Vision

carlaval

La jeune fille se trouve dans une clairière d’une montagne. Il fait un soleil agréable à porter sur la peau. Trois gouttes de pluie tombent sur l’herbe encore verte. Elle est pied nus, au contact de la terre, fumant une roulée et dessinant dans la marge d’un texte. Un loup sort de la forêt. Il s’approche, et lui dit : « Tu sais, observer le monde est important, mais il faut aussi s’y impliquer. Viens, je t’emmène voir le monde ». Il se transforma alors en grand condor, et elle s’empressa de monter sur son dos et de s’accrocher à ses plumes. Ils survolent alors des étendues de villes bétonnées et de zones industrielles. Puis ils arrivent aux grandes forêts vertes, aux montagnes et à la mer. Quelques temps plus tard, ils planent au dessus d’un désert dans une nuit plus chaude que la braise. Ils finissent par atterrir en plein territoire Massaï où une grande fête se déroule. On les invite à se joindre aux guerriers. Ils partent ensuite rejoindre un campement de gitans en Roumanie où la musique crie sa danse. Avant le lever du soleil, ils partent voir les squat underground de Berlin où de jeunes révoltés dansent sur des musiques épileptiques, en transe.

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