Un parfum de vie
Bruno Ferron
Le jour où ton odeur à jamais effacée
Ultime souvenir de ton corps enfiévré
N'aura plus de l'opium les apaisants effets
Et lorsque reviendront les heures d'insomnies
Que ton parfum de vie domptait nuits après nuits
Quand des pensées obscures chassaient mes rêveries
Ce jour-là, le cœur lourd, je brûlerai les draps
Je brûlerai le lit, témoins de nos ébats
Maudissant ton départ, hier, pour l'au-delà
Merci beaucoup Nancy.
· Il y a plus de 10 ans ·Bruno Ferron
De belle paroles ^ ^ Bonne continuation!
· Il y a plus de 10 ans ·Nancy