Ah la vache
Jean François Joubert
Elle donne la vie et est laitière, ici pie noire, pas comme ces oiseaux qui pillent nos esprits dans le noir de leurs plumes esprit main qui attaque par derrière, sans un vol gracieux dans les airs, je préfère l'Albatros au regard atroce et fier du charognard de mes îles du ponant, mer et ville ils surplombent nos poubelles pour nourrir le sol de leur fièvre de planer, non, je n'ai pas pris d'ecstasy, en extase assis devant, une vache que je photographie, un jour où j'ai lu la lueur intelligence et la magnifique dans de cette colonie de vache dans un champ à l'herbe orange Dans mes rêves je fais des rêves. Je me réveille dans d'autres rêves et les rêves deviennent ma réalité. Des rêves rêvés dans des rêves des étables. Mes mains d'éleveurs sur le front épaté d'une porteuse de lait du matin au doux soleil levant. Le regard de son bêlement dans le cœur à traire la vie comme un de ses bonheurs qu'on trairait d'un fromage sur la langueElle donne la vie et est laitière, ici pie noire, pas comme ces oiseaux qui pillent nos esprits dans le noir de leurs plumes esprit main qui attaque par derrière, sans un vol gracieux dans les airs, je préfère l'Albatros au regard atroce et fier du charognard de mes îles du ponant, mer et ville ils surplombent nos poubelles pour nourrir le sol de leur fièvre de planer, non, je n'ai pas pris d'ecstasy, en extase assis devant, une vache que je photographie, un jour où j'ai lu la lueur intelligence et la magnifique dans de cette colonie de vache dans un champ à l'herbe orange Dans mes rêves je fais des rêves. Je me réveille dans d'autres rêves et les rêves deviennent ma réalité. Des rêves rêvés dans des rêves des étables. Mes mains d'éleveurs sur le front épaté d'une porteuse de lait du matin au doux soleil levant. Le regard de son bêlement dans le cœur à traire la vie comme un de ses bonheurs qu'on trairait d'un fromage sur la langue