résignation

Monrose Yannick

La courbette
de tes souhaits, à la berge
Le pécule de
ma sueur à l’oubli
Enfouit sous
...tes marques, coincées sur tes pages
Le ciel amer,
la mort vécu

D’un sourire
morbide, fléché dans ton sel sevré

Je venais de
la porte, c’est la fenêtre qui éloigne
Dans la paix
obscure, loin du géant ultime

Je t’aimais
soleil, dans les flancs comme sur le gèle
Mes sens à
tes côtés, une corvée exponentielle

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