigner à la rivière, tu vois toutes les belettes de la bande à poiles quand elles se changent, tu ne vas pas me dire que tu ne les mates pas. »

« Tu es une des plus belles. »

« Je ne suis pas la plus belle ! »

Elle s'approcha de moi, s'assit sur mes cuisses face à moi.

Elle me regardait droit dans les yeux, son regard était difficile à soutenir, quand elle avait décidé de vous fixer droit dans les yeux personne ne tenait très longtemps. Son regard clair avait une profondeur intense et dérangeante. Je pense que seule Jeannette arrivait à tenir quelques minutes.

« C'est qui cette belette plus belle qui moi. »

Il fallait la jouer fine autrement j'en avais pour au moins deux semaines de réflexions.

Elle plaça un doigt sous mon menton pour relever ma tête.

« Alors, j'attends. »

« Sylvie. »

Elle se mit à rigoler.

« Une gouine, bon il faut reconnaître qu'elle est bien roulée, mais peu de chance de la tirer, heureusement que ce n'est pas une de ses salopes de la bande qui tiennent mieux sur le dos qu'une bique sur les cornes. »

Elle passera ses bras autour de mon cou, je sentais ses lèvres et ses joues m'effleurer le visage.

« Tu m'aimes ? »

« Tu connais la réponse. »

« Oui mais je veux l'entendre. »

« Je t'aime joli cœur adoré. »

« Tu vois quand tu veux. »

Ses deux mains prirent par le dessous ses seins

« Regarde, comme ils sont mignons. »

Je souris.

« Ils ne te plaisent pas ? Tu préfères ceux de l'autre. »

« Ils sont adorables, tu as froid tu devrais te couvrir. »

« Je n'ai pas froid je suis excité, tu bandes ? »

« ça aussi, tu connais la réponse. »

Petits sourires.

« Tu bandes et moi je mouille, tu sais ce que cela veut dire. »

« On a envie de faire l'amour. »

« Exact, la première je ne veux pas qu'on baise je veux qu'on fasse l'amour. »

« C'est quoi la différence ? »

« Par exemple là je m'allonge sur le lit et tu me baises quand tu as fini tu te rhabilles et tu te casses, ça c'est baiser.

Faire l'amour ça démarre de la même manière mais tu restes et on recommence, on passe la nuit ensemble, quand on se réveille on refait l'amour jusqu'à ce que ma petite chatte soit en feu et que lorsque tu vas pisser ça te brûle le gland. »

« Bon programme, difficile à réaliser vu les circonstances. »

« J'ai un plan pour les grandes vacances et si ça ne marche pas. Nous sommes tous les deux majeurs dans une semaine on peut prétexter un weekend avec l'école et passer une ou deux nuits dans une auberge ou un petit hôtel sympa. »

« Tu penses que les parents vont croire cette histoire de sortie. »

« Oui, bien présentée, tout est dans ma tête. »

« Tu es une rêveuse, pourquoi tu ne veux pas dire la vérité ou une vérité arrangée plus crédible. »

« ça ne regarde pas ma mère, elle me prend toujours pour une gamine. Puis les conseils de madame je sais tout je m'en tape. »

Nous entendîmes le bruit d'une voiture sur le gavé.

Ses mains me prirent le visage elle m'embrassa de toutes ses forces.

Elle se leva s'habilla avec un survêtement.

« Samedi, tu viens à entre 10H45 impératif. »

« Oui, joli cœur. »

« Tu as bien compris, j'ai un truc à te montrer. »

On entendit sa mère appeler à l'aide pour l'aider.

« On y va. »

 

 

Chapitre : l'anniversaire.

 

Le lendemain, jour de son anniversaire.

Il devait rester que quelques jours de cours avant l'examen final.

Comme toutes les fins d'année scolaire, il y avait cet événement à célébrer.

C'était un dimanche ensoleillé, son père avait préparé un barbecue.

Je lui avais acheté un parfum. Maintenant qu'elle assumait sa féminité, je pouvais lui faire des cadeaux de fille.

Je connaissais son rêve, elle voulait que je lui offre des sous-vêtements, mais à une condition que je vienne avec elle les essayer et pour cela il fallait attendre d'avoir baiser ensemble comme elle disait.

« Imagine, une femme dans un magasin de sous-vêtements, elle est comme dans un magasin de chaussures, elle a dû mal à choisir. Et toi tu seras là à me voir à poil puis en sous-vêtements. Tu banderas comme un âne. Le soir nous baiserons pour inaugurer cette lingerie. »

…    

Quand je suis rentré dans sa maison, il régnait une activité intense, décoration et autres préparatifs, tout le monde s'afférait.

Laurence avait invité les camarades habituels.

Apparemment, j'étais le premier arrivé. Sa mère fut étonnée de me voir.

« Tu es déjà là !»

« Laurence m'a dit de venir à 10H45 et il est 10H50. »

« Une vraie tête en l'air nous avions dit entre 12H15 et 12H30. »

« Elle n'est pas là, elle ne vous aide pas ?»

« Non, interdit ! La reine de la fête se fait une beauté, tu vas être surpris, elle descendra quand je l'appellerai. Monte, elle est dans sa chambre, nous on part chercher le gâteau et le pain. »

Je montais les escaliers. J'entendais la voiture rouler sur les graviers de l'allée. Je frappais à la porte.

« Entre. »

Laurence était assise sur un tabouret.

Elle était lumineuse avec ses yeux plein de malice et sa bouche souriante et pulpeuse. Elle portait une petite nuisette légère et transparence, qui ne cachait pas grand-chose de son anatomie, seule une petite culotte en dentelle jouait les troubles fête pour cacher partiellement ce petit triangle noir marquant la frontière entre son ventre et ses cuisses.

« Comment tu me trouves ?»

« Transparente…pour une fête amicale, ce n'est pas forcement la tenue la plus appropriée. »

« Oui évidemment… Bien sûr je vais mettre autre chose… avant approche. »

Laurence me prit par le cou me plaqua sur le mur.

« Embrasse-moi. »

Je sentais son corps se serrer contre le mien…. Je bandais.

« C'est mon anniversaire. »

« Oui, je le sais. »

« J'ai le droit de faire ce que je veux ? »

« Oui, si c'est raisonnable. »

« Rien n'est raisonnable avec moi. »

« Je sais. »

Avec Laurence, il fallait toujours prendre ses précautions. Elle pouvait rapidement devenir incontrôlable. 

A peine j'avais dit cela, je sentis sa main se poser sur mon sexe.

Nos langues étaient emmêlées. Ma main se posa sur sa cuisse et commença à remonter sous sa nuisette.

« Non, non, pas de ça, ce n'est pas ton anniversaire. »

« Toi, tu touches pourquoi pas moi. »

« C'est mon anniversaire… Toi tu as ton pantalon, moi sous ma nuisette il n'y a pas grand-chose pour me couvrir, qu'une petite culotte en dentelle toute fine. »

Ma main remonta sur sa taille.

« Il faut être patient, la patience est toujours récompensée. »

Elle avait toujours ce petit sourire malicieux quand elle parlait en sous-entendu de sexe.

Elle calculait tout, Je savais que dans sa tête, elle savait quand nous ferions l'amour ensemble.  

A nouveau, nos lèves s'effleurèrent, nos langues se frôlèrent.

Puis nous avons eu ce baiser bestial incontrôlable, mélange de langues et de salives.

« Je te fais bander ? »

« Pourquoi cette question tu connais la réponse. »

Elle passa sa ma dans mon pantalon, Elle saisit mon sexe.

« Oui. »

« Je trouve que tu en profites … Tu as déjà vu ? »

« Oui et non, tu sais j'ai un frère… Je connais le sexe masculin au repos… Pas quand, il bande, sauf en photos. »

Pendant qu'elle me parlait, ma main s'aventura à nouveau sur sa croupe.

« Tut, tut, tut, pas de ça mignon. Tu ne touches à rien en dessous de la ceinture. Ce n'est pas ton anniversaire... J'ai qu'une petite culotte si fine que c'est comme si je n'avais rien. Et si tu me touches je ne suis pas sûr de pouvoir me contrôler. »

« Tu as surement raison, il faut savoir s'arrêter. »

« En fait tu bandes et tu mouilles comme moi. J'ai la main toute mouillée. »

Elle sort sa main de mon pantalon, s'essuie.

Elle passa sa main dans sa culotte et me montra ses doigts brillants et humides.

« Regarde. »

« Ça veut dire que l'on a envie tous les deux. »

« Il faut savoir attendre… ce n'est pas le moment, je ne vais pas dire aux invités, cette après-midi nous baisons, démerdez vous sans nous. »

Laurence s'éloigna de moi.

Elle prit une serviette puis revint vers moi.

« Je fais ou je ne fais pas ? »

« Qu'est-ce que tu veux faire. »

« Un cadeau en signe d'amour. »

« Tu as toujours fait ce que tu voulais. »

Elle se retourna alla verrouiller la porte de sa chambre.

Elle prit une petite culotte posée sur son lit.

Elle revint vers moi.

Elle me la tendit.

Je me disais, elle va me donner une de ses culottes.

 « Tu veux que je la mette ? »

« Non sent mon sexe pendant que je vais te faire un petit cadeau, et tu la fermes, tu n'as rien à dire. »

Elle se mit à genoux, dégrafera ma ceinture, puis déboutonna mon jeans, baissa mon slip.

« Alors si je comprends bien mes copines plus c'est gros et dur mieux c'est. »

Elle leva la tête, elle me souriait.

« Tu jouiras sans bruit, OK. »

Je lui fis signe de la tête.

Sa main droite avait commencé son mouvement de va et vient.

Je sentais sa culotte avec l'odeur inoubliable de son sexe.

Je sentis ses lèves se poser sur mon gland, elle avala entièrement ma bite, sa langue jouait avec mon gland. »

Sa main accéléra, visiblement elle ne voulait que cette première fellation ne dure pas longtemps.

Je sentais en moi monter la pression. Je lui fis comprendre en lui serrant les épaules avec les mains.

Elle accéléra à nouveau les mouvements de sa main.

Je sentis en moi une jouissance énorme. A chaque mouvement de sa main un jet était éjecté, elle continuait jusqu'à ce que je débande.

J'ouvris les yeux.

Elle me lava la verge et l'essuya avec la serviette.

Sa poitrine était couverte de sperme.

« Alors ça t'a plus. »

« Si je te disais non, ce serait mentir. »

« Maintenant, tu me dois un cuni. »

Elle se releva.

« Si ma mère voit ça, je ne te dis pas les questions, je dois la mettre à tremper. »

Elle enleva sa nuisette et sa culotte.

« Je ne risque rien, je t'ai vidé les couilles. » Elle rigola.

Je la voyais pour la première fois entièrement nue dans sa chambre.

« La culotte je la garde. »

« T'es pas bien, c'est une de mes préférées, tu la reverras bientôt. »

« Dommage, bon si je la revois bientôt je ne vais pas insister. »

« Tu peux m'attendre dehors devant la porte. Je veux te faire une surprise ». 

Cela faisait bien quinze minutes que j'attendais.

« Entre. »

J'ouvris la porte. Quand je l'aperçus, elle était divine dans sa robe noire sans manche avec un joli décolleté.

Elle était encore assise pare terre. Elle venait juste de finir de mettre ses chaussures.

« Tu es divines. »

« Alors, tu aimes ? »

« Pas mal. »

Elle fronça les sourcils.

« J'adore, je ne vais pas te chambrer le jour de ton anniversaire. »

« J'espère bien, mon futur amant chéri. »

« Au fait, hier tu ne voulais pas me montrer quelque chose ? »

Elle secoua la tête.

« Les mecs vous êtes vraiment de gros blaireaux. Vous avez vraiment du mal à comprendre les femmes. »

Rapidement, je compris ce petit plan machiavélique de me faire arriver une heure et demie plus tôt n'était que le prétexte à ses jeux érotiques.  

La nature l'avait doté d'une poitrine qui était maintenant assez généreuse. Je me rappelle de cette petite culotte en dentelle rose qu'elle avait mise en évidente sur son lit… pas tout à fait une femme mais déjà toutes les ruses.

Quand sa mère nous appela pour descendre. Elle lui demanda.

« L'attente n'a pas été trop longue. »

« J'étais énervée d'attendre, Florentin a dû subir mon impatience, si on avait attendu plus longtemps, je ne sais pas ce que j'aurai fait. »

La fête fut animée et joyeuse comme d'habitude. Ses parents étaient partis pour nous laisser seuls entre jeunes.

Il y eut la séance de photos habituelle à ce genre d'événement.

La ressemblance de Laurence avec sa mère était de plus en plus grande.

Surtout depuis qu'elle s'habillait en femme.   

En fin d'après-midi, quand tout le monde fut parti et que ses parents étaient rentrés.

« Maman, Florentin peut rester, il y a encore beaucoup de chose à manger. »

« Oui bien sûr. »

La soirée arrivée, nous nous sommes remis à manger les restes.

« Pourquoi, Florentin ne viendrait pas avec nous à la ferme en juillet ? Eric sera là, nous pourrons bien nous amuser. Florentin pourrait m'aider à réviser. »

Je n'ai pas encore parlé de son frère Éric. Il était un peu plus âgé que nous de 2 ou 3 ans. Il prenait grand soin de sa petite sœur. Il avait une tendance à toujours la considérer comme une petite gamine.

Sa mère fut très étonnée de cette remarque, Laurence répéta :

« Eric sera là. Nous pourrions réviser. »

« Je ne te savais pas si assidu au travail !»

Laurence reprit immédiatement.

« C'est mon anniversaire ! Dis oui. »

« D'accord. »

Laurence murmura un « Yes » de joie.

Elle me donna un coup de pied sous la table.

Elle alla chercher des photos de cette maison. Je connaissais l'existence de cette petite ferme familiale, elle m'en parlait souvent. Elle l'aimait beaucoup surtout du temps où sa grand-mère était encore vivante.  

Je découvrais avec elle d'abord l'extérieur puis l'intérieur de cette vieille ferme familiale.

« Il pourra dormir dans la chambre bleue regarde la photo, elle est bien. »

« Mais oui. »

 

 

Chapitre : Laurence étudiante.

 

Comment décrire Laurence à cet âge, une belle jeune fille bien proportionnée.

Le sport avait musclé sont physique, elle avait pris de la carrure, sa taille fine accentuait sa largeur d'épaules, ses hanches étaient un peu moins larges que ses épaules.

La danse lui avait donné une grâce quand elle se déplaçait.

Avec le temps, notre relation me permettait de découvrir toujours un peu plus son physique.

Dans nos appartements ou maisons surchauffés, elle aimait porter dans sa chambre des vêtements légers souvent en coton blanc, un petit débardeur avec un large décolleté arrondi, assorti d'une culotte assortie entre slip et short.

Ce coton blanc même s'il n'était pas transparent épousait parfaitement son anatomie. Je pouvais deviner toutes ses formes même les plus intimes, le tissu de son marcel moulait parfaitement la forme de ses mamelons. Son shorty épousait les formes de ses fesses et de son sexe.

Pour elle s'était naturel, on se connaissait depuis très longtemps, la piscine, nos sorties pour elle nous n'avions pas grand-chose à cacher.

Je lui faisais quelques fois la réflexion.

« Tu t'habilles un peu légèrement, tu ne trouves pas ? »

« T'es bien le premier garçon qui se plaint de voir une fille en tenue légère. »

« Si ta mère arrivait, elle penserait quoi ? »

« Elle n'est pas là…. Donc elle ne peut pas penser. »

Il y avait ses séances de danse. Elle s'arrangeait à ce que nous soyons que tous les deux dans sa maison. Pour ses représentations très privées, elle portait des vêtements en tulle avec plusieurs épaisseurs.

Au fur et à mesure que les années passaient la tenue est passée de légère à très légère. Le multi-épaisseurs c'est transformé en simple nuisette transparente.

Même ses sous-vêtements se sont allégés et disparaitre comme son soutien-gorge ou sa petite culotte de coton s'est métamorphosé en dentelle fine jouant des transparences intimes.

J'ai toujours su qu'elle savait bien ce qu'elle faisait.

J'étais tenté de forcer le destin en la prenant dans mes bras. Mais je connaissais la réponse.

Dans nos diverses conversations, elle m'avait fait comprendre que c'est elle qui déciderait quand nous ferons l'amour si nous devons le faire ensemble. Elle finissait souvent par :

« La probabilité que ça arrive est de plus en plus forte chaque jour qui passe. La patience est toujours récompensée pour ceux qui savent attendre. »

Son visage avait gardé sa rondeur tout en prenant de la finesse.

Sa peau était toujours aussi blanche.

Ses cheveux avaient foncé, ils étaient bien plus longs maintenant ils recouvraient sa poitrine.

Sa bouche en forme cœur était maintenant mise en valeur par son rouge à lèvre, je devrais dire rose à lèvres.

Son nez avait pris de la finesse.

Ses yeux étaient surlignés par les sourcils noirs un peu épais mais pas trop.

Ses yeux clairs en amande étaient toujours aussi mystérieux.

 

 

Chapitre :  les petites fêtes d'étudiants.

 

Quelques jours plus tard, nous avons passé l'examen de fin d'année tout le monde le réussi. Après avoir fêté cette réussite avec nos amis. Nous sommes partis en vacances.

Pour tous les événements de notre scolarité, comme tous les étudiants et étudiantes qui se respectent, nous participions ou organisions des petites soirées souvent bien arrosées.

Avec nos ami(e)s, les soirées finissaient régulièrement en strip-poker ou en strip-quiz ou strip de n'importe quoi.

Les trois quarts des filles finissaient en sous vêtements.

La perdante et la gagnante devait se faire embrasser par des garçons sur les fesses à la fin du jeu. La gagnante choisissait les heureux élus, pour la perdante les autres joueuses choisissaient les autres heureux élus.

Il y avait une variante la perdante et la gagnante de chaque manche buvaient des verres d'alcool. Certaines filles avaient une bonne descente, d'autres s'endormaient en cours de partie dans un état d'ébriété avancée. 

Laurence n'apprécia pas ces fins de parties de soulographie ou de baisers des fessiers.

Elle se levait et venait vers moi.

« Tu restes à coté de moi. Pas question que tu embrasses les fesses d'une de ses salopes. »

« Ce sont tes copines. Tu pourrais être plus sympa avec elles ? »

« Peut-être. Mais quand elles sont bourrées, elles ont le feu au cul. Et moi je te veux que pour moi. »

Une fois Laurence finit par perdre une partie. C'était la seule fois. C'était pourtant une très une bonne joueuse, elle faisait ce qu'elle voulait au poker. Habituellement, elle faisait le nécessaire pour ne jamais gagner et toujours finir deux ou troisième pas plus.

Cette fois là, le hasard avait voulu qu'elle ait que des jeux pourris.   

Elle posa ses conditions. Elle me choisit 3 fois. Ce fut un scandale, pour tous les autres garçons et filles.

Les filles firent un conseil de guerre. Quand leur tribunal rendit la réponse. La présidente Jeannette déclara :

« Le règlement stipule de se faire embrasser 3 fois sur les fesses. Il n'y a pas de précision si c'est 3 fois le même garçon ou des garçons différents. La perdante n'a pas de droit de choisir les garçons. Exceptionnellement, nous autorisons Laurence à choisir à une condition qu'elle l'embrasse sur la bouche avec mélange de langues pendant cinq minutes ».

Elle monta sur la chaise des baisers, elle souleva sa jupe, Je déposai trois délicats bisous sur ses jolies fesses. Après l'avoir embrassé, nous avons dû nous acquitter du gage pour avoir rompu nos traditions, nous embrasser sur la bouche durant 5 minutes pendant que tout le monde nous applaudissait et buvait.

Ces filles étaient un véritable clan. Certaines se connaissaient depuis l'école primaire. Elles avaient un respect l'une envers l'autre même si quelques fois, elles ne se faisaient pas de cadeau. Dès que l'une d'elle avait des vrais problèmes, elles s'empressaient de l'aider. Elles savaient Laurence un peu fragile sous ses apparences joyeuses et délirantes se cachait un secret que personne ne voulait déterrer, cette vieille maladie d'où surement cette petite concession à la tradition.

Comme tous les clans, il y avait un mélange de spirituel et de folie. Il arrivait de temps en temps qu'elles fassent appel aux forces de l'au-delà pendant des messes noires ou je devrais dire des messes un peu arrosées.

Le sujet principal tournait toujours autour des mecs, trouver le prince charmant, certaines étaient plus terre à terre un milliard ou une grosse bite.

Sauf en période d'examen où les dieux étaient invoqués pour réussir les épreuves.

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