Rencontre assoupie

Assis dans ce RER en direction du sud de Paris, j'étais contre la fenêtre dans les parties à quatre places. En face de moi, une jeune fille tête baissée qui dormait à poings fermés. Elle avait quelques exercices de maths dans la main, ça devait être une période de révision.

On était le soir aux heures de pointe et la fatigue de la journée était bien là. En jupe, sa garde était donc baissée et elle ne se rendait pas compte que ses genoux n'étaient plus l'un contre l'autre. A vrai dire, au rythme des secousses régulières, ses cuisses se relâchaient et bientôt je voyais leur chair.

J'avais au moins dix ans de plus qu'elle, elle n'était peut-être même pas majeure mais cette vision commença à m'émoustiller. Je feins donc de lire mon journal mais mes yeux étaient clairement en train d'explorer sa partie privée. Et ils furent rapidement récompensés au moment où ils aperçurent la petite culotte blanche. Je ne pouvais en croire mes yeux, cela faisait longtemps que je prenais RER et métros, on me disait souvent qu'on pouvait voir ça occasionnellement, des filles peu timides ou naïves mais je n'avais jamais pu le constater par moi-même. 

Là devant moi, une fille qui aurait presque pu être la mienne, dont je dévorai ce qu'elle voulait bien me laisser entrevoir, bien malgré elle.

Une érection commença à poindra alors que j'arrivais dans deux stations, situation bien inconfortable. Ma verge comprimait mon jean, qui aurait bien voulu que j’ouvre ma braguette pour libérer cette proéminence.

Ses mains se relâchaient et ses feuilles allaient tomber sur ses jambes. Son stylo commença à glisser et tomba. Je fus prompt pour le ramasser, ce qui me donna une rapide vision car j'avais presque ma tête sur ses genoux. Sa culotte était toute simple mais j'y avais aperçu une toute petite tache humide. Se pourrait-il qu'elle était en train de rêver de quelque chose de torride ? Ou bien a-t-elle vu son copain juste avant de prendre les transports ?

Elle se réveilla en sursaut et me remercia lorsque je lui tendis son stylo avec un sourire de père de famille. Elle referme ses jambes instinctivement et je lui dis :

- Soporifique les maths n'est-ce pas ?

Elle me dévisagea puis se détendit

- Oui, j'ai un gros examen dans deux jours. - J'ai été prof de maths il y a quelques années - Oh. Sympa.

Là dessus, elle ne répondit pas plus que ça, j'aurai espéré pouvoir entamer une discussion. Mais je dû sortir et en me levant, heureusement que j'avais mon sac à dos pour le mettre devant moi et cacher cette bosse qui ne voulait pas dégrossir.

La fille sortit après moi, à la même station mais nos chemins ne se croisaient apparemment pas puisque je n'arrivais pas à voir sa silhouette dans la masse de gens sortis. Tant pis.

En rentrant à la maison, ma femme était partie à la salle de gym, j'en profitais donc pour aller m'allonger sur le canapé et me masturber en pensant à ces cuisses, cette petite culotte, cette fille que j'aurai bien aimé prendre dans mes bras et dénuder. Tous les films les plus intenses et sexuels prirent place dans ma tête jusqu'au moment où ma semence s'échappa de mon corps dans un jet puissant et nourri. Ca faisait longtemps que je n'avais pas ressenti telle excitation.

J'espère pouvoir la recroiser un jour, je suis sur qu'elle se doute que j'ai pu la mater et que je ne m'en suis pas privé. Je pense même qu'elle a pu deviner mon érection ?

Cette histoire est-elle ephémère ou aura-t-elle une suite ?