triste vertu que le combat

romualdmartin

celui du juste et des victimes des forts

Vous n'êtes ni rage, ni courage. Vous êtes ces phoques, niaisant le ventre au chaud, à qui l'ont vient perforer le crane pour plus de sûreté, pour plus d'ordre collectif. Tournez la tête de votre télé et regardez qui tient le bâton. Il est temps de brûler les sorcières, celles qui font des tours de magie avec notre fric en le faisant disparaître, celles qui vous font passer la précarité pour une chance. Au bûcher les reines de l'illusion et abattons leurs temples, récupérons en les pierres et faisons des tombes dignes pour ceux qui seront mort en résistant

Aux Abous, aux Samirs, aux Érics, aux Féthis, aux Pierres, aux Komotines, aux Daniels, aux Albertines, aux Nelsons, aux Josephs, aux Remis, à tous ces yeux qui ne verront plus le soleil chanter demain.

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