Théorème des trois elles

Soit un être plutôt bien fait,

D'asymétrie parfaite

Rien de trop irrégulier, ni de quelconque.

Supposons lui un vécu linéaire sans encombre ni brisure

Précisons que l'être concerné assure un mouvement dont l'équilibre infaillible repose sur deux elles qui prolongent le corps figuré.

Si le corps envisagé représente l'axe de la figure animée, 

Alors ses deux elles font preuve de symétrie époustouflante par rapport à celui-ci en vertu du théorème du triptyque.

L'elle droite comme l'elle gauche puisant toute deux au plus profond de l'axe leur force nommée F, assurent pour partie, et en fonction du degré de leur inclinaison, l'orientation et les virages pris par l'axe au courant de sa vie, ce en vertu du théorème de la sororité. 

Mais, supposons en un temps T qu'une des elles soit tronquée à cette figure. 

Alors, au nom du théorème de l'attachement, adviendra un mouvement étrange défiant toutes lois de la nature, n'obéissant à aucune logique, proposant des trajectoires désorientées, irrégulières et violentes.

Envisageons désormais la troncation de la deuxième elle à son axe. Adviendra alors un tout autre mouvement ; la chute, rapide, rectiligne et entièrement soumise aux lois gravitationnelles.