Saphirs

ode

Janvier 2005

Il avait ce regard qui jamais ne vous quitte

Deux saphirs brûlant, de passion, de désir,

Deux merveilles azurées qui observent le monde

et qui veulent, impatientes, tout ici découvrir


Il avait ce regard qui vous met mal à l'aise

d'abord, puis berce votre coeur

Deux saphirs qui d'un coup vous transpercent,

deux merveilles azurées qui vous mènent au bonheur


Il avait ce regard qui vous arrache une larme,

qui assèche votre gorge et éveille tous vos sens

Deux saphirs qui déchirent vos entrailles, tels une lame

Deux merveilles azurées qui à jamais vous hantent

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