Alcool

irae

Alanguie dans les creux d'un matelas où l'alcool offre silence

on respire des nuits étranges le cœur fécond

Aube nouvelle avant le délire, j'avale quelques gorgés

faudrait pas crever avant de voir la lie

 

J'hallucine d'affolantes extases

 

Alanguie dans les creux d'un matelas où l'alcool sculpte des regards

le cœur tapine pour pas grand-chose

Aube froide a figé les jardins et j'avale quelques gorgés

aux corps et nuits

 

J'hallucine d'affolantes extases

Signaler ce texte