After the gold-rush
rechab
Au survol du printemps
Finalement, l'aile ouverte,
S'appuyant sur l'atmosphère,
Endolorie,
Ira se fondre
Et saigner dans d'été,
Une halte et un autre virage
peut être , conduit au repos
.... Une ville abandonnée
Aux insignes blanchis ,
Le bois torturé
Au soleil ardent,
Les voitures, aux modèles lourds,
Fantômes rouillés,
- immobilisés,
Dans les herbes hautes,
Vont à la reconquête
des prairies vides.
Peut-être pour l'oiseau migrateur,
L'occasion de se poser,
Quand le vent agite
Et secoue de vieilles tôles,
De vieilles enseignes,
– décor de grincements -
Ce qu'il reste de rues,
Poussiéreuses,
Menant plus loin à l'Ouest.
A suivre ainsi , très loin,
Les routes rectilignes,
sous la course des nuages.
L'or du Far-West,
A filé entre les doigts,
De migrants de tout ordre,
Repartis d'ici, comme ils sont venus,
- Incongrus -
Poursuivant une richesse improbable,
Et toujours ailleurs.
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RC - sept 2013