two

Les belles histoires d'amour n'existent pas, non je veux pas paraitre négative, mais la vie n'est pas un conte de fées, il faut savoir se séparer des plus belles choses, des plus belles personnes, pour savoir qu'il y à mieux ailleurs.

 Dans une relation amoureuse il y a deux personnes, deux êtres qui s'aiment.

Mais n'avez vous jamais eu envie de faire un retour en arrière au débout de votre relation. D'être complétement indifférant vis à vis de cette personne qui vous textote. D'avoir encore ce pouvoir de contrôler vos émotions. De commencer à vous connaitre, et à vous attacher petit à petit. De retrouver la sensation que ça fait quand on vous dit, pour la première fois, qu'on tient à vous, ou bien, qu'on a envie de vous, tout simplement.
Honnêtement, l'envie d'être désiré, ou bien de désiré, au plus au point la personne qui vous attire, mais que vous ne connaissez pas vraiment, ne vous a jamais manqué ?

Au bout de quelques temps, tellement vous vous accrocher à cette relation, à l'envie que votre partenaire vous appartienne, vous en devenez obsédé, amoureux.

L'amour s'installe, l'amour se prolonge. Vous vous aimez, vous aimez cette passion. Vous savez tout sur la personne qui vous fait décrocher ce sourire, même à 6h du matin quand le réveil sonne pour partir travailler. Vous ne voulez pas que ça s'arrête, vous voulez continuer de connaitre l'extase et ne jamais se séparer de cette personne qui, pour vous est unique, même si les premières disputes commencent à s'introduire dans votre idylle.

Mais le temps passe, les querelles sont plus fréquentes. Et, c'est lorsque l'on s'attache, lorsque l'on aime que tout commence à devenir monotone, routinier.
Vous vous lasser en quelque sorte, même si vous vous aimez encore.
Vous ne pensez plus à dire "je t'aime". Vous êtes encore présent quand ça va pas, mais vous n'êtes plus là quand tout va bien. Vous partagez encore des choses, mais c'est plus les mêmes qu'avant. 

C'est un engrenage l'amour, un vilain cercle vicieux. On est toujours deux à s'aimer, mais jamais de la même manière. Quoiqu'il se passe, il y en a toujours un qui aime  un peu moins que l'autre.

Et puis on souffre, on a plus de carapace, on ne peut plus se protéger, alors on souffre, encore, jusqu'à pouvoir oublier.