Abjects élixirs aux métamorphoses philanthropiques.

Juloin La Mort

Lente plainte, aux abois assourdis et rodés par les codes

Sourds râles exténués et meurtris, rosés puis rubiconds

Sous le soleil, exactement- et les tropiques,

Aux îles caïman!

Long cri d'arbre distordu

Pour horizon, le "j'en peux plus"

Ton rêve pèse

Et je l'affaisse!

Beaux-sus-dit,

Le.

Pour ainsi dire la confiture déborde du bocal

Et je le dis, dis-je, râle-re et re-râle;

Aux abois bien ostensibles maintenant!

Une meute;

Sur le zinc

De mon bistrot

J'en suis pilier

Et,

Usé par les coudes,

Abjects élixirs aux métamorphoses philanthropiques.

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