Voyage sur de bien jolies collines, l’image de la féminité par excellence.

florentin

Ecrit le 6/05/2011. Le sein est une pomme dans une poire où pointe un grain de raisin. Le sein est le maximum du fondu: tous les fruits en un Malcom. De Chazal (philosophe et poète Mauricien)à méditer



 Lorsque j'entame mon exploration sur tes monts d'amour, ma fascination reste intacte comme si c'était la première fois. J'aime y consacrer du temps, la moindre occasion est un prétexte pour les câliner et les dorloter.
Ma devise douceur, tendresse et volupté pour ces petites merveilles de la nature.

Cette petite exploration consacrée à ta poitrine est un préliminaire à des caresses bien plus intimes.
Je les compare à la clef de contact d'une automobile (pas très poétique, mais elle est bien un laisser passer indispensable pour découvrir de nouveaux trésors tout aussi précieux).

Comme beaucoup de femme, je sais que tu ne les trouves pas parfaits, mais tu as tors, ce sont de véritables bijoux, je ne me lasserais jamais de ces charmantes rondeurs.
Je dois dire que tu sais les mettre en valeur, lorsque ton décolleté laisse entrevoir cette vallée qui passe entre tes collines, sœurs siamoises, je devine l'amorce de leurs galbes, rien que de l'écrire j'en ai le frisson.
Tes seins, je les observe et je les « écoute », ils m'aident à te comprendre, tu ne me crois pas, tu as tord, ils m'apprennent beaucoup de chose sur toi.
C'est relativement simple, tes mamelons sont de véritables capteurs hypersensibles, s'ils se métamorphosent ou pas pour m'avertir de ta disponibilité ou de ton indifférence.
Il suffit de vérifier que leur charmant bouton se font de plus en plus visibles sous ta chemise ou ton tee-shirt, rien de certain comme à chaque fois, mais ça aide énormément à juger ton désir de caresses et ton excitation.
L'été lorsque tu as mis une de tes nuisettes légères qui savent jouer avec la transparence de ton étoffe, je les devine, tu le sais et tu n'hésites pas à jouer la coquine pour éveiller mes sens.
En soirée, quand tu viens prêt de moi sur le canapé et que ma main passe sous tes vêtements pour découvrir tes seins nus ou encore protégés par un soutien gorge toujours au petit soin pour eux, je dois le contourner pour les câliner, petit obstacle charmant et doux qui n'offre qu'une résistance très faible.
Au petit matin, j'aime poser ma tête sur ces charmants coussins douillets avant de commencer à les caresser.
Je sais que toute la peau de tes seins est sensible aux caresses, et j'en profite au maximum.
Je les prends par dessous comme un soutien-gorge le ferait pour les protéger, puis je les masse tendrement pour un éveil de leurs sens en douceur.
Un de mes doigts viendra ensuite jouer avec ce petit bouton qui commence déjà sa métamorphose, il se dresse maintenant fièrement au milieu de sa couronne.
Je sais que tu sens ta poitrine gonfler, tu vois qu'une poitrine ne sert pas qu'à nourrir un nourrisson, elle sert aussi à notre plaisir sensuel réciproque.
En fonction des circonstances, ma bouche prend le relais de mes mains viennent en complément pour les choyer et les câliner.
D'abord la pointe de la langue vient titiller et jouer avec un de tes tétons bien dur. Puis ma bouche le suce, l'aspire.
Maintenant, ce charmant petit bouton se dresse avec arrogance ou en remerciement de ces délicieuses caresses que je lui fais. Il aime les douceurs, tout ton corps les ressent, je le perçois par les vibrations de ton corps.
Je sais qu'ils aiment que je varie les plaisirs, par exemple avec un doigt humide, je parcours le contour d'un de tes seins doucement jusqu'à me rapprocher le plus près de leur couronne pour finalement effleurer ce bouton. C'est carrément divin de les observer vivre et vibrer plaisir.
Il ne faut jamais oublier que ces merveilles sont deux, cela veut dire deux fois plus de calinoux, car il est important de ne pas faire de jaloux, pour toi deux fois plus de plaisir, pour moi deux fois plus de travail, mais quel travail, punition fort agréable être condamné à perpétuité à les câliner.
Tu te rappelles de cette plume d'oiseau après avoir jouer à nous chatouiller, nous sommes arrivés comme bien souvent à des jeux un peu plus érotique, je lui ai fait découvrir tes monts d'amour, contours de tes seins, mamelons, tétons, cette plume pleine de douceur et de légèreté a fait beaucoup d'effet.
Et ce glaçon, tu t'en souviens, surprenant cette caresse, toi, qui n'aime pas le froid d'habitude, tu avais apprécié, tu avais une excuse, il faisait très chaud ce jour là. Je pouvais suivre son parcours sur ta peau comme un escargot laisse une trace après son passage, ma langue venait récupérer l'eau de ce glaçon fondant sur le chemin que je lui faisais faire. Ton corps frémissait de froid ou le plaisir… surement les deux, je pense que oui… tu m'en reparles de ce glaçon, tu attends avec impatience les grosses chaleurs de l'été.
Et cette crème de dessert lacté, j'ai dessiné une « œuvre d'art » sur ta poitrine, puis je l'ai effacé à coups de langue tendres et sensuels.
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Une devise à respecter : de la douceur, toujours de la douceur et encore de la douceur !

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