transition

Frédéric Mendes

Sous couverts de ce sous scellé aux sous jacent du soucieux, sillonnant l’insignifiant, si dorénavant assis au seulement si, si un jour, si toujours, si attaché à lui, si caché dans la nuit

J’ai j’oscillait entre j’aurais et l’amour d’un j’étais

Office de J’avais de ce  nez à nez il faut finalement que je le sache, attaché à savoir, je ne saurais apercevoir, encore faut-il, qu’il vaille le  falloir

Je ne sais comme je ne le savais à révoquer

D’avoir été

Le tête à tête, le sincèrement et  seulement être, il y a, nourricier affamé, en quête, de ce qu’il y avait pourvu de ce que nous avons et parrainé de ce que nous serons

Avez-vous dans l’avions-nous mais sensorielle avons-nous même cette main prise dans l’épreuve de la mise en œuvre

Tu l’auras par ailleurs, tu seras par erreur, tu feras, par cœur tu iras, par aigreur, tu regretteras  

Tenté en tété attentionné pour finir résigné et résilié

Ne serait-ce à qui le sais-je ne pourrait-on pas, étiez-vous ; ai-je ?

Abreuvé, Je l’ai était sensibilisé au semblant de l’avoir été,

Je suis sinon je ne fût à force je m’enfuis, m’initie au dos du blasé ballonné et biaisé sans cesse endolorie et appauvrie par la condition qui blesse 

J’eux et je le promeut mais sans doute je ne voudrais  plu, soyez les assailli satisfait nous avons tous pu

Je ne vais pas pouvoir Est-ce que tu le veux, est-ce le vouloir

Je l’ai lynché, lacérer, apprivoisé, menacé, torturé mais pas encore tué

Je ne voudrais emprunt du valoir à ce que je voudrais poursuivi de ce que j’avais voulu exilé de l’absolu, qu’est-ce que c’est, prendre et dépendre, qu’est ce que je fais, attendre et apprendre 

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