Stupidité

orphean

Poème

Tu colles aux hommes comme une ombre Rutilante (nitescente)
Avec l’âge tu ne désemplis pas,

je te retrouve en chacun de nous,

Facétieuse, ton esprit immatériel prends forme objectivement lors de notre avènement,

Et lorsque l’on croit te surpasser te revoilà,

Je ne crois pas en Toi et pourtant tu existes avec Force;

Ta nature est nôtre,

Manichéen je t’accepte au lieu de te combattre pour ne faire qu’un,

Tu grignotes nos âmes en sursis (endormis) et l’on t’endosse tel un surplis.

Extravagante, exigeante, prévoyante, tu ne t’éloignes jamais très loin;

Tu trouves ta place dans nos racines d’êtres humain !

Serviles et affaiblis nous te demandons grâce mais finalement nous abdiquons,

Pour permettre à certains de se sentir condescendant.

Par ta faute, une ère nouvelle est née où tu ne connais pas de limites;

À l'instar des divinités que nous avons créées tu prends ta place dans le creux de nos facultés mentales

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