Rape sur piano.
baionnette-perse
Je t’aime mon fils. »
La rage me montant on nez, j’ignorai s’y il fallait que je lui en colle une bien sentie dans la mâchoire ou que j’attende un peu de me calmer. Le sang de mon père coulé sur la moquette, ce qui était dommage, c’est que j’étais drôlement attaché à cette moquette moi. Ma mère continuait à m’énervé avec ses « je t’aime ». Ses envies et ses blablas.
- Ne redit plus jamais ça. »
- Tu nous as libérés ! »
Dans le coin à coter de la télé elle puait la transpiration, son nez coulait et ses yeux criés de bonheur. Fallait quand même la comprendre, elle venait de se faire violer par son mari. Sa la changer grandement des types qui l’a payée fus un temps pour se la farcir à 2/3 dans une caravane. Je m’appelle Emile, ma mère est une pute et j’ai tué mon père aujourd’hui. Vous devez me prendre pour un pourrit, un meurtrier. S’il vous plait, faite le.
Je suis rentré très tot, sur le pas de la porte les cris de ma mère criant au secours m’alertèrent et je couru dans le salon pour la surprendre pleurer et mon père la chevauchant sur un piano. Le mien.
-Non... Non arrête ! Daniel arrête ! »
Très vite, j’étais sur lui, lui poignardant le visage et le coup avec mon couteau suisse. Des morceaux de peau s’enlever au rythme des coups et son sang s’éparpillaient. J’étais bien, je me souvenais de mon enfance avec les putes. De ma grand-mère se doigtant devant moi et ma cousine. Du meurtre de mon petit frère et des livres de mon grand-père.
Je le redis, on est le 8 novembre 2006 et j’ai tué mon père, je m’appelle Emile. Ma mère dit que je suis un héros, et demain je ne serais plus que le fils du voisin qui a tué son père.