Rencontre.

florentin

Ecrit le 28/02/2011, ébauche.

Cette histoire commence par une après-midi d'été, la journée avait été très chaude, je partais pour quelques jours dans la maison familiale.

Tu faisais du stop sur le bord de la route avec ton sac à dos plein à craquer. Habituellement, il est rare que je m'arrête prendre un ou une auto-stoppeuse.

Il faut dire que la fin de journée s'annonçait très orageuse, le ciel grondait, les rafales de vent habituelles qui précédent l'orage avaient fait leur apparition. Avec l'arrivée des nuages, la lumière avait baissé rapidement, tu étais là avec cette jupe claire et tes cheveux de feu volant au vent sur le bord de cette route longée par un champ de blé doré par les chaleurs de l'été, on ne voyait que toi sur le bas-côté.

Surement, des remords de te voir trempée, je m'arrête à ta hauteur.

« Vous allez où ? »

« Au bord de la mer vers à Lorient. » Ta voix m'envouta dès ces premières paroles.

« Je ne vais pas jusque-là, mais je vais dans cette direction, ça vous rapprochera. »

« OK, alors je monte »

Quand tu t'es assise, je sentis rapidement que tu dégageais un certain magnétisme difficile d'expliquer cette sensation étrange….

Une fois la voiture repartie…Les premières gouttes d'eau commencèrent à tomber…

Je t'observais du coin de l'œil, visiblement tu faisais la même chose…une gêne ou une attirance réciproque s'était installée entre nous. Il était difficile de te donner un âge …. Quelques petites rides aux coins des yeux te donnaient le charme du vécu et un visage expressif qui reflétait la douceur et la sérénité.

Avec cette chaleur, ton décollé était grand ouvert et laissait entrevoir les premières rondeurs de ta poitrine et la dentelle légère de ton soutien-gorge ainsi qu'un collier, surement ancien en argent avec les motifs celtes. Entre chaque bouton le tissu s'écartait et laissait voir ta peau blanche. Le bas de ta robe laissait entrevoir la peau de tes cuisses parsemées de taches de rousseur.

Ne me dit pas que tu ne m'as pas vu que t'observer… Tu seras les cuisses pour finalement les réécarter.

Pudeur, puis tu t'es dit qu'il n'y avait pas de quoi fouetter un chat même si cette ouverture remontait très haut je ne voyais rien de particulier. Tu jouais régulièrement avec la bretelle de ton soutien-gorge après chaque passage de ta main entre le tissu de ta robe et ton épaule, je voyais un peu plus tes seins…. très énervant…tu me regardais en souriant. Je dirais …. très troublante… Tu le faisais exprès n'est-ce pas ? Toutes ces mimiques et ces poses, tu jouais avec moi, visiblement tu t'étais fait prendre à ton jeu, la pointe de tes seins était maintenant apparente sous ta robe.

Après quelques instants de silence et de ce petit jeu d'observation coquin.

« Vous n'êtes pas française »

« Pas tout à fait, je suis moitié Française moitié Irlandaise »

« Vous habitez en France ? »

« Non, j'habite Londres, je suis professeur d'histoire ancienne, j'enseigne et je fais de la recherche. »
« Vous avez fait tout le chemin en stop. »

« Non seulement depuis Paris. »

Au fur et à mesure de la conversation, la gêne s'estompa. Pour se transformer en conversation que des personnes se connaissant depuis longtemps auraient pu tenir.

Tu me dis que tu étais à la recherche de ton père. Tu m'expliquas la brève histoire de ton père et de ta mère : ta mère l'avait connu un été, de cette rencontre tu étais née. Que ta mère n'avait jamais voulu le dire à ton père malgré les lettres qu'elle recevait et qu'elle n'a jamais répondu. Il était étudiant, elle ne voulait pas gâcher sa vie….

Tu m'avais expliqué aussi qu'il y avait une malédiction sur les femmes de ta famille, elles élevaient leur enfant seule, depuis plusieurs générations les pères disparaissaient pour diverses raisons, la guerre, la maladie, la fuite, …le retrouver s'était pour toi casser cette malédiction.

« Difficile après tant d'années de retrouver une personne. »

« J'ai bon espoir avec internet, tout le monde laisse des traces, je pense avoir trouver une piste sérieuse, je sais où il habite normalement. »

« Vous lui avez écrit ? »

« Non je n'ai pas osé, j'y vais et je verrais ce que je ferais. »

« Votre mère est au courant ? »

« Non, mais je fais ça pour elle, elle est malade, j'aimerais bien qu'ils se revoient, ce serait bien. »

« Il doit être marié ?»

« De ce que j'ai trouvé, il est veuf. »

« ça arrange bien les choses. »

« Comme vous dites. »

…..

Après avoir discuté de choses et d'autres : travail, loisirs, …

….

« Nous sommes plus très loin, je suis bientôt arrivé, je vous dépose ? Vous faites quoi ? vous continuez ou vous faites une pose pour la nuit ? »

« Une pose, vous connaissez un gite ?»

« Je peux vous loger ma maison est assez grande, il y a plusieurs chambres. »

« Je ne veux pas vous déranger. »

« Ce n'est pas un problème, je suis seul, mes enfants vagabondes à droite et à gauche dans ce bas monde. »

« Alors OK. »

Arriver devant le portail de la maison.

« Le jardin est super grand. »

« Ah, oui les vacances commencent toujours par 2 ou 3 jours de travail pour tout remettre en état. »

« J'adore le jardinage, je peux vous aider ?»

« Je ne veux pas vous retarder dans vos recherches. »

« Mes recherches en 2 jours maxi elles seront terminées et j'avais prévu 3 semaines de congés au minimum. »

« Alors vous faites comme vous voulez, il y a du travail pour deux voire plus… »

« A une condition. »

« A laquelle ?»

« Maintenant, on se tutoie…je m'appelle Morgane. »

« Comme la fée celte ? »

« Oui. »

« Il y a trop de place pour moi mais c'est la maison de famille, par principe je la garde et c'est un havre de paix pour se ressourcer. »

Après t'avoir montré la maison et le jardin, nous avons mangé.

……

Au petit matin, je déjeunais quand tu te présentas devant moi.

Il faut dire, tu étais sublime et surprenante. Un dicton populaire dit qu'on juge la vraie beauté des femmes au réveil, là un mot… Déesse, tu étais une déesse en tenue très légère, petit bustier et culotte blanche….

« Bonjour. » Tu m'embrassas sur le front.

« Quand j'étais petite, le matin ma mère me faisait toujours un bisou sur le front. »

« Je ne suis pas ton fils. »

« J'avais envie. »

« Je ne t'ai pas réveillé. »

« Non, c'est l'odeur du café et du pain grillé. »

« Ton bol est là je te sers quoi ?»

« On est en France, alors café comme toi. »

« Tu devrais te couvrir un peu plus, ici les matins sont frais. »

Avec un petit sourire tu me dis « Tu prends soin de moi ou je te trouble. »

« Hum…les deux… »

« En Angleterre, il fait plus frais qu'ici, j'ai l'habitude de me balader en tenue légère chez moi, si ça te dérange ? »

« Non, je ne poudrais pas que tu t'enrhume, »

Tu souris à nouveau…

« Alors, je te trouble à ce point. »

« Disons que oui…faut dire tu ne caches pas grand-chose. »

« Excuse-moi, j'ai un peu perdu l'habitude avec les hommes un rien les troubles, quelques formes et des transparences et oups… il n'y a plus personne… »

Tu repris aussitôt : « On fait quoi aujourd'hui ?»

« Tonte de l'herbe et taille de la haie, après on verra, déjà si on fait ça aujourd'hui ce sera bien, surtout qu'il va faire très chaud surement trop ambitieux comme programme »

« Pas grave pour la chaleur, je suis en tenue !» Tu te mis à rigoler.

« Si tu sors comme ça tu vas affoler les oiseaux et notre pauvre vieux facteur… »

« Avant de commencer je vais installer des nasses, tu aimes le poisson ou plutôt les crustacés ? »

« Oui j'adore. »

« Alors petite surprise, pour manger demain. »

« Bon je me dépêche, pour te rejoindre. »

La matinée s'écoulait jusqu'au repas chacun afféré à sa tâche.

….

En début d'après-midi.

N'entendant plus de bruit, je te cherchais. Je t'aperçus au loin appuyée sur un arbre.

Visiblement quelque chose n'allait pas.

Je partis à ta rencontre.

« Ça ne va pas ?»

« J'ai chaud et mal à la tête, mal au ventre. »

« C'est un coup de soleil, je t'avais dit de prendre un chapeau. »

« Je voulais profiter du soleil. »

« Viens, tu vas te coucher un peu, ça va te faire du bien. »

Arriver dans la chambre, je t'allonge, Tu étais trempée de sueur.

« Je reviens avec un gant humide pour t'essuyer le visage »

« Il faut que tu enlèves ton tee-shirt, il est bien trop humide. »

« Tu peux m'aider je n'ai pas la force. »

Je découvris pour la première fois ton corps de déesse irlandaise parsemé de ces taches de rousseur.

Après t'avoir remis un vêtement sec et enlevé ton short je te mis jute un drap sur toi.

De temps en temps entre deux tailles, je passais te voir, tu dormais.

Le soir arriva rapidement.

J'étais assis en train de somnoler dehors à attendre que la nuit tomber et profiter de la fraicheur qui commençait à arriver.

Quand tes mains se posèrent sur mes yeux.

« Coucou »

« Ah te voilà, tu vas mieux. »

« Oui. » Je me lève, tu étais là en face de moi.

« Merci. »

« De quoi ?»

« De t'être occuper de moi et de ne pas avoir profiter de la situation, pas un geste déplacé, rien. »

« Tu étais dans état comateux, il n'aurait pas été gentleman de profiter de cette situation. »

« Beaucoup n'aurait pas eu ce remord. »

« J'ai préparé une soupe pour te réhydrater, tu as faim. »

« Pas forcement. » en me ploquant le passage

« Tu devrais te couvrir, il commence à faire frais »

« Toujours aussi troublé… »
On se faisait face à face, tu me pris par les 2 mains, nos yeux se fixèrent, nos bouches entrèrent en contact pour pratiquer un bouche à bouche violant…. non plutôt une fusion le terme est un peu plus approprié dans ce genre d'action il n'y a pas de place à la violence, du désir, du plaisir…ce n'est pas de la violence…

Tu m'emmenas à reculant dans ta chambre, tu ôtas ton bustier, puis mon tee-shirt.

« Rassure-toi, je ne suis plus dans un état comateux, depuis le démarrage j'attends cet instant, nous sommes des âmes sœurs, toi aussi tu attends ce moment depuis le début, je l'ai ressenti. »

« Je… »

Tu posas un doigt sur ma bouche « chut… »

Tu t'allongeas sur le lit tout en m'entrainant sur toi.

Quand ma main se posa sur ta cuisse, je ressentis un frisson envahir ton corps. Ce premier contact fut très charnel sans parole, nos bouches se cherchaient, nos lèves étaient soudées l'une à l'autre, nos langues s'emmêlèrent. Nos mains se caressaient. Je sentais ton corps vibrer dans ce corps à corps très agité.

Tes seins, je n'avais pas eu besoin de les toucher, leurs pointes étaient dressées fières et arrogantes

Ma bouche se posa sur le premier qui passa devant elle. Il avait la saveur du sel, les restes de sueur de cette après-midi quelque peu difficile, tout ton corps avait cette délicieuse saveur de la femme pleine de désir sensuel.

Ma main glissa rapidement devant l'entrée de ta grotte du plaisir qui était déjà prête à s'offrir, je sentis qu'elle avait déjà mouillé l'entre cuisse de ta culotte.

Tu me dis « il faut le faire tout de suite, je peux plus attendre. »

« Non, il faut profiter de cet instant, c'est notre première fois et il n'y a qu'une première fois. »

« Alors, embrasses moi entre les cuisses. »

Ma bouche quitta ta poitrine pour descendre doucement sur ton ventre, arrivé sur ta petite culotte, je la pris par l'élastique de chaque côté de tes hanches pour te l'enlever, je découvris ce lieu source de plaisir et de vie.

Ma bouche se posa sur ta toison, je pouvais sentir ton intimité, ses arômes d'hormones de femme en chaleur.

Je dégustais ton nectar qui coulait de plus en plus, plus je te léchais plus ton intimité était humide tes lèves étaient gonflées, l'entrée de ta grotte du plaisir était grande ouverte prête à m'accueillir.

Tu avais du mal à résister à l'attente les contractions de ton ventre étaient devenues plus intenses et rapprochées.

Jusqu'au moment où tes mains me prirent par-dessous les bras pour me faire remonter.

Tes cuisses m'enlacèrent par la taille.

« T'as plus le choix, mon chéri… »

Cette fusion se fit sans effort. Assemblage parfait de deux corps fait l'un pour l'autre.

Nos bouches fusionnèrent à nouveau, impossible de les décoller, malgré nos mouvements de va et viens.

Il n'y a qu'à l'approche de l'explosion finale ou elles se séparèrent mes mains en profitèrent pour passer sous tes fesses pour les soulever pour aller encore plus profondément en toi.

Cette explosion un souvenir indélébile. Nos mouvements continuaient pour profiter au maximum de mon corps encore endurci, je sentais nos élixirs de vie mélangés couler sur mes doigts.

Puis le calme…. Quelques mouvements doux…. tes mains me caressaient le dos, je compris rapidement ce message signe que notre prestation t'avait satisfaite. Ma bouche t'embrassa dans le cou ...

Quelques instants plus tard nos bouches se recollèrent.

Entre deux baisers « Tu as bien fait de me faire attendre. »

Après ce premier acte charnel nous priment notre collation.

« Je ne suis pas trop dévêtue pour manger ?»

« Fait attention à tes fesses quand même la paille des chaises peut faire mal. »

« Je te vois bien avec une pince à épiler m'enlever une écharde, mignon le tableau. »

« Il y a mieux à faire avec tes fesses. »

« Alors on verra ça après notre petite collation, mon corps, c'est de la braise le feu est loin d'être éteint. »

….

Revenu sur notre champ de bataille. Nous reprîmes nos ébats.

Tu voulus que je m'occupe de tes fesses comme promis. Tu t'allongeas sur le ventre.

Je commençais par t'embrasser dans le cou.

« Mes fesses sont plus basses. »

« Ne soit pas impatiente comme ça. »

« Tu sais j'ai du retard à rattraper. »

Au fur et à mesure que je descendais, ton corps vibrait à nouveau de plus en plus.

Arrivé au creux de tes reins incontestablement la frontière était là. Les contractions devenaient plus importantes.

Quand je suis arrivé sur tes fesses, à chaque baiser elles se contractaient, mes mains les caressaient en même temps. Quand une de mes mains glissa entre tes cuisses pour effleurer ton intimidé, elle ressortit couverte de ton élixir d'amour.

Tu te retournas

« A ton tour, allonges toi sur le dos et ferme les yeux, tu ne les ouvras que quand je te le dirais »

Ta bouche et tes mains descendait le long de mon corps. Parcours en zigzag lent et doux.

Je ne pense pas qu'il ait resté un seul endroit de ma peau sans baiser.

Quand ta bouche arriva au niveau de mes cuisses.

Une de tes mains saisit mon sexe, tu déposas un baiser, puis ta langue entra en action. Finalement tu l'avalas.

Alternant des mouvements de va et viens où jouer avec la pointe de ta langue…. Puis plus rien.

Je compris rapidement quand deux de tes doigts le prirent pour le relevé. Le but t'aider à l'introduire dans ta grotte du plaisir. Tu commenças tes mouvements quelques rotations du bassin et quelques aller et retours pour tester ta position.

….

Tu te penchas sur moi, je sentis le souffle de ta bouche, tes lèves effleuraient mon visage.

« Tu peux ouvrir les yeux maintenant. Tu es mon esclave, c'est moi qui décide. »

Tu ne me laissas pas placer un mot que ta bouche faisait déjà ventouse avec la mienne.

Pour finalement te redresser et recommencer ta danse du ventre, tu alternais des mouvements lents puis rapides entre coupés de petites poses pendant lesquelles tes mains me caressaient.

Après l'explosion finale, tu t'allongeas sur moi, la tête de coté sur ma poitrine.

Dans un sursaut comme si c'était un oubli, tu me déposas un baiser.

« Nous sommes bien là, si on pouvait arrêter le temps. »

….

Cette première nuit fut entrecoupée de moments agités de douces tendresses. Le lendemain le rendement au jardin fut très faible, on ne peut pas tout faire….

….

Les jours se suivirent entre jardinage, ballades, repas, corps à corps tendres ou intenses…

….

Un matin pendant que je déjeunais contrairement à d'habitude, tu te présentas habillée.

« Qu'est-ce qui se passe ? »

« Il faut que je parte. »

« Tu aurais pu m'avertir. »

« Non cela aurait-tout gâché. »

« Je t'emmène ? »

« Non, je ne pourrais pas partir. »

« Tu peux disparaître comme ça »

« Je reviendrais, je connais tout de toi » tu me tendis ce collier que j'avais vu la première fois dans la voiture.

« Il est dans la famille depuis plusieurs générations, ma grand-mère de ma grand-mère l'avait déjà. »

« C'est ce que l'on dit pour se débarrasser de quelqu'un… »

« Si tu n'as pas confiance en moi traduit le message derrière le médaillon et tu comprendras, si tu as confiance attend moi. »

Tu m'embrassas sur le front

« Je te garantis que je reviendrais, nous sommes des âmes sœurs et les âmes sœurs ne peuvent vivre l'un sans l'autre… »

……

Plusieurs semaines s'écoulaient sans nouvelles. Je devais avoir confiance tu m'avais dit.

….

Un jour une enveloppe arriva…. Au dos tu avais écrit : de la part de Morgane avec le dessin du pendentif que tu m'avais donné, elle disait :

« A mon amour mon âme sœur….

Je préfère t'écris sur du papier, un papier ne se perd pas comme un mail….

J'ai retrouvé mon père. J'ai réussi à réunir mes parents. Ma mère semble aller mieux même si les médecins ne sont pas forcements très optimistes. Toujours est-il qu'elle profite bien de ce qui lui reste à vivre…

Je voulais te dire aussi que nous allons bientôt venir tous les trois en France.

Cela veut dire que nous allons pouvoir nous retrouver.

…..

A oui, j'oubliais j'ai gardé un souvenir de toi…. Quelques rondeurs sont apparues, il serait dommage que tu n'en profites pas…de toute façon tu n'as pas le choix, ce cadeau tu me l'as donné, je le garde.

….

Sur la deuxième page :

J'ai fait un petit programme. Pour organiser nos futures rencontres chacun vivant et travaillant dans un pays différent, il faut s'organiser pour profiter au maximum l'un de l'autre. La malédiction est enfin rompue grâce au collier que tu as. Le texte gravé au dos dit : « Seul ton âme sœur pourra briser la malédiction, en lui confiant la garde de ce pendentif, le temps d'accomplir ton destin. ».

Je ne te pose pas la question de savoir si tu es d'accord, je connais déjà ta réponse…. A très bientôt…… »

La suite, ….

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