Un peu, partout.

iban

Poésie

N'est comparable à cette étrange solitude ;
Ni la mort, ni la haine, ni aucun amour douloureux.
Sans forme et sans visage, ce poison silencieux,
S'étend sur mon lit comme les étoiles dans les cieux.
De ce vide omniprésent ! Cette folie qu'est sa multitude...
Partout où je regarde, tu manques à mes yeux...


Mon amour, ma solitude.

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