Violence conjugale

margueritemottais

Ceci est une nouvelle qui parle de violence conjugale
En France, 1 femme sur 10 serait victime de violence conjugale. En 2008, 156 femmes sont décédées sous les coups de leur conjoint, soit une femme tous les 2 jours et demi. On estime que seulement 8% des victimes déposent une plainte… Ce texte est un hommage Le sang coule avec un débit régulier…On pourrait presque battre la mesure dessus… Il semblerait qu’elle soit de nouveau inconsciente, je devrais peut être y aller moins fort la prochaine fois… Elle est allongée sur le tapis du salon, l’arcade sourcilière ouverte,et le visage tuméfiée… Je m’en vais sur le balcon fumer une cigarette, pour arriver à me calmer complètement… Qu’est ce qui lui a pris de parler à un de ses anciens camarades de fac en ma présence… Elle ne l’aurait pas fait, elle ne se serait pas retrouvée couverte de son propre sang,à demi morte dans le salon, à tacher un tapis que mes parents nous avaient offerts pour notre mariage. Tout allait bien depuis quelques jours,on s’entendait bien, je ne lui avais pas levé la main dessus, on profitait du week-end pour passer du temps ensemble, moi à jouer de la guitare, elle à travailler son roman…Mais il a fallu que cette salope parle avec un ancien ami pendant qu’on est allé faire les courses au supermarché du coin.Elle le regardait avec un air de dire « putain je te sucerais bien la bite si mon connard de mari était pas là », elle riait à ses plaisanteries comme une ado attardée, et l’a même touchée… J’ai su tout de même resté assez calme jusqu’à ce qu’elle est finie de ranger les courses, et s’asseye dans le canapé pour regarder la télé sans doute… Je me suis postée dans l’encadrement de la porte du salon et ai commencé « -On peut savoir qui c’est ce mec ? -Commence pas chéri, c’est pas « un » mec, c’est un ancien ami de la fac, je te l’ai déjà dit. -Ami tu es sur ? C’est pour ça que tu lui jetais des regards de chienne mouillée ? – Mais arrête ta parano ! Et on peut savoir ce que tu insinues par « chienne mouillée » au juste ? – Mais putain, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure, tu lui lançais des regards qui voulait dire « j’aimerais tellement me faire troncher par toi, si cela mon connard de mari n’était pas là, je te laisserais me prendre en levrette au milieu des surgelés » Elle détourna les yeux de l’écran et me toisa d’un regard qu’elle voulait noir -Arrête de dire n’importe quoi chéri, tu sais bien que je t’aime, et j’en ai rien à foutre des autres, en souriant pour essayer de me rassurer, mais c’était trop tard, je sentais ma colère et ma rage qui débordaient de moi, comme si le couvercle d’une cocotte minute explosait sous la pression -J’en ai rien à foutre de tes minauderies de salope, tu crois que je t’ai pas vue rire comme une conne à toutes ses blagues ? Je m’avançais vers elle, et me postait devant elle, la tirait par les cheveux, et envoya sa tête frapper contre un coin de la table basse.L’effet fut immédiat, elle commença à pleurer et à saigner dans le même temps. La voir pleurer ne me donnait que davantage envie de la frapper, et décuplait mon énervement à son égard -Tu crois que je vois pas tous les mecs avec qui tu parles sur Facebook ? Tu crois que je les vois pas ces photos de pute que tu postes sur ton mur pour qu’on te dise qu’on t’aime ? Parce que moi je te suffit pas vielle connasse ! Tu sais bien ce qui va t ‘arriver si tu continues, je vais appeler mes potes et ils vont te défoncer dans une cave pas loin d’ici,et ce sera trop tard pour réclamer mon pardon ou ma pitié, je te laisserais pour morte, vielle truie ! Elle était assise sur le tapis, sonnée, et regardait ses pieds, alors j’ai pris son menton entre ses mains, et lui ai donnée un coup de poing, ce qui a fait craquer sa mâchoire, mais ne la faisait pas réagir, donc j’ai poursuivie avec une paire de gifles.Ce qui l’a fait réagir, puisqu’elle me regardait à présent, le sang commençait à sécher sur sa tempe et sa joue, et des cheveux s’étaient collées dessus… Elle me regardait d’un air de dire « s’il te plait arrete », et je sentais une érection presque douloureuse grossir dans mon pantalon…Ce genre de regard avait la facheuse tendance de me faire bander sévère…Alors je me relevais, dégrafais ma ceinture, fit tomber mon pantalon jusqu’à mes genoux, et fit de même avec mon caleçon. Puis j’attrapai sa tête avec une de mes mains, et lui enfonçait ma queue dans sa bouche quasi entièrement… C’était doux, humide et chaud…J’allais de plus en plus vite tant l’excitation était forte…Plus j’allais vite, plus elle pleurait, et manquait de s’étouffer à chaque fois que j’allais un peu trop profond…Au bord de l’orgasme, j’eus envie de quelque chose qu’elle m’avait toujours refusée…Alors je sortis de sa bouche, et l’installait à quatre pattes sur le canapé… J’ôtais sa culotte d’une main et me branlait avec l’autre… Entre ses sanglots, j’entendis qu’elle disait « non chéri pas aujourd’hui j’ai mes règles », ce qui me fit sourire, et je me penchais sur elle pour lui murmurait « ça tombe bien je comptais pas passer par là » Et elle commença à vouloir me dégager, sans doute apeurée du sous entendu, mais j’étais derrière elle, et lui malaxait vigoureusement les seins.Je la remis à sa place initiale sans trop de désagréments, et la pénétrait sans ménagement…C’était si serré, si bon, que j’en jouis quelques minutes seulement après… Je la jetais une nouvelle fois contre la table basse, ce qui fit de saigner son autre arcade sourcilière…Puis une dernière pulsion de rage me fit me mettre à califourchon sur elle, et lui défonçait le visage à coups de poings tant que je pouvais…Je me calmais quand elle ne bougeait plus du tout… En fumant, j’ai pris conscience que j’avais peut être tuée la femme que j’aimais, mais au final elle l’avait méritée.
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