Sophie

Litter Adultes

Sophie, c'est l'histoire d'un fantasme qui finit par se réaliser et disparaître... C'est l'amour du corps de la femme, de ses envies, de ses désirs !

Ah Sophie ! 

Comment décrire simplement Sophie ? C'est la femme sur laquelle tous les hommes se retournent, à la fois séduits, timides et envieux. 

35 ans, des cheveux longs, fins et noirs, des yeux d'un bleu clair et profond, une silhouette parfaitement mise en valeur par des tenues recherchées, féminines à souhait avec ce subtil mélange de sexy, de retenue, de mise en valeur discrète et bien réfléchie… Des robes noires à hauteur de mi-cuisse, des bas noirs, un décolleté savamment pensé sur une poitrine généreuse, ferme et parfaitement ronde… des sous-vêtements qu'on imagine en dentelle, assortis à la tenue… 

L'image qui m'est restée de nos mois de travail commun est le jour où, me présentant un travail qu'elle avait réalisé, assise face à moi, elle se pencha pour me montrer une partie de son document, sa poitrine se posa alors sur le bureau, son décolleté s'ouvrit légèrement, ses seins prirent cette forme si ronde et se rapprochèrent en un mouvement doux et suave. Je ne pus que me perdre une fraction de seconde dans cette image parfaite, ses yeux plantés dans les miens avec une innocence réelle et une détermination impressionnante. 


Durant quelques mois, nous discutions sur les réseaux sociaux, et avons participé à quelques soirées professionnelles avec des amitiés nouvelles. Elle avait depuis déménagé sur Nice, j'avais moi repris une activité itinérante sur la France entière. 


Lors d'une discussion, elle m'annonça souhaiter aller sur Paris si ses finances lui permettaient, passer quelques jours de vacances. C'était une semaine où j'y étais moi-même. Dans un élan très amical, je lui proposais alors de partager mon hôtel sans intention particulière. Une petite arrière pensée sans doute, mais comme je vous l'ai dit, Sophie évoque le désir et une sorte de crainte d'essayer, ce qui est sans doute la cause de son célibat à son âge. 


D'abord enchantée de l'idée, elle refusa ensuite, considérant sans doute la situation sous les différents angles possibles… Dormir dans le même lit, c'était quand même un peu osé, risqué ou simplement inapproprié. Je la rassurais spontanément sur la situation non-équivoque de mon point de vue. 


La situation en resta là. 


Je finis par recevoir un texto me demandant si ma proposition tenait toujours, c'était un lundi, j'étais sur Paris, son train arrivait à 19 heures. Comment refuser ? 


Nous nous sommes retrouvés à la gare avec un réel plaisir de se revoir… Après un apéro bien mérité dans un café parisien, nous choisissons une brasserie pour dîner en évoquant nos souvenirs passés, nos vies actuelles, son célibat, ma vie d'homme marié, nos projets, et bien sûr, la nuit à venir. Je la rassurais à nouveau, le lit était très grand, mais très confortable, tout se passerait bien. J'avais du mal à croire que cette superbe femme dormirait dans mon lit ce soir, et je savais aussi que je ne tenterai rien à son égard. 


L'installation dans le lit fût un moment très curieux de gêne partagée, de simplicité l'un vis à vis de l'autre et de gaucherie… Je choisis de passer le premier à la salle de bains, mis un pantalon de pyjama et un tee-shirt puis m'installais dans le lit, au plus près du bord. Seule une petite lampe de chevet était allumée que j'avais orientée de telle sorte qu'elle diffusait une lumière tamisée. Sophie arriva un long moment plus tard vêtue d'un shorty, d'un caraco assorti, le tout noir, bien sûr. Je pris soin de détourner le regard à son arrivée. Elle s'installa de son côté avec détermination, bonne humeur, sur un ton assez franchouillard “allez hop, au lit”, masquant sans doute un certain mal-être. 

Nous passons alors un bon moment à discuter de tout et de rien pour donner un ton plus normal à une scène un peu étrange. 

Après plusieurs bâillements, nous nous souhaitons bonne nuit, je me tourne directement sur le côté pour conforter mon attitude annoncée. De longs moments passent, une heure sans doute, elle ne dort pas, moi non plus. Quelques mouvements de corps de l'un et de l'autre, des bruits de draps… Elle finit par soupirer légèrement. Je me tourne alors vers elle, elle est allongée sur le ventre. “tu n'arrives pas à dormir ?”... “Non, me répond-elle, comme toujours en ce moment, mon cerveau ne me laisse pas tranquille… c'est pénible”.


“Mouais, quand on est tendu, c'est difficile de dormir, attends”... joignant le geste à la parole, ma main se pose doucement sur son épaule et je masse doucement les muscles à la base de son cou… Un petit frémissement de sa part, mais elle ne refuse pas cette attention. “effectivement, tu es toute nouée, tu m'étonnes que c'est difficile de s'endormir dans ces conditions”... 

Ma main masse alors le haut de son épaule et se dirige vers la colonne vertébrale afin de soulager ses tensions.. Rapidement, je change d'épaule… De droite à gauche, doucement, je lui masse le haut du dos, pour finir par la base du cou, je glisse mes doigts sous ses cheveux et à deux doigts, je malaxe doucement sa nuque… Je sens alors une certaine décontraction chez elle, elle est en confiance, je prends mon temps, je suis doux, je n'ai pas de gestes déplacés. 


Afin d'élargir ma zone de massage, j'entreprends de passer à l'arrière de ses bras, remontant jusqu'au coude, j'entends alors de légers soupirs de satisfaction. Ma main revient aux épaules puis descend le long de sa colonne jusqu'à mi-dos… Ses soupirs se font plus fréquents à certains endroits, son corps se décrispe… 


Gêné par son vêtement, ma main abandonne son dos, et se repositionne sur ses hanches dans un mouvement naturel qu'elle ne refuse pas… Mes mains agrippent alors doucement sa hanche et reviens vers la colonne. Passant de droite à gauche, j'alterne entre des mouvements horizontaux et verticaux afin de couvrir l'intégralité de son dos, de sa nuque, du haut des fesses. Ses soupirs sont plus appuyés maintenant, elle est détendue. Cela fait maintenant un bon quart d'heure que je masse Sophie en me disant que j'ai de la chance de toucher un corps si parfait, dans une chambre d'hôtel à l'écoute de ses soupirs détendus. 

Ces pensées de son corps génèrent immédiatement une sensation tels des fourmillements dans mon bas ventre. D'un coup, je m'aperçois de la situation, je la désire. Troublé je continue mes massages et des idées folles me passent par la tête, j'imagine ses seins, ses cuisses offertes, sa bouche goulue… 


Comment m'y prendre ? c'est plus fort que moi, plus fort que tout, ce n'était pas mon intention, mais l'envie est là, irrésistible, incontrôlable. Ne pas s'emballer, ne pas la brusquer, ne pas être maladroit, juste doucement tenter, comme un geste imprévu, involontaire, un petit test pour voir sa réaction.


Ma main sur son dos, je descend sur sa hanche, mais plutôt que revenir vers sa colonne, ma main remonte le long de son flanc, mes doigts effleurent alors son sein compressé contre le matelas… Je sens sa courbure, je m'en écarte d'un petit millimètre mais continue son chemin jusqu'à son aisselle. Pas de réaction, pas de soupir non plus… je continue alors sur son dos… A-t-elle pensé que c'était un geste involontaire et ne m'en fais pas la remarque ? Je décide donc de recommencer le même mouvement de sa hanche à son épaule, mes doigts glisse réellement le long de son sein… Rien, pas de réaction… J'entreprends alors de faire le même mouvement de l'autre côté, son bras s'écarte pour mieux laisser passer ma main le long de son corps… Le message est passé, je continue donc…Alternant les côtés, ma main glisse le long de son corps, caressant inévitablement une partie grandissante de ses seins. Son corps suit mes mouvements. Je sens les infimes mouvements que son corps réalisent à chaque passage de ma main, libérant un peu plus encore ses seins sous mes caresses. 


Après avoir poursuivi sur son dos durant quelques instants, j'entreprends de descendre sous la ceinture. Ma main quitte sa hanche, et glisse sur son shorty, le long extérieur de sa cuisse, je descends lentement jusqu'au genou, puis incline ma main au milieu de sa cuisse, je remonte le long de sa jambe, écartant les doigts, jusqu'à sentir le petit mont annonçant sa fesse, j'y monte, sûr de moi, écarte mes doigts un peu plus et attrape l'intégralité de sa fesse plutôt ferme dans ma main, mes doigts se plantent doucement dans sa peau, je malaxe alors plus fort… un profond soupir remonte de sa gorge, elle aime ça !


Je reprends ces mouvements sur ses cuisses durant quelques instants… ses petits râles se font plus forts, plus profonds, plus érotiques qu'un simple bien-être… Il est temps d'aller un peu plus loin, doucement mais avec confiance… Je me refuse encore à avoir un autre contact avec sa peau que ma simple main, doucement, une chose à la fois..


Remontant le long de sa cuisse, passant sur sa fesse que je caresse, mon doigt suit la ligne de son vêtement, jusqu'à la hanche, puis redescendant rapidement, mes doigts se glissent sous le tissu, d'un geste sûr, déterminé… ma main agrippe sa fesse, mon index près de la raie… un soupir plus marqué remonte immédiatement suivi d'un tout petit mouvement de la fesse, un petit mouvement remontant, léger mais sensible… après quelques palpations, ma main se dirige directement vers son autre fesse, descendant puis remontant entre ses fesses… Le râle est un “hum” non dissimulé, son bassin fait un petit mouvement vers le haut… L'envie est là, partagée c'est certain.. Il faut continuer ainsi, doucement mais avec détermination… J'ai envie d'elle, envie de sentir son envie, envie de l'entendre soupirer, gémir, sentir son bassin bouger, son corps aimer mes caresses. 


Après quelques allers-retour sur ses fesses, ma main toujours prisonnière de son shorty redescend le long de la cuisse, mon avant bras se loge naturellement entre ses fesses, je glisse alors vers l'intérieur de ses jambes et décide de remonter, mon pouce atteint alors le bord de son sexe, je sens quelques poils sous mes doigts… Bien décidé à prendre mon temps, j'arrête ma main au bord de son sexe, mon pouce sent alors le pli de sa fesse, mes doigts se regroupent et ma main suit la ligne de sa fesse pour finir sur le côté de son corps. Ce mouvement doux aura raison de son envie, un son fort parcourt son corps, ses fesses se sont resserrées… elle est à moi. 


Ma main reprend alors le même mouvement, passant d'une jambe à l'autre, remontant vers son sexe, ma main s'attarde maintenant sur les poils… chaque passage est l'occasion de mouvements de son bassin, ce sont des “hums” qui sortent de sa bouche à peine étouffés par son oreiller… 


Aux derniers passages, ma main est plus entreprenante. Sentant ses poils sous mes doigts, je décide de ne pas remonter, ma main s'enfonce sous le matelas, mes doigts remontent le long de son pubis, ma main prend doucement son sexe dans sa paume, elle s'appuie littéralement sur ma main, je ne bouge plus. De petits gestes de son bassin, elle se caresse doucement sur ma main de bas en haut, ses soupirs s'accélèrent, elle est très excitée.


Quelques caresses plus tard, je sens l'intégralité de son corps se mettre en mouvement… Va-t-elle me demander d'arrêter là ? 


Ma main se retire de son sous-vêtement, son corps se tourne… Doucement, sur le dos, ses mains se rejoignent au dessus de sa tête, un genou se relève, ses cuisses sont légèrement ouvertes, elle s'offre à moi. Ses mains attrapent son haut, le remonte au dessus de sa tête et le retire pour le poser à côté d'elle. Elle reprends sa position lascive. 


Ses seins sont plus beaux encore que je ne les imaginaient. Très larges, d'une forme parfaitement ronde, ses tétons sont petits, bien hauts et déjà bien dressés en ma direction. Ma main se pose naturellement sur son ventre plat. Sa peau est douce, son dos se creuse, ses yeux fermés, sa bouche est légèrement entrouverte, le menton vers le haut, un soupir sort de sa gorge tandis que ma main remonte sur son sein. Mes doigts font le tour de sa courbe… Elle fait partie de ses femmes, qui, de dos ont une courbure de seins visible de derrière, un sein large à la texture ferme, à la peau fine. Passant sur le côté de son sein, ma main remonte doucement le long de son bras puis redescend vers son téton dressé. Mes doigts le caresse en tournant autour, son dos se creuse un peu plus, elle adore ces caresses… Son téton est très dur… Je porte les doigts à ma bouche pour les humidifier puis retourne immédiatement sur son téton pour mieux glisser en le contournant. Ce simple geste lui fait sortir un “ha” plus fort encore que les précédents… Ses jambes se caressent l'une l'autre, son bassin s'agite doucement… Je mouille à nouveau mes doigts et passe à l'autre sein pour son plus grand plaisir…


Me rapprochant alors doucement d'elle, ma bouche se pose sur son bras et l'embrasse doucement. Baiser après baiser, mes lèvres descendent inexorablement vers son sein, des baisers sur tout le contour, puis je prends rapidement son téton dans ma bouche… Ma main descend alors sur son ventre, puis s'approche de sa culotte… Ma langue entreprends de tourner autour de ce téton tendu, mes dents se posent délicatement pour le mordiller, ma bouche aspire doucement cette dureté si excitante. Son bassin bouge beaucoup sous ces caresses et sous ma main posée près de son sexe… Je sens alors sa main se poser sur ma tête, se glisser dans mes cheveux tandis que je lui lèche le sein, l'aspire, le mordille… 


Son désir est maintenant intense, plus rien ne peut l'arrêter. Je glisse alors simplement ma main sous son shorty, et descend doucement le long de son sexe… Je passe tout d'abord pour les côtés, cette limite entre le sexe et la cuisse, je descend bas, et je remonte… Je fais le même mouvement de chaque côté, puis mettant un doigt de chaque côté, je resserre ses lèvres entre mes doigts pour les remonter légèrement. Ce sont maintenant des petits cris qui sortent de sa gorge, des “hum”, des “oui”, des “oh”... Son excitation me rend fou, mon sexe est aussi dur au possible. 


Ma main passe maintenant sur le côté de son corps, et en descendant lui retire doucement son sous-vêtement. Arrivé à hauteur du genou, elle plie ses jambes facilitant ainsi son retrait… J'en profite pour retirer mon caleçon, mon sexe tendu se colle à sa cuisse instinctivement, un son rauque sort de sa gorge, elle adore ce contact avec mon membre en érection. 


Ma main prend alors pleine position de son sexe, mes doigts s'aventure entre ses lèvres que je sens très humides… Elle s'écartent instantanément, je glisse alors du haut vers le bas et remonte doucement. Arrivé en haut, je sens son clitoris déjà bien ferme sous mes doigts. Son “ah oui” m'apprend qu'elle adore les caresses à cet endroit là. Je ne m'en prive pas et deux doigts prennent position autour de cette douceur si sensible pour mieux l'exciter dans tous les sens, droite gauche, haut bas… Les mouvements vers le bas ont sa préférence, je continue donc… Ce sont maintenant des cris orgasmiques qui sortent de sa bouche. Ses caresses dans mes cheveux s'accélèrent, son téton reste bien en place dans ma bouche. 


Mes doigts descendent alors à l'intérieur de ses lèvres et je sens l'entrée de son sexe, j'y glisse immédiatement un doigt, puis le ressort, les spasmes de son ventre et de son bassin s'accélèrent. Je ressors, je remonte sur son clitoris, je redescends, j'entre à deux doigts maintenant et s'enfoncent au plus profond de son corps… 


Abandonnant son sein, j'embrasse maintenant son ventre, mes doigts toujours en elle… Sa jambe s'allonge sous mon passage, elle sait où je vais et s'y prépare… Mon corps descend dans le lit, mes doigts quittent son sexe, ma bouche embrasse son ventre, ses jambes s'écartent pour mieux laisser passer mon corps. 


Je m'allonge devant elle, ses cuisses sont grandes écartées, ses genoux repliés, ma bouche embrasse son pubis… Ses cris sont de plus en plus forts, ses hanches font des mouvements de droite à gauche, de haut en bas, elle s'efforce de positionner son clitoris sous ma bouche… Je m'empresse alors de la satisfaire, ma langue longe ses lèvres chaudes et humides, ma langue s'emparent de son clitoris et reprennent les caresses que mes doigts ont abandonnées. Ses jambes se relèvent alors, Sophie positionne ses pieds dans mon dos, les croise et m'attire au plus profond de son corps… Les mouvements sur son clitoris augmentent avec ses cris, ses mains se placent sur ma tête et me font faire des mouvements d'aller-retours sur son sexe offert… 


Après un dernier coup de langue sur son clito, je descends entre ses lèvres trempées, ma bouche atteint l'entrée de son sexe, ma langue s'y engouffre instantanément. Ses cris sont mêlés de râles, des sons profonds sortent de sa gorge avec des “hum”, des “oh oui”, des “ah, c'est bon”, “continue”... Ses mains sont plus pressantes encore sur ma tête, remontant ma bouche du haut en bas de son sexe, elle se caresse sur mes lèvres, s'excite sur ma langue, ses jambes s'écartent au maximum, sa jouissance est incroyablement sensible, elle éclate dans ce lit, dans cette chambre… 


Ses cris sont de plus en plus forts, synchronisés sur ses mouvements pour mieux s'exciter sur ma bouche… Je sens sa jouissance monter… Puis, d'un coup, ses mouvements s'arrêtent, un très long râle sort de sa bouche, ses fesses se relèvent, il est temps de la prendre…


Je me redresse alors sur son corps, mon sexe est près à la pénétrer. Remontant le long de son corps, j'embrasse son ventre, lui lèche un téton, remonte dans son cou, sa bouche s'écarte alors immensément, elle introduit une langue goulue, qui m'embrasse les lèvres, la langue, m'attire au plus profond d'elle.


Mon sexe est maintenant collé sur le sien; je sens de nouveaux mouvements de son bassin… Descendant une main le long de mon corps, elle attrape mon sexe, le caresse en petits mouvements de bas en haut, lâchant de nouveaux soupirs de satisfaction. Elle  décide de caresser toutes les parties intimes et humides de son corps offert, écrasant son clito, descendant le long de ses lèvres, s'arrêtant à l'entrée de son corps, elle fait tourner mon sexe tout autour de son vagin puis remonte… Son autre main se plaque dans mon dos… Au fur et à mesure qu'elle se caresse, ses ongles s'enfoncent dans mon dos. Tenant toujours mon sexe à sa base, elle le sert bien fort dans sa main puis fait bouger son corps pour mieux s'exciter. 


Deux “oh” “oh” rauques et courts m'apprennent que son désir est au maximum… Je sens alors son bassin s'enfoncer dans le matelas, ses cuisses se relèvent, sa main amène mon sexe à l'entrée de son vagin, il est temps d'en finir… 


Me relevant sur mes mains, j'appuie doucement, mon sexe s'enfonce doucement en elle, le premier passage lui arrache un cri… J'entre intégralement et ne bouge plus durant deux secondes, ses deux mains sont maintenant dans mon dos, ses ongles me griffent…


Mon désir est près à éclater, j'entreprends alors des premiers mouvements de va et vient, afin de sortir au plus loin et de revenir au plus profond. Ses cris sont profonds, j'accélère… 

Avec une cadence de plus en plus rapide, je poursuis mes va et vient, des gestes plus courts mais de plus en plus cadencés… Ses cris montent dans les aigus, ce sont maintenant des “oui” à chaque coup de butoir..; Ses jambes tentent de s'écarter plus encore pour me faire entrer au plus profond… Je suis fou de désir, j'accélère autant que possible, j'entends mon corps qui claque contre ses cuisses, contre son ventre… Nos cris sont incompréhensibles mais se mêlent sentant l'orgasme tout près… Je ne peux plus retenir mon envie, j'arrête mon rythme soutenu par des plus longs coups que je claque plus fort encore contre elle… Je jouis au deuxième coup alors qu'un cri long comme une délivrance sort de sa gorge… Mon corps réalise encore quelques mouvements presque involontaires, je me sens me répandre en elle, ses ongles se plantent une dernière fois, elle me compresse contre sa poitrine. Nos corps restent ainsi collés, je suis toujours en elle. Nos respirations sont saccadées, nos peaux humides, sa bouche embrasse mes joues, mon cou, mes lèvres tandis que ses mains me caressent les cheveux… 


Elle finit par me pousser légèrement les hanches pour que je me retire… Nous partageons simultanément un énorme soupir de satisfaction.

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