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Au début, j'lui en voulais, j'comprenais pas , comment je pouvais éprouver une tel choses légalement ? J'voulais pas que ca arrive , j'voulais pas être la traitresses , mais c'est pourtant ce que j'ai était , une trompeuse . Mais quel jolies nuits, quel beau week end. Les images glisse et défile dans ma tete , je suis au milieux de tout ce dont je n'avais pas envie , mais sont soleil illumine mes nuits , nuits que je passer si bien avant , maintenant je suis torturer comme elle et son esprit , et je me surprend a aimer cela , je suis l'esclave de ces pensées , j'pourrais tout arrêter , mais tout cela me fait du bien , c'est une douleur agréable , aimer une cause perdus , moi qui le suis en ce moment , c'est comme aimer sont reflets qui n'est pas vous . Je suis incapable de me passer d'elle , incapable de me passer de cette douleur qui tape au fond de ma poitrine, mais qui es-tu , qui es-tu pour aimer comme ca , je ne suis même pas sur de la mériter , même pas sûr d'avoir le droit d'aimer et d'être aimé ,mais tu comprends elle est arrivée comme ca , j'ai pas voulu de ca mais le diable ma séduit , il m'a regarder avec ces yeux doux et ma dit «  viens » . Je lui es pris la main et ma conduit vers elle, cette douce souffrance , cette chaleur qui refroidis .Et je ne sais pas ce que j'attends de cela , je ne sais pas ou je vais arriver mais je sais que je me bats , pour une bonne cause , temporaire ou pas j'men fou ,j'men fou . Le soleil ce lève , ou en tout cas c'est que ce je vois a travers les trous de mes volet , c'est de part ces même trous que je vois le lampadaires , celui qui clignote , celui qui fatigue chaque hiver et qui finit par s'éteindre . J'ai laisser les volets fermer car chaque jours est une répétition , mais ma naïveté a penser que je pouvais arrêter le temps , mais l'heures passe , et tout ce dérobes en dessous de moi . Le sol ce fissure et ce blaise, au fur et a mesure que mes certitudes ce fond , elles s'envolent . J'aimerais me lever et aller courir, mètre mes basquets et faire ce que je peux de mes dix doigts, mais la lumière n'est pas assez forte , tout comme les résolution du 1 er janvier . Les cicatrices du temps sont toujours-là , je croit même qu'elles ne partirons jamais . Le calme plat qui règne desormer en moi me fait peur , je ne suis plus moi , mais qui suis-je , fille de ? Cela ne devrais pas me définir , mais ma définitions ne me plais pas réellement non plus . J'suis au milieux de la foret , vers 3 heures du matin ,l'heure ou les âmes s'égares , j'suis aveugler par le brouillard qui n'arrive pas a me guider vers la sortit du tunnel , du labyrinthe que j'ai construit moi-même .