Simplement un tentacule

John Russell Herbert

Simplement Un Tentacule

(auparavant  « Les Aventures de Spécial Agent Lapides! »)

-John Russell Herbert 2011 © 2012 © 2013 © 2014 © 2015

dédicace:

Je dédie cette œuvre à deux frères étudiés, ces hommes-là qui ont aidé ces pensées aux bibliothèques et sur le train à la capitale à devenir possible.

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Dans son système manquant aucune tolérance pour la substance inondait-cognait une tranche raisonnable d'haute-qualité commercial tardif-moderne coûtant vingt-cinq euros à la banlieue, et le jeune homme faisait de la voile ensuite pour trois semaines.

 

Spécial Agent Lapidus s'assayait au Café Martin, et tout allait tranquillement.

Il recevait un message de texte touchant l'hôpitalisation de son neveu favori.  Celle-ci n'était pas une matière criminelle comme-ça mais les amis de notre agent avaient pensé à le contacter personnellement comme un geste de courtoisie professionnelle.

Il allait à l'hôpital tout de suite.

        

         Les murs-là furent bleus, secs, mais ils parurent à être mouillé avec la lustre de leur peinture.  Benny était connecté à un système des tuyaux, et c'était horrible pour Lapidus à voir lui en cet état-là.  Il y passait trois heures et allait ensuite au Café Rouge pour à enquèter avec les jeunes-là en ce qui concerne les stupéfiants.

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          Un voyou tunisien essayait de colloquer des amphétamines à notre agent mais notre agent avait besoin encore de maintenir sa couverture comme étant aussi fauché que s'adonné aux stupéfiants varieux.

         Il entendait des favoris au sujet de son identité juive et de son homosexualité probable comme il quittait le quartier marocain.  Il ne trouvait pas de l'information mais gens-là se souviendraient lui comme un Juif d'un certain âge cherchant pour un « neveu », ou comme un flic en civil.

 

Pour trois nuits il étudiait des fous diagrammes de la DGSI, graphiques touchants les relations existantes entre varieux partis gauchistes, cherchant pour une « cellule » attachée au Café Rouge, connectée  à n'importe qui aspect des profits relatés au trafic illicite aux stupéfiants. À minuit moins quatre de la troisième nuit il avait une réalisation nette.

Il avait ne trouvé rien que le fait d'un isolé vendeur des amphétamines pas connecté aux gauchistes, comme-ça, mais connecté plûtot à Soulagementechniques, Inc., et il savait que cette corporation était elle-même affiliée avec « Vision Health », des États-Unis.  Le vendeur n'était pas « un membre du collective » au Café Rouge mais simplement un type qui avait y mangé.

Donc, ces affaires n'étaient pas une matière politique, touchante les gauchistes au café, mais une matière des grandes affaires pharmaceutiques, aussi légales pour la plupart qu'elles étaient atroces et criminelles.

Il n'y avait pas une cellule anarchoterroriste fondée par le trafic aux stupéfiants mais simplement un point de vente pour des amphétamines et des autres drogues apportés par quelques employés des corporations mentionnées ci-dessus.

Le gauchisme radical du café était une matière culturelle et un peu superficielle.  C'est-à-dire, l'idéalisme évident-là, dans la culture, n'était pas l'histoire entière, et les anticapitalistes, ceux-là addictés aux amphétamines bien sûr, fondaient ils-mêmes les capitalistes  les plus corrompus.

 

Lapidus s'occupait dans une capacité entre la PN(OCRTIS) et la DGSI.  Son gauchisme tiède et sa familiarité avec les termes d'idéologie politique étaient très importants, et sa motivation était un petit peu plus personnelle à cause de la participation de son neveu Benny dans le trafic entre Marseille et la petit ville de Blois.  Toutes ces choses illégales arrivaient sous l'ombre des plus grandes machinations, aussi atroces qu'elles étaient légales, des corporations Vision Health et Soulagementechniques, Inc.  Lapidus était est un antihéros relatif à celles-ci dernières, et celle-ci constituait une matière seulement, parmi une pléthore des autres, touchant « la culture des radicaux » .

Les composantes idéologiques étaient transposées comme les lettres dans un chiffre sans soin avec n'importe qui de la raison ni envoyée ni reçoit. Le populisme, par sa nature elle-même, pouvait à servir comme un véhicule de la transposition entre les idéologies contre aucun règlement par l'État et celles-là contre le jeu libre d'une élite financière.  Également, l'individualisme pouvait à servir, dans la manière de la rhétorique, et comme si idéologiquement, comme une association pendulante entre le « 1% » et l'homme petit essayant de suivre son propre trajet.  Dans la manière de la rhétorique, il pouvait à co-identifier les deux, les élites et les hommes « ordinaires » .

Il est un pouvoir liquide, celui-là de tous ces morceaux de l'incendie inspiré, avec ne plus qu'une fraction faible du peuple pré-orientée le long d'aucun cours idéologique.   

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         Lapidus ricanait subtilement à l'antisémitisme cru du chef, mais ses mains se crispaient comme il regardait les trois grands hommes se mettant le long du mur plus près de la porte.  Il mettait la clé USB noire dans sa poche et commençait à toucher très tendrement l'acier froid de son Glock 26.

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         Il se craignait touchant la juxtaposition des corporatistes américains bien que ceux-là français, les relations existant entre tous les mêmes et les voyous plus obvieux circulants dans et entre toutes les villes desquelles nous avons parlé. 

Néanmoins, Lapidus commençait à explorer très discrètement les plus mauvais îlots le long du quai avec son appareil (photographique).

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         Par les fenêtres du train toute la vie humaine paraissait laide et ridicule, bien qu'il entendait les voix des noires jeunes, avec lui sur le train, vives, bien qu'il voyait leurs lèvres moues et exquises et voyait leurs corps si sveltes et lis; il voulait à mourir.

. . . la condition de la peinture autour de la porte post-cambriolage, le compound-des-joints(?) brilliant en ennuyeux-étrange hâlé-brun entre les six nuances de blanc et d'enlevé-blanc, les deux fermetures défunts y restants et augmentants le total à cinq, la nuit sèche-humide;

Il s'occupait, et était torturé, avec la misère pitoyable du sevrage, dedans ce squat-là, sa couverture ayant devenu sa réalité . . .

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          Agent Lapidus prit sa retraite à la campagne à l'ouest de la Capitale.  Il conduisit son Zéphyr dans les collines vertes pour à contempler un monde que ne fut pas si bien-isolé.

  -John Russell Herbert 2011 © 2012 © 2013 © 2014 © 2015



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