À l'autre...

jabbar

Mon coeur blessé ne se console 

Que par le point et la virgule ;

Les feuilles, les plumes me rafistolent 

Et la voyelle me stimule ;

Quand l'apostrophe me tombe au sol,

Un trait d'union en ma cellule ;

Les "eux" muets scellent ma taule,

Riment mes "maux" en majuscules. 

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