Si tu voulais

sylane

Comme toujours tu es parti
Mais de mon âme tu fais partie
Quoiqu’on en dise, quoiqu’on en pense
Et quelles que soient les résistances
Comme toujours tu m’as laissée
Un jour où je me suis lassée
De tous ces jours où ton visage
N’est plus qu’un souv’nir une image
Une étrange bouée de sauvetage…

REF

Si tu voulais, tu resterais
Si tu savais, tu m’aimerais
Si je pouvais, je t’oublierais
Si je devais, j’accepterais
Le souffle de ton absence
Qui s’essouffle dans le silence

Comme à chaqu’ fois tu es resté
Le temps de te sentir aimé
De ressentir que notre idylle
N’est pas de ces amours faciles
Comme à chaqu’ fois tu m’as offert
D’être le roi du doux enfer
Auquel malgré moi je consens
Pour ne pas perdre mon amant…
Pour ne pas me perdre en t’aimant !

Pont

Mais je préfère à la sagesse
La lumièr’ de tes caresses
Et quelques larmes dans la nuit
Qui me désarment quand tu t’enfuies
Sans ton regard je n’serais plus
Qu’une femme qui n’a pas plu
Un’ femme qui n’existerait pas
Juste un fantôm’ de l’ici-bas…

REF

Si tu voulais, tu resterais
Si tu savais, tu m’aimerais
Si je pouvais, je t’oublierais
Si je devais, j’accepterais
Le souffle de ton absence
Qui s’essouffle dans le silence


Sandra
Septembre 2008

Signaler ce texte