très ami chantant...
Syella Brunthy
18 mai 2004, Marseille, palais des congrès
Je quitte mon village très tôt, sereinement, pour aller plonger dans l'ambiance de fête qui nous attend...il fait un temps estival, c'est le bonheur. La route est mon évasion, tout est au plaisir de l'approche, découverte d'une grande passion ; très naturellement, je m'aventure près de chez toi, en douceur, les fleurs et tout l'environnement m'accueille harmonieusement, le temps nous rapproche, je me familiarise avec tout ce qui a pu t'entourer de près et de loin depuis de longues années, ton enfance...
L'heure est venue de te rencontrer ;
quelques contacts se font devant la salle de spectacle, ma liberté est là, je la vis, je te vois
Tu as éveillé en moi, plus qu'une force, mieux qu'une lueur, plus qu'un espoir, c'est extraordinaire.
Si simple et si profond
Une voix, tu t'ouvres, subtil,
Si pur et si bouleversé parfois
de tout ce que tu nous donnes
Tu parais découvrir à chaque fois,
une nouvelle étincelle,
Tu sembles raviver à la fois,
Monts et merveilles,
Tout oeuvre d'art prend naissance
au son de ta voix
Un visage sans fard, l'innocence
qui jamais ne larmoie
Si, moi !
tu te présentes avec aisance
On te sent chaleureux, naturel, tu aimes les gens...
20 01 05
après une rencontre éblouissante au méme endroit, on veut te suivre comme ton ombre,
toujours prête à faire des exploits
Je peux faire partie de ton monde
Tout ce qui peut t'aider, je t'envoie
Mon grand T c'est de la bombe...
Sur la péniche, un soir d'hiver,
Toute une troupe d'âmes, sans peine,
N'ont pas embarqué pour la mer, ni pour la guerre
Se retrouvent bien et quand bien même
Tant se connaissent ni d'avant ni même
Toutes veulent le retrouver
encore et encore savourer
L'espoir grandiose de t'approcher
A nouveau de pouvoir matérialiser
tout ce bonheur, toutes ces sensations
Mais encore qu'est ce que c'est bon
etre bercée...
Hello Grand Thy !
çà commence bien... comment se distinguer ? comment sortir de la masse... c'est une question que tu as dû comme artiste naissant, te poser...
je crois qu'on découvre là un milieu de requins affamés
Je ne connais rien de toi, depuis l'adresse ensoleillée magique,
où j'ai écrit sans retour
Mais l'aller sans retour promet
Pourtant, je sens que je te vis,
comme je te vois
je te ressens, si fort
comme si tu étais transparent
et lumineux en même temps
Je vis ces sensations qui transpirent de toi
dans tes interprétations, je vis cette passion
qui te fait tant donner...Rien ne peut m'en empêcher
Je partage tous les jours la joie de t'écouter
Bien vrai, je rêve de cheminer au plus haut
qu'on puisse être exalté
de toutes les façons, mille fois
merci
syella