Série rencontre... Libertinage ou pas ?
florentin
Nous étions sur le départ pour rentrer chez nous.
………
Toi : « Sur le chemin du retour, il y a un restaurant sympa ?»
Notre hôte : « Oui, sur la route de Paris, juste avant de prendre l'autoroute, il y a une auberge avec un rapport qualité prix très intéressant. »
Tu te retournes vers moi : « On s'arrête là alors ce midi ?»
Moi : « Oui, mais c'est dommage nous passons à coté d'un repas exceptionnel sur l'autoroute bon et pas cher. »
Tout le monde rigole.
« Je tiens à vous avertir c'est un lieu de RDV pour les couples illégitimes. »
« C'est un lieu de perversion que tu nous proposes ? »
« Non, mais ne soyez pas étonnés, si vous voyez un ou deux couples monter vers les chambres. »
« L'air d'ici est tonifiante et pleine d'énergie, elle rend les hommes et les femmes amoureux. »
« Les Volcans d'Auvergne sont pleins d'énergie, je ne voulais pas que vous soyez surpris, mais vous ne regretterez pas ce lieu. »
« Ça ne ferait pas de mal à mon mari de venir ici, ça lui redonnerait de la vigueur. »
…………
Le voyage jusqu'à l'auberge se passe sans problème.
…………
Arrivé à l'auberge, nous nous arrêtons. En ouvrant la porte, nous constatons que le décor est plutôt sympathique.
« Pas mal pour un lieu de RDV galant, ça fait pas lupanar, c'est plutôt intimiste, j'avais des craintes. »
« Oui, la déco est vraiment sympathique. »
La serveuse après nous avoir accueillit, nous place dans un endroit calme et en retrait.
…………
Nous discutons de la carte.
« Bien la carte, que va-t-on prendre ?»
« J'avoue, j'hésite. »
Je te regarde, visiblement tu es perturbée.
« Tu as un problème. »
« Regarde, l'homme à la table là-bas, il me semble bien nerveux et angoissé. »
« Il est peut-être en retard ou a des problèmes personnels. »
Une femme arrive avec le regard inquiet, elle regarde de tous les cotés.
Elle s'assoit en face lui, elle regarde autour d'elle, puis se lève pour l'embrasser sur la bouche.
« Je comprends mieux, il disait vrai alors, c'est bien un lieu de RDV. »
« Ils ne font de mal à personne. »
« Comment ça, tu trouves ça normal. »
« Tu sais, il faut bien que tout se fasse, ils ne gênent personne et ils se font du bien. »
« Je ne pensais pas que tu étais comme ça. »
« Regarde et réfléchit un peu sur ta condition, est-ce que tu es vraiment heureuse dans ton mariage. »
« Mais je n'ai pas à me poser ces questions, j'ai des enfants à élever. »
« Là n'est pas la question, répond franchement. »
« Je dois l'avouer depuis quelque temps c'est plutôt bof…. pour ne pas dire autre chose. »
« Tu as dis que tu avais tes enfants à finir d'élever, ok, tu te juges bloquée et tu te sens obligée d'accomplir ton devoir. »
« Oui. »
« Si tu rencontres une personne avec qui tu as à des affinités, tu ne serais pas tentée par une aventure. »
« Tu veux rire, jamais de la vie, ma morale me l'interdit. »
Pendant que tu parles, tu observes ce couple en train de se bécoter, se caresser et sur les aguets. Je sens que cela te rend nerveuse.
« La morale c'est une ligne artificielle, tu la mets ou tu veux. »
« Oui, et pour moi, c'est jamais. »
« Tu ne rêves pas, quelques fois d'avoir un amant et de vivre des moments intenses. »
« Là, tu me gênes. C'est très personnelle cette question, et toi. »
« Si, ça arrive. »
« Tu rêves de coucher avec une autre personne que ta femme. »
« Comme toi cela doit t'arriver rêver de ça. » Tes pommettes sont devenues rouges, ton regard fuyant.
« Tu me gênes. »
« Donc, sous tes airs de femme prude, tu rêves au pêché de chaire. »
« Ben oui, quand tu as un manque dans ton couple, tu rêves à de choses pas toujours avouables. »
…………
Tes yeux regardent toujours ce couple, à travers ton bustier commence à pointer deux petites boules charmantes, le résultat ce couple qui mange en amoureux libertins ou la conversation, peut-être les deux à la fois.
…. …….
« Toujours est-il qu'ils semblent très heureux. »
« Tu vois, ils font du mal à personne et ils sont heureux. »
« Pour se faire du bien oui, pour la moralité tu repasseras. »
« La société est très hypocrite, on vit dans un monde lisse, de bien pensant, de fausses apparences. La vraie vie ce n'est pas ça, c'est la jungle même si elle est en béton. De temps en temps il faut savoir sortir de la route bien tracée et se faire plaisir on ne vit qu'une fois. »
« Oui, tu as peut-être raison. »
« Ton mari, lui ne se pose peut-être pas ce genre de question, il batifole peut-être de son coté. »
« Alors là cela m'étonnerait, il n'a jamais été très virulent sur le sujet. »
La serveuse arrive à coté du couple, dépose une clé sur la table, le couple paye.
Ils se lèvent, ils partent par l'escalier à l'étage en se dépêchant.
« Ca doit presser… »
« Pour les couples illégitimes le temps est compté, il faut l'organiser et l'utiliser au maximum. »
« Oui, ils me semblent heureux. »
« Tu vois, ils profitent de la vie. »
« Mais c'est pas très morale, tout ça.»
« Plaisir et moralité, ce n'est pas forcement compatible, il faut choisir… Tu sais dans quelques temps ils formeront peut-être un couple légal, ça finit souvent ainsi.»
« Toi, tu pourrais mener une double vie ? »
« Je ne sais pas, moi il me reste pas beaucoup de temps à attendre, si je croise une âme sœur, la légalisation pourrait être rapide. Toi tes enfants sont beaucoup plus jeunes.»
« Oui c'est bien le problème.»
« Je connais un couple qui a vécu une double vie durant 10 ans avant de légaliser. Je me souviens de les avoir très mal jugé à l'époque, maintenant avec le recule mon opinion a bien changé.»
« Incroyable, ils étaient fait vraiment l'un pour l'autre.»
« Oui et ils ont gagné 10 ans. »
« Oui.»
« En plus ce qui est interdit est bien plus savoureux, on dit qu'un baiser volé et bien plus savoureux qu'un baiser légal. Pour les amours c'est pareil, le stress et absences et retrouvailles régulières augmentent le désir de l'autre.»
« C'est ce qu'on dit.»
« Regardes les enfants dés que tu leur interdit quelque chose, il faut qu'ils le fassent.»
« Oui c'est un point de vu, mais j'ai du mal à m'imaginer en train de tromper mon mari.»
« Tu en rêves ? »
« Oui, mais c'est pas pareil, il faudrait que j'ai une proposition ou que je fasse une proposition à quelqu'un. Moi, je m'interdit ce genre de chose.»
Je pose ma main sur la tienne, tu as un réflexe de l'enlever, puis tu la reposes à la place où elle était.
Je la reprends, je la soulève et je la porte à ma bouche pour lui faire un bisou. Tu me souris.
« La serveuse t'a vu, elle va nous prendre pour des amants.»
« Cela te plairais pas de passer l'après midi dans une chambre.»
« N'importe quoi. »
« Dommage, je te trouve jolie. »
« Moi aussi je te trouve pas mal, mais ce n'est pas dans mes valeurs.»
« Dommage, excuses moi, tu fais comme si je t'avais rien dit, une occasion comme ça, une après midi de libre, c'est très rare.»
« Tu me trouves jolie. »
« Oui, je ne t'aurais pas fait cette proposition si tu ne me plaisais pas, on se connait depuis un certain temps et on s'entend bien en plus. »
Sur ces paroles, tu es devenue vraiment très nerveuse.
« Oui, ce couple m'a donné des envies, tu as du tant rendre compte, mes mamelons pointes à travers mon bustier.»
« Ça, ils sont bien visible.»
« Tu as mis le trouble dans mon esprit, on fait quoi ? »
« On fait un essai, si ça marche pas entre nous on oublie tout. Si ça marche on devient amants et on apprend la vie qui va avec.»
« Pourquoi tu veux que cela marche pas ? »
« Aucune idée, mais la première ce n'est pas forcement une réussite.»
« Nous avons l'expérience quand même et puis on peut se donner une deuxième chance.»
« Le stress n'est pas toujours évident à gérer la première fois.»
…………..
Le serveuse s'approche « Vous voulez un café.»
………….
Toi : « Vous avez une chambre de libre ? »
« Oui, je vous amène une clé.»
« Oui.» Le serveuse part.
…………..
« Tu m'a surpris.»
« Je ne sais pas ce qui m'a pris…. une envie irrésistible.»
La serveuse ramène la clé, elle la dépose sur la table.
Nous nous sommes levés, Tu prends la clé dans la main. Je te passe la main au tour de l'épaule. Je te sens fébrile. Pour te calmer je te dépose un bisou sur la joue, Tu me regardes, tu souris.
« Tout ira bien. »
« Tu fais comme dans tes rêves, ne penses à rien. »
« Facile à dire, mais à faire. »
Nous montons par l'escalier. Dans le tournant de l'escalier, tu te retournes
« Personne. » [tout doucement]
« Qui veux-tu qui nous espionne. »
« La serveuse, je voulais savoir si… »
« Elle est habituée, elle sait jouer la discrétion. »
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Arrivé à la porte
« Qui ouvre la porte ? »
« On l'ouvre tout les deux »
« D'accord. »
Nous avons tenu la clé ensemble, mais la nervosité nous posait des problèmes.
« On est vraiment bête, on veut ou on ne veut pas ? Même des adolescents se débrouilleraient mieux que nous. »
« Ce n'est que le stress, il y a un moyen de le calmer. »
« Ha, lequel ?»
Regarde-moi dans les yeux. »
Tu me regardes, je t'enlace et t'embrasse.
« Hum, j'avais oublié cette saveur du baiser. »
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La deuxième tentative pour ouvrir cette porte fut plus fructueuse.
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Dans la chambre nous étions visiblement toujours autant gênés.
« Je vais tirer les rideaux, la lumière tamisée c'est mieux. » [Tu cherchais à gagner du temps, cela se sentait.]
« Oui, c'est bien plus agréable. » [Pour avoir de la constance.]
En tirant les draps du lit : « On fait comment, on se déshabille et on se met au lit ? »
« Viens, j'ai une petite idée. »
Quand tu es arrivée à ma hauteur, je te prends dans mes bras.
Nos bouches se rapprochent, nos lèves se touchent nos langues se mélangent.
Mes mains te caressent le dos et tes fesses. Ton corps est fébrile, tes fesses se contractent sous mes caresses, Ma main passe sur le bouton et la fermeture Eclaire de ta jupe. Je dégrafe le bouton puis je fais descendre la fermeture éclaire ta robe, elle tombe à terre.
Pendant ce temps, tu déboutonnes ma chemise. J'enlève ton bustier. Tu n'as plus que ton soutien gorge et ta petite culotte.
Tu me sembles encore très nerveuse, mais tu t'es prise au jeu, tu me caresses, celles-ci deviennent de plus en plus libres.
Je passe derrière toi pour t'embrasser dans le cou puis le dos. Après avoir dégrafer ton soutien gorge.
Mes mains te prennent par les seins à pleine main pour les masser. Je sens tes mamelons dressés et durs, eux n'ont qu'une envie continuer ce petit jeu érotique.
Je sens ton corps frémir, ton corps commence vraiment à s'abandonner au plaisir des caresses même si ta conscience doit encore se poser pas mal de questions. Ta nervosité s'en va doucement au fur et à mesure que mes caresses deviennent plus intimes.
Tu as passé tes mains derrière ton dos pour me dégrafer ma ceinture de mon pantalon.
Mon pantalon est à terre maintenant.
Ma bouche descend le long de ta colonne vertébrale. Arrivé à ta petite culotte. Mes mains passent entre le tissu et ta peau pour te caresser les fesses, tu me prends les mains pour les poser sur l'élastique de la taille, puis tu les guides pour que je t'enlève ce petit morceau d'étoffe. Visiblement la ligne de ta moralité tu l'as repoussé très loin et tu deviens active dans ce jeu de plus en plus indécent….
Maintenant, que tu es nue. Je reviens devant toi. Tu poses tes mains sur mon torse, ta bouche m'embrasse, tu descends lentement.
Tu es à genoux tu poses tes lèves sur mon slip tu m'embrasses. Je fais comme tu m'as fait, je prends tes mains, je les pose sur l'élastique de la taille, je les aide à faire glisser mon sous-vêtement.
Tu poses tes lèves sur mon sexe, tu l'embrasses, tu te relèves.
« Excuses moi, j'ai envie mais je suis encore bloquée pour jouer avec ton sexe. »
« Ce n'est pas grave, les choses viendront doucement au fur et à mesure que la confiance nous gagnera, et nous n'allons pas tout faire la première fois autrement que va-t-on faire dans nos autres rendez-vous. »
Tu me regardes, tu rigoles franchement.
« Tu ne me trouves pas trop nunuche, tu me pardonnes. »
« Je n'ai rien à te pardonner, reste naturelle comme tu es, je vais aussi avoir des hésitations et des maladresses à me faire pardonner, moi aussi. »
Tu me prends par les mains et m'emmènes avec toi sur le lit.
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L'étreinte charnelle commence vraiment là, nous entrons dans le non-retour de ce moment d'égarement. Une fois allongés sur le lit dans ce corps à corps serré, nous ne pourrons plus faire marche arrière.
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Ton corps est encore très nerveux sous mes caresses, mais je le sens de plus en plus vibrer de plaisir sous le contact de mes doigts, tu commences vraiment à prendre du plaisir.
Quand ma main passe sur ton ventre, les contractions sont de plus en perceptibles.
Tes mains sont de plus en plus hardies, elles caressent mon sexe.
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Ma bouche se pose sur ton sexe, ta jolie fontaine coule abondamment, sa tiédeur et saveur sont sublimes.
Les lèves de ta grotte du plaisir de plus en plus gonflées et plus ouvertes à chaque coup de langue que je leur donne. Quand je suis remonté pour t'embrasser, nous avons fusionné nous n'avons pas forcement contrôlé grand-chose, l'effeuillage mutuel, les caresses avaient éveillé un désir intense entre nous.
Quand j'ai explosé en toi, ton corps fut soulagé peut-être ta conscience n'avait plus besoin de se poser toutes ces questions, le péché est maintenant consommé.
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Tu t'es allongé sur moi.
« On s'est pas mal débrouillé pour une première fois. »
« Oui, pour des faux débutants, le début un peu stressant ?»
« Un peu, mais cet effeuillage, tu as eu une bonne idée, je nous voyais mal parti. »
« J'ai trouvé que tu étais idéalement habillé pour un effeuillage en douceur. »
« En fait je me rends compte mon blocage était de passer ce moment, la première fois, le stress. »
« Tu deviendrais une libertine. »
« Libertine, oui mais une libertine fidèle à un seul homme, et ce baiser intime un vrai plaisir, tu me le referas tout à l'heure. »
« Sans aucun problème, tu es très savoureuse, ton nectar un véritable délice. »
« Moi je te dois quelque chose. »
« Ne te sens pas obligée. »
« Je suis prête maintenant, je ne voudrais pas te décevoir. »
« Tu me déçois pas du tout. En amour on ne fait rien par obligation, autrement ce n'est plus du plaisir. »
« Oui, mais maintenant j'ai très envie et ce m'est plus une obligation ce sera un plaisir pour moi de te donner du plaisir. »
Je te fis un bisou sur le front.
« Tu es pressée. »
« Non. »
« Tant qu'a pécher on peut rester ici toute la nuit, J'ai vu en entrant le bar ouvre à 6H00 pour le petit déjeuner, on peut arriver à peu prêt à l'heure au bureau demain matin »
« Et tes enfants ? »
« Ils sont en vacances chez leur grand-mère. »
« Si tu veux, mais il faut avertir la serveuse, j'y vais. »
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Je suis descendu réserver la chambre pour la nuit.
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En rentrant dans la chambre.
« Alors. »
« Pas de problème, il m'a dit le petit déjeuner à 6H00 précise si on veut, on confirme pendant le repas ce soir. »
Tu as les jambes écartées, ta pudeur envolée, ta moralité je n'en parle même pas.
Tu me fis un geste pour venir.
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La moralité de cette histoire, il n'y en a pas……
Un dicton dit : il vaut mieux regretter d'avoir pris certaines décisions au cours de sa vie que de se morfondre à ne jamais en avoir prise et passer son temps à le regretter.
Une chose à se rappeler nous vivons qu'une fois, donc il faut profiter de la vie et ne juger pas les autres sur leurs mœurs.
Un jour vous ferez peut-être là même chose que ces deux personnes que vous avez mal jugées. La vie nous fait changer d'opinion en fonction des épreuves que nous traversons……