Spas mon meilleur texte certain(je ne mets jamais les meilleurs sur WLW)

marcoux666

Quand on est un nuage , on est condamné à être immortel Et porté par une brise , on renaît dans le souffle des montagnesOù cette sagesse ancienne de prendre la main et d'espérer l'éternelSe cache loin des bruits de ville où les gens vieillissent Et où les gens se meurent dans les champs de campagnesL'eau glisse jusqu'à toi au delà des songes des étoiles qui luisent 

Belle étoile sans éclipse D'or cousue dans l'ombreElle naît pour brillerEt fuit le néantEn un instant Une ellipse Par delà l'océan j'embrasserai la TerrePorterai ombre réconfortante Et bourrasque de vent tardQui poussait les marins d'autrefoisVers la vierge terre de délivranceEn espérant conquérir l'avenirQue personne ne connaîtEst-il plaisant d'anéantir Le rire ,le plaisir , la jouissance des sentimentsQui ne cesse de pourrirent Sur cette plage trop loin des courants/?/Pour partirAu loin je te regardes hisserUn sourire Et un voile inconnuEntonner un chant Précieux rossignol Annonce le printempsQue la cage montreraSans êtres nusLa montagne pleure Le champs tropicalJe ris , je brandis mon arcPour te décocher un sourireJe pleures mais ta lumière Traverse le tempsAutant en emporte le ventOn se fait la brise Sur la baie où vous goûterez ces instantsIl n'y a pas d'Éden pour tous Il est impossible d’amarrer Mais il est bon de ramerÀ deux avec une bonne rousseG/Tort hen?  L'été le ruisseau glisseEt c'est là que je te rencontrai /l'/Amour éternel Vapeur du passé se condenseDans un hot dog steamé Toi qui m'avais tant mieux estimé....Il n'y a pas long/feu/qu'apparaît la danseDes feux qu'on souffle chaque annéeÀ présent , il est passé Je suis seul et on me ballaitOn annonce mon retour le matinJe ballais poussière et fouette les manteauxL'avenir superstitieux m'empêche d'être Loin//DemainCraintif je fuis sans relâche Ce monde de lâchesQui pourtant est miensSans jamais m'acclamerEt me voir comme le rienCe salaud qui ne peut valoirLe tout de l'espoir De cette Pandore ouverte Aux yeux noirsQue tu étais l'instant d'un vertJadis fleurissant la terreCette mère , elle-même couchée dans le lit de l'infiniDe la fatalité de ne plus êtreCe qu'on était auparavant

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