Une et une seule
anthala
La mélancolie me gagne aujourd’hui
Je ne l’ai pas cherchée, c’est le hasard
Le hasard de la vie qui nous poursuit
Le passé me jette dédaigneux son regard
Les femmes se glissent dans l’ombre de mes nuits
Sèment la terreur dans mon cœur si meurtri
Je ne les avais pas cherchées même si je les ai regardées
Tant de tendresse à leur donner, je les ai étouffées
Pourquoi vouloir toujours me quitter, moi qui les aimais
Encore quelques années à tergiverser et je serais aigri
Vous qui me lisez, comprenez que l’homme n’est pas votre ennemi
Il est là pour vous écouter même s’il ne semble pas vous entendre
Laissez le, laissez le vous donner ce qu’il a en lui de plus tendre
Cet amour qu’il cache au fond de ces rêves et qu’il vous dédit
N’ayez pas peur de vos sentiments au-delà de vos pressentiments
Sachez dire je t’aime quand vous en avez encore le temps et l’envie
Je crois encore pour un infime moment que dans l’ombre de mes nuits
Il en existe encore une qui me redonnera l’espoir d’une nouvelle vie