Connectez-vous pour commenter
Un peu, partout.
iban
Poésie
N'est comparable à cette étrange solitude ;
Ni la mort, ni la haine, ni aucun amour douloureux.
Sans forme et sans visage, ce poison silencieux,
S'étend sur mon lit comme les étoiles dans les cieux.
De ce vide omniprésent ! Cette folie qu'est sa multitude...
Partout où je regarde, tu manques à mes yeux...
Mon amour, ma solitude.